Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:

filtre:
UK
Certains réfugiés ukrainiens ont reçu, par erreur, un courrier leur ordonnant de quitter les États-Unis.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé samedi la "faible" réaction de l'ambassade américaine en Ukraine à une frappe meurtrière la veille à Kryvyï Rig, lui reprochant notamment d'avoir "peur" de dire que le missile l'ayant causé venait de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi des "progrès tangibles" et de "premiers détails" concernant le déploiement d’un contingent européen sur le sol ukrainien en cas de cessez-le-feu, au lendemain de la venue des chefs d’état-major des armées françaises et britanniques à Kiev. Français et Britanniques proposent de déployer un contingent de pays européens en Ukraine pour constituer une "force de réassurance" destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.
Près de 250.000 soldats russes ont été tués depuis le début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février 2022. Au total, 900.000 militaires sont morts ou ont été blessés, a indiqué jeudi un fonctionnaire de l’Otan, en marge d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance à Bruxelles.
Les ministres français et britannique des Affaires étrangères ont affirmé vendredi que la Russie frappait toujours des infrastructures énergétiques en Ukraine, accusant Moscou de saper les efforts de paix américains.
Une frappe russe sur la ville méridionale de Kherson mardi matin a privé d'électricité 45.000 de ses habitants, a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, accusant Moscou de "violer" à nouveau un accord sur une trêve partielle.
Cela fait trois ans que la Russie a lancé son plan d'invasion en Ukraine. Dans ce long conflit aux portes de l'Europe, les dirigeants du monde s'investissent afin que la guerre n'éclate pas à un niveau mondial.
Depuis l’invasion russe, plus de 71 % de la population s’est engagée dans le volontariat, l’un des piliers de la résistance. Chacun participe à son échelle à l’effort de guerre, dans tous les domaines liés au conflit.
Pressée de faire main basse sur les ressources naturelles de l’Ukraine, l’administration américaine a remis à Kiev une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques, que le gouvernement ukrainien examine de près. Les discussions se poursuivent et la version finale pourrait varier. « Nous devons obtenir l’avis de nos conseillers juridiques », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse, vendredi 28 mars, laissant entendre que le document ne serait pas signé aussi vite que Washington le souhaitait, soit « d’ici à la semaine prochaine », c’est-à-dire entre le 31 mars et le 6 avril, selon le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi avoir reçu de la part des Etats-Unis une nouvelle version de l'accord sur les minerais stratégiques d'Ukraine, auxquels Washington veut obtenir un accès. [...] sans fournir de détails sur cette nouvelle version qui est, selon des médias, très défavorable pour l'Ukraine.
"Je pense que davantage de progrès doivent être effectués au niveau technique" avant de pouvoir passer à l'étape suivante, a-t-il déclaré en réponse à une question lors d'un point presse. "Il y a beaucoup de travail qui doit être fait avec les deux parties, en particulier avec la partie russe", a-t-il souligné
Organiser une nouvelle élection en Ukraine sous l’égide de l’ONU, rien de moins. Vladimir Poutine a évoqué vendredi 28 mars l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, avec le contrôle des Nations unies, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités. Et ce, alors que, loi martiale oblige, le scrutin pour désigner le successeur de Volodymyr Zelensky, en mai 2024, a été reporté sine die.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont échangé au téléphone à propos de la perspective d'un accord sur la mer Noire, a annoncé vendredi le Kremlin, qui réclame la levée de sanctions occidentales affectant ses exportations agricoles avant tout engagement à une trêve avec l'Ukraine dans la zone.
L'opérateur énergétique ukrainien Naftogaz a accusé vendredi la Russie d'avoir frappé ses infrastructures gazières, en violation d'un fragile accord annoncé par Washington et censé interdire les frappes sur les sites énergétiques.
Ni la Russie ni l'Ukraine n'ont mené de frappes visant des sites énergétiques depuis le 25 mars, jour où les Etats-Unis ont annoncé un accord en vue d'une trêve limitée à de telles installations, a indiqué jeudi à l'AFP un haut responsable ukrainien. "Depuis le 25 mars, nous n'avons pas vu de frappes russes directes contre le secteur de l'énergie, nous n'avons donc pas frappé là-bas" en Russie, qui a lancé il y a trois ans son invasion de l'Ukraine, a indiqué ce responsable s'exprimant sous couvert de l'anonymat.
