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pollutions chimiques bisphénols bisphénol A santé
Du plomb, du mercure, de l’arsenic, des pesticides comme du glyphosate, des bisphénols ou des polluants éternels...
Des scientifiques sont partis de la base de données des molécules entrant en contact avec les denrées alimentaires pour chercher leur présence dans nos organismes. Leur évaluation atteint le double des estimations précédentes.
Plastique PVC, retardateurs de flamme, bisphénols... La Commission européenne a publié, lundi 25 avril, sa « feuille de route » des restrictions de substances chimiques. 4 000 à 7 000 substances ne seront plus commercialisées d’ici à 2030, selon les calculs du Bureau européen de l’environnement (BEE), qui a qualifié l’opération de « plus vaste interdiction de produits chimiques toxiques à ce jour ».
Dans les années 1960, le bisphénol A est devenu l’un des produits chimiques les plus utilisés au monde par les industriels du plastique. Grâce à ses capacités anticorrosion et à sa stabilité thermique, ce composé organique a permis de créer des produits qui ont considérablement amélioré la qualité de vie des individus (emballages alimentaires, lunettes de soleil, biberons…). En outre, son utilisation peu coûteuse a également réduit les coûts des producteurs et donc les prix sur le marché.
Les scientifiques estiment qu'un seul article textile suffit à libérer des millions de fibres pendant un lavage traditionnel en machine.
Les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques capables d’interférer avec notre système hormonal et de l’affecter durablement, parfois gravement. Même à des doses très faibles, non toxiques de manière aiguë, ils peuvent affecter la reproduction, le comportement, la nutrition, le système nerveux ou la croissance d’un organisme vivant dont l’homme.
Des tonnes de plastique sont produites chaque année, et la plupart des déchets finissent dans les océans et les mers comme la Méditerranée. Un des gros problèmes de cette pollution aux plastiques n'est pas ce que nous pouvons voir à l'œil nu – les sacs ou les emballages – mais bien ce que nous ne pouvons pas voir : les petits morceaux appelés "microplastiques", et aussi les molécules qui les composent.
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Du plomb, du mercure, de l’arsenic, des pesticides comme du glyphosate, des bisphénols ou des polluants éternels...
Des scientifiques sont partis de la base de données des molécules entrant en contact avec les denrées alimentaires pour chercher leur présence dans nos organismes. Leur évaluation atteint le double des estimations précédentes.
Plastique PVC, retardateurs de flamme, bisphénols... La Commission européenne a publié, lundi 25 avril, sa « feuille de route » des restrictions de substances chimiques. 4 000 à 7 000 substances ne seront plus commercialisées d’ici à 2030, selon les calculs du Bureau européen de l’environnement (BEE), qui a qualifié l’opération de « plus vaste interdiction de produits chimiques toxiques à ce jour ».
Dans les années 1960, le bisphénol A est devenu l’un des produits chimiques les plus utilisés au monde par les industriels du plastique. Grâce à ses capacités anticorrosion et à sa stabilité thermique, ce composé organique a permis de créer des produits qui ont considérablement amélioré la qualité de vie des individus (emballages alimentaires, lunettes de soleil, biberons…). En outre, son utilisation peu coûteuse a également réduit les coûts des producteurs et donc les prix sur le marché.
Les scientifiques estiment qu'un seul article textile suffit à libérer des millions de fibres pendant un lavage traditionnel en machine.
Les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques capables d’interférer avec notre système hormonal et de l’affecter durablement, parfois gravement. Même à des doses très faibles, non toxiques de manière aiguë, ils peuvent affecter la reproduction, le comportement, la nutrition, le système nerveux ou la croissance d’un organisme vivant dont l’homme.
Des tonnes de plastique sont produites chaque année, et la plupart des déchets finissent dans les océans et les mers comme la Méditerranée. Un des gros problèmes de cette pollution aux plastiques n'est pas ce que nous pouvons voir à l'œil nu – les sacs ou les emballages – mais bien ce que nous ne pouvons pas voir : les petits morceaux appelés "microplastiques", et aussi les molécules qui les composent.