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bisphénol

janvier 2024

Bonduelle, Andros, Unilever... une douzaine d'entreprises ont été condamnées par l’Autorité de la Concurrence pour avoir restreint l’information de leurs consommateurs sur la présence de bisphénol A dans leurs emballages. Le bisphénol A est reconnu comme un perturbateur endocrinien et comme un produit reprotoxique, susceptible de migrer dans l'alimentation.

novembre 2023

Encore présent dans de très nombreux emballages alimentaires, le bisphénol A produit des effets potentiellement nocifs pour notre organisme.

septembre 2023

Patiënten met borst-, eierstok-, huid- en baarmoederkanker blijken opvallend hogere niveaus van bepaalde chemicaliën in hun lichaam te hebben. Een grootschalig onderzoek in de VS vindt een “duidelijk verband” met stoffen als PFAS en Bisphenol A.
Selon un rapport de l'Agence européenne pour l'Environnement publié ce jeudi 14 septembre, les Européens auraient trop de bisphénol A dans le corps. Des traces de cette substance toxique ont été retrouvées dans l'urine de 92% des participants à une étude de biosurveillance. Plus inquiétant encore, la totalité des personnes testées positives serait exposée à des niveaux dépassant le seuil de sécurité sanitaire européen.
De blootstelling van de Europeanen aan de chemische stof bisphenol A ligt veel te hoog en vormt een gezondheidsrisico voor miljoenen mensen. Dat blijkt uit onderzoek van het Europees Milieuagentschap (EEA).
Le bisphénol A (BPA) est omniprésent dans le corps des Européens. Leur exposition à ce perturbateur endocrinien se situe « bien au-dessus » des niveaux de sécurité sanitaire, alerte l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) dans un rapport publié le 14 septembre. « Cela présente un risque sanitaire potentiel pour des millions de personnes », déplore le gendarme européen de l’environnement.
L’un des principaux perturbateurs endocriniens est présent chez 92 % des Européens, selon une étude de l’Agence européenne de l’environnement menée dans onze pays, ce qui représente un potentiel danger pour la santé.
Il s’agit de l’un des perturbateurs endocriniens les plus dangereux pour la santé. Il serait à l’origine de nombreux problèmes de santé, comme les cancers ou l’infertilité.

juin 2023

Avec la réglementation qui restreint l’utilisation du bisphénol A, l’industrie se tourne vers de nouvelles substances pour le remplacer. Le Détecteur de rumeurs a vérifié ce qu’on sait des risques de ces substituts.

mai 2023

En 2017, le comité des États membres de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA), qui évalue et régule les produits chimiques, a identifié officiellement le bisphénol A comme perturbateur endocrinien. Cette substance faisait déjà l’objet de plusieurs interdictions en France. Les industriels commercialisant les produits concernés ont donc dû la remplacer par des substances chimiques possédant les mêmes fonctions technologiques.

avril 2023

Ces substances nocives sont encore trop présentes dans les produits en plastique pour enfants.

juin 2022

Par exemple, à de faibles concentrations, le cadmium stimule la prolifération des cellules, alors qu’à des concentrations plus fortes, dans l’ovaire, il induit une mortalité cellulaire. De la même façon, le bisphénol A induit une sécrétion d’insuline par le pancréas par l’intermédiaire des récepteurs aux œstrogènes et augmente la mortalité de ses cellules.
Une étude s’est penchée sur le rôle des substances polluantes présentes dans des produits du quotidien dans la détérioration de la qualité du sperme humain. Si les conclusions consolident les craintes, elles soulèvent aussi l’idée que le cocktail de certaines molécules s’avèrent particulièrement inquiétant.

avril 2022

Plastique PVC, retardateurs de flamme, bisphénols... La Commission européenne a publié, lundi 25 avril, sa « feuille de route » des restrictions de substances chimiques. 4 000 à 7 000 substances ne seront plus commercialisées d’ici à 2030, selon les calculs du Bureau européen de l’environnement (BEE), qui a qualifié l’opération de « plus vaste interdiction de produits chimiques toxiques à ce jour ».

février 2022

L’Agence européenne de sécurité des aliments préconise que l’exposition à ce perturbateur endocrinien, qu’on retrouve dans les plastiques et les aliments, soit largement revue à la baisse.