Une mission franco-britannique se rendra «dans les prochains jours en Ukraine» pour préparer «ce que sera le format de l’armée ukrainienne» ainsi qu’un possible déploiement de forces de «plusieurs pays européens» alliés après un éventuel accord de paix, a annoncé jeudi Emmanuel Macron.
Depuis trois ans, l’ingéniosité et les capacités d’adaptation de l’armée ukrainienne ont été largement vantées, notamment en ce qui concerne l’usage des drones. Ce sont pourtant les forces russes qui ont pris l’avantage, ces derniers mois, dans ce domaine avec une innovation qui a, semble-t-il, pesé lourd dans la reconquête, encore partielle, de la partie occupée de l’oblast de Koursk. Elles ont ainsi été les premières à recourir à l’automne aux drones filoguidés, c’est-à-dire commandés à l’aide d’un long et fin cordon de fibre optique, pour résoudre le problème du brouillage électronique.
Après le deuxième cycle de négociations sur l’Ukraine en Arabie saoudite, les États-Unis ont annoncé, mardi, un accord de sécurité entre Moscou et Kiev dans la mer Noire. Un dénouement dont l’Ukraine ne semble pas gagnante, tandis que la Russie a posé plusieurs conditions. À cela s’ajoute le désaccord des trois acteurs sur la centrale de Zaporijjia.
Het is vandaag Belgian Overshoot Day. Als de hele wereld zou leven zoals de gemiddelde Belg, dan zouden alle natuurlijke hulpmiddelen en diensten voor dit jaar nu al opgebruikt zijn, na amper 3 maanden. Er zouden met andere woorden ruim 4 planeten aarde nodig zijn om de Belgische voetafdruk op te vangen. Hoe komt dat? Waarom doen onze buurlanden het beter? En wat kunnen we daaraan doen?
Après deux jours de discussions en Arabie saoudite sous l’égide des Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie ont accepté un cessez-le-feu maritime… que le Kremlin a aussitôt conditionné à la levée de certaines sanctions occidentales.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusés mercredi de vouloir faire échouer un accord, annoncé la veille par l'intermédiaire des Etats-Unis et qui doit déboucher, sous conditions, à une trêve en mer Noire et à un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques. Mercredi matin, les belligérants ont donc dénoncé les attaques menées dans la nuit par chaque camp.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
L'Ukraine a besoin de soldats européens "prêts à combattre" sur son territoire après la guerre et non une force de maintien de la paix, a déclaré à l'AFP mercredi un responsable ukrainien participant aux négociations pour un cessez-le-feu avec la Russie.
Un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l’Ukraine" se tient à Paris, ce jeudi, à l’initiative du président Français Emmanuel Macron, pour mettre en place des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie. C’est la troisième fois qu’un tel sommet est organisé pour constituer une "coalition des volontaires". Les précédents avaient eu lieu à Paris et à Londres.
La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.
Une nouvelle rencontre entre responsables ukrainiens et américains s'est achevée mardi en Arabie saoudite, au lendemain de pourparlers américano-russes qui n'ont pas abouti à l'annonce d'une trêve, même très limitée, espérée par Donald Trump.
Une rencontre attendue entre responsables russes et américains sur la guerre en Ukraine n'a pas abouti à une trêve, même limitée, Moscou ayant posé mardi ses conditions avant tout accord concernant la mer Noire, parmi lesquelles un assouplissement des restrictions sur ses exportations agricoles.
La Russie et l'Ukraine ont accepté de cesser les hostilités en mer Noire, a annoncé mardi la Maison Blanche, après des négociations menées depuis dimanche par l'intermédiaire des États-Unis en Arabie saoudite. Washington s'est dit prêt à aider Moscou pour exporter ses produits agricoles et engrais sur les marchés mondiaux, ce que regrette Volodymyr Zelensky.
Les États-Unis se sont accordés avec l’Ukraine pour mettre fin aux combats en mer Noire, avant d’annoncer que la Russie allait également cesser les hostilités. [...] La Maison Blanche a annoncé mardi 25 mars s’être mis d’accord avec Kyiv pour cesser les hostilités en mer Noire, avant d’assurer que la Russie allait également suspendre les combats dans cette région. L’Ukraine puis la Russie ont confirmé la cessation des combats sur cette zone.
Le Kremlin a indiqué mardi que la trêve dans les frappes sur les infrastructures énergétiques en Ukraine et en Russie, discutée lors de pourparlers avec les Etats-Unis, concernait notamment les raffineries, les gazoducs et les centrales électriques. Cette trêve de 30 jours avait été annoncée le 18 mars par les présidents Vladimir Poutine et Donald Trump mais jamais réellement appliquée, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement de poursuivre les attaques.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
Une délégation emmenée par le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, a échangé avec des responsables américains, dimanche à Riyad, en vue d’un éventuel cessez-le-feu. Lundi, c’est au tour des Russes de s’asseoir à la table des négociations.
Des négociations sur une trêve en Ukraine ont lieu actuellement à Riyad, en Arabie saoudite. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le sujet principal de discussion portera sur la reprise de l’accord céréalier en mer Noire, un accord qui était en vigueur pendant un an entre juillet 2022 et juillet 2023. De quoi s’agit-il exactement ? Et pourquoi est-ce un sujet si important ? Décryptage.
Pour négocier à Riyad avec les Américains, la Russie a envoyé Grigori Karassine, un ancien diplomate de haut rang expert du dossier ukrainien, et Sergueï Besseda, ex-responsable du FSB en charge de la collecte de renseignements. Deux personnalités au profil moins politique que technique, dont la mission sera de faire avancer les pions de Moscou face à l'administration Trump.
Au cours des trois dernières années, le Kremlin s'est lancé dans un projet visant à enlever des enfants ukrainiens et à les transformer de force en la prochaine génération de Russes.
Comme craint, attendu, ou espéré, selon le côté des barricades où l’on se trouve, les négociations à Riyad sur l’avenir de l’Ukraine n’auront, une nouvelle fois, pas accouché de grand-chose. Lundi, en début de soirée, après douze heures discussions, les agences russes ont annoncé que Moscou et Washington publieront ce mardi un communiqué commun.
Ukrainiens et Américains ont tenu de nouvelles discussions dimanche en Arabie saoudite en vue d'une trêve partielle dans la guerre entre l'Ukraine et la Russie, à la veille de pourparlers russo-américains qualifiés d'emblée de "difficiles" par le Kremlin.
Donald Trump s'attend à la signature "très prochaine" d'un accord sur les minerais avec l'Ukraine. Les États-Unis chercheraient à obtenir de nouvelles conditions plus favorables en échange d'investissements dans le précieux secteur minier ukrainien, estimé à plus de 11 billions de dollars. Nos reporters se sont rendus dans une mine de graphite et dans la ville attenante pour recueillir l'avis des habitants sur un éventuel futur accord avec Washington.
Des négociations vont avoir lieu lundi en Arabie Saoudite, entre les Américains et les Russes. Lors de ces discussions concomitantes entre Ukrainiens et Américains d'un côté, et Russes et Américains de l'autre, il s'agira de tenter de s'accorder entre ces acteurs sur une trêve des attaques visant les infrastructures énergétiques des deux camps, après trois ans d'offensive russe qui a fait des dizaines de milliers de morts.
L'Allemagne a approuvé vendredi une nouvelle enveloppe d'aide militaire à l'Ukraine d'un montant de trois milliards d'euros, à quelques jours de pourparlers sous l'égide des Etats-Unis avec Moscou et Kiev devant porter sur une trêve limitée.La commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du Parlement, a officiellement donné son feu vert à l'octroi de ces fonds, en suspens depuis des mois en raison des réticences du chancelier sortant Olaf Scholz au regard de la situation budgétaire de son pays.
L'Ukraine a dit vendredi souhaiter que les pourparlers par l'intermédiaire des États-Unis lundi en Arabie Saoudite aboutissent "au moins" à un moratoire russo-ukrainien sur les frappes contre les sites énergétiques, les autres infrastructures et en mer Noire.
Kiev et Moscou se sont accusés vendredi davoir attaqué limportante station de mesure de gaz de Soudja, occupée par les forces ukrainiennes depuis lété 2024 dans la région russe frontalière de Koursk et qui autrefois permettait le transport du gaz russe vers lEurope via le territoire ukrainien.La télévision dEtat russe Rossia 24, ainsi que plusieurs chaînes russes dactualités sur Telegram, dont Baza --réputée proche des forces de lordre-- et Mash, ont publié des images de la station en flammes, accusant larmée ukrainienne den être responsable.Aucune annonce officielle na été faite toutefois par les autorités russes.
Als België zijn deel wil doen om Europa tegen 2050 klimaatneutraal te maken, dan zal er elk jaar 11 tot 25 miljard euro méér geïnvesteerd moeten worden dan nu het geval is. Dat geld hoeft niet alleen van de overheid te komen, maar kan ook uit privaat kapitaal komen. De keuzes die de overheid maakt, zullen wel bepalen hoe hoog de kosten worden.
Donald Trump a suggéré mercredi, dans un appel avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, que les Etats-Unis prennent "possession" des centrales électriques ukrainiennes, ce qui "constituerait la meilleure protection et le meilleur soutien possibles".
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
L'Ukraine ne "discutera pas" d'un transfert aux Etats-Unis de la propriété de ses centrales nucléaires, y compris celle occupée de Zaporijjia, a déclaré jeudi le président Volodymyr Zelensky, au lendemain de sa conversation téléphonique avec Donald Trump qui avait suggéré que son pays pourrait en prendre "possession". "Nous n'en discuterons pas. Nous avons 15 réacteurs nucléaires en service aujourd'hui. Tout cela appartient à notre État", a martelé M. Zelensky lors d'une conférence de presse à Oslo.
Vladimir Poutine et Donald Trump se sont accordés mardi sur une trêve limitée aux infrastructures énergétiques mais leur conversation téléphonique très attendue s'est conclue sans percée majeure en vue d'un réel accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Les négociations sur un cessez-le-feu en Ukraine "vont commencer dimanche à Jeddah", en Arabie saoudite, a affirmé mardi l'émissaire américain Steve Witkoff sur la chaîne Fox News mardi, après une discussion téléphonique entre le président Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.
"Le président Zelensky a demandé des systèmes de défense antiaérienne (...) et le président Trump a accepté de travailler avec lui pour voir ce qui était disponible, notamment en Europe", a dit Karoline Leavitt, qui a ajouté que "le partage de renseignements militaires pour la défense de l'Ukraine" allait "continuer".
Donald Trump, qui se targue d'avoir une relation privilégiée avec le maître du Kremlin, tentera mardi de rallier Vladimir Poutine à son projet de trêve en Ukraine, alors que Moscou a posé des conditions jugées inacceptables par Kiev.
Fruit de l'évolution du missile "Neptune", dont la portée était limitée à 400 kilomètres, le "Long Neptune" ukrainien peut désormais atteindre des cibles situées à 1000 kilomètres. Un changement de donne conséquent dans le conflit opposant Kiev à Moscou, mais aussi un symbole du regain d'autonomie de l'Ukraine vis-à-vis de ses alliés en matière militaire.
Les présidents de la Russie et des États-Unis se sont entretenus longuement ce mardi par téléphone. Le Kremlin a accepté une pause de trente jours des frappes russes et ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques. Un résultat qui paraît en deçà des espoirs de la Maison-Blanche, selon la presse d’outre-Atlantique.
Le président américain Donald Trump a indiqué dans la nuit de dimanche à lundi qu'il parlerait mardi à son homologue russe Vladimir Poutine dans le cadre du rapprochement américano-russe pour mettre un terme à la guerre en Ukraine, évoquant des "partages" entre Moscou et Kiev."Je parlerai au président Poutine mardi", a-t-il indiqué à des journalistes à bord de l'avion présidentiel, précisant que "beaucoup de choses ont déjà été discutées avec les deux parties, l'Ukraine et la Russie".
La Russie annonce qu'elle compte insister pour que l'Ukraine ne rejoigne par l'Otan pour qu'un traité de paix soit signé, selon les propos du vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.
Les États membres de l'UE (Conseil) ont approuvé lundi à Bruxelles une nouvelle tranche d'aide de 3,5 milliards d'euros à l'Ukraine pour sa stabilité macro-financière et son redressement.


Langue(3/3)
Médias(8/8)
filtre:
UK

avril 2025

Certains réfugiés ukrainiens ont reçu, par erreur, un courrier leur ordonnant de quitter les États-Unis.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé samedi la "faible" réaction de l'ambassade américaine en Ukraine à une frappe meurtrière la veille à Kryvyï Rig, lui reprochant notamment d'avoir "peur" de dire que le missile l'ayant causé venait de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi des "progrès tangibles" et de "premiers détails" concernant le déploiement d’un contingent européen sur le sol ukrainien en cas de cessez-le-feu, au lendemain de la venue des chefs d’état-major des armées françaises et britanniques à Kiev. Français et Britanniques proposent de déployer un contingent de pays européens en Ukraine pour constituer une "force de réassurance" destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.
Près de 250.000 soldats russes ont été tués depuis le début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février 2022. Au total, 900.000 militaires sont morts ou ont été blessés, a indiqué jeudi un fonctionnaire de l’Otan, en marge d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance à Bruxelles.
Les ministres français et britannique des Affaires étrangères ont affirmé vendredi que la Russie frappait toujours des infrastructures énergétiques en Ukraine, accusant Moscou de saper les efforts de paix américains.
Une frappe russe sur la ville méridionale de Kherson mardi matin a privé d'électricité 45.000 de ses habitants, a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga, accusant Moscou de "violer" à nouveau un accord sur une trêve partielle.

mars 2025

Cela fait trois ans que la Russie a lancé son plan d'invasion en Ukraine. Dans ce long conflit aux portes de l'Europe, les dirigeants du monde s'investissent afin que la guerre n'éclate pas à un niveau mondial.
Depuis l’invasion russe, plus de 71 % de la population s’est engagée dans le volontariat, l’un des piliers de la résistance. Chacun participe à son échelle à l’effort de guerre, dans tous les domaines liés au conflit.
Pressée de faire main basse sur les ressources naturelles de l’Ukraine, l’administration américaine a remis à Kiev une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques, que le gouvernement ukrainien examine de près. Les discussions se poursuivent et la version finale pourrait varier. « Nous devons obtenir l’avis de nos conseillers juridiques », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse, vendredi 28 mars, laissant entendre que le document ne serait pas signé aussi vite que Washington le souhaitait, soit « d’ici à la semaine prochaine », c’est-à-dire entre le 31 mars et le 6 avril, selon le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi avoir reçu de la part des Etats-Unis une nouvelle version de l'accord sur les minerais stratégiques d'Ukraine, auxquels Washington veut obtenir un accès. [...] sans fournir de détails sur cette nouvelle version qui est, selon des médias, très défavorable pour l'Ukraine.
"Je pense que davantage de progrès doivent être effectués au niveau technique" avant de pouvoir passer à l'étape suivante, a-t-il déclaré en réponse à une question lors d'un point presse. "Il y a beaucoup de travail qui doit être fait avec les deux parties, en particulier avec la partie russe", a-t-il souligné
Organiser une nouvelle élection en Ukraine sous l’égide de l’ONU, rien de moins. Vladimir Poutine a évoqué vendredi 28 mars l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, avec le contrôle des Nations unies, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités. Et ce, alors que, loi martiale oblige, le scrutin pour désigner le successeur de Volodymyr Zelensky, en mai 2024, a été reporté sine die.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont échangé au téléphone à propos de la perspective d'un accord sur la mer Noire, a annoncé vendredi le Kremlin, qui réclame la levée de sanctions occidentales affectant ses exportations agricoles avant tout engagement à une trêve avec l'Ukraine dans la zone.
L'opérateur énergétique ukrainien Naftogaz a accusé vendredi la Russie d'avoir frappé ses infrastructures gazières, en violation d'un fragile accord annoncé par Washington et censé interdire les frappes sur les sites énergétiques.
Ni la Russie ni l'Ukraine n'ont mené de frappes visant des sites énergétiques depuis le 25 mars, jour où les Etats-Unis ont annoncé un accord en vue d'une trêve limitée à de telles installations, a indiqué jeudi à l'AFP un haut responsable ukrainien. "Depuis le 25 mars, nous n'avons pas vu de frappes russes directes contre le secteur de l'énergie, nous n'avons donc pas frappé là-bas" en Russie, qui a lancé il y a trois ans son invasion de l'Ukraine, a indiqué ce responsable s'exprimant sous couvert de l'anonymat.
Une mission franco-britannique se rendra «dans les prochains jours en Ukraine» pour préparer «ce que sera le format de l’armée ukrainienne» ainsi qu’un possible déploiement de forces de «plusieurs pays européens» alliés après un éventuel accord de paix, a annoncé jeudi Emmanuel Macron.
Depuis trois ans, l’ingéniosité et les capacités d’adaptation de l’armée ukrainienne ont été largement vantées, notamment en ce qui concerne l’usage des drones. Ce sont pourtant les forces russes qui ont pris l’avantage, ces derniers mois, dans ce domaine avec une innovation qui a, semble-t-il, pesé lourd dans la reconquête, encore partielle, de la partie occupée de l’oblast de Koursk. Elles ont ainsi été les premières à recourir à l’automne aux drones filoguidés, c’est-à-dire commandés à l’aide d’un long et fin cordon de fibre optique, pour résoudre le problème du brouillage électronique.
Après le deuxième cycle de négociations sur l’Ukraine en Arabie saoudite, les États-Unis ont annoncé, mardi, un accord de sécurité entre Moscou et Kiev dans la mer Noire. Un dénouement dont l’Ukraine ne semble pas gagnante, tandis que la Russie a posé plusieurs conditions. À cela s’ajoute le désaccord des trois acteurs sur la centrale de Zaporijjia.
Het is vandaag Belgian Overshoot Day. Als de hele wereld zou leven zoals de gemiddelde Belg, dan zouden alle natuurlijke hulpmiddelen en diensten voor dit jaar nu al opgebruikt zijn, na amper 3 maanden. Er zouden met andere woorden ruim 4 planeten aarde nodig zijn om de Belgische voetafdruk op te vangen. Hoe komt dat? Waarom doen onze buurlanden het beter? En wat kunnen we daaraan doen?
Après deux jours de discussions en Arabie saoudite sous l’égide des Etats-Unis, l’Ukraine et la Russie ont accepté un cessez-le-feu maritime… que le Kremlin a aussitôt conditionné à la levée de certaines sanctions occidentales.
La Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusés mercredi de vouloir faire échouer un accord, annoncé la veille par l'intermédiaire des Etats-Unis et qui doit déboucher, sous conditions, à une trêve en mer Noire et à un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques. Mercredi matin, les belligérants ont donc dénoncé les attaques menées dans la nuit par chaque camp.
Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que la Russie "montrait sa volonté de guerre" en multipliant les conditions à un cessez-le-feu, à la veille d'un sommet international convoqué à Paris pour soutenir l'Ukraine. De son côté, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, en déplacement en Jamaïque, a reconnu que parvenir à un accord de paix entre Moscou et Kiev "ne sera pas simple" et "prendra du temps", nuançant l'optimisme manifesté depuis des semaines par le président Donald Trump.
L'Ukraine a besoin de soldats européens "prêts à combattre" sur son territoire après la guerre et non une force de maintien de la paix, a déclaré à l'AFP mercredi un responsable ukrainien participant aux négociations pour un cessez-le-feu avec la Russie.
Un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l’Ukraine" se tient à Paris, ce jeudi, à l’initiative du président Français Emmanuel Macron, pour mettre en place des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix avec la Russie. C’est la troisième fois qu’un tel sommet est organisé pour constituer une "coalition des volontaires". Les précédents avaient eu lieu à Paris et à Londres.
La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.
Une nouvelle rencontre entre responsables ukrainiens et américains s'est achevée mardi en Arabie saoudite, au lendemain de pourparlers américano-russes qui n'ont pas abouti à l'annonce d'une trêve, même très limitée, espérée par Donald Trump.
Une rencontre attendue entre responsables russes et américains sur la guerre en Ukraine n'a pas abouti à une trêve, même limitée, Moscou ayant posé mardi ses conditions avant tout accord concernant la mer Noire, parmi lesquelles un assouplissement des restrictions sur ses exportations agricoles.
La Russie et l'Ukraine ont accepté de cesser les hostilités en mer Noire, a annoncé mardi la Maison Blanche, après des négociations menées depuis dimanche par l'intermédiaire des États-Unis en Arabie saoudite. Washington s'est dit prêt à aider Moscou pour exporter ses produits agricoles et engrais sur les marchés mondiaux, ce que regrette Volodymyr Zelensky.
Les États-Unis se sont accordés avec l’Ukraine pour mettre fin aux combats en mer Noire, avant d’annoncer que la Russie allait également cesser les hostilités. [...] La Maison Blanche a annoncé mardi 25 mars s’être mis d’accord avec Kyiv pour cesser les hostilités en mer Noire, avant d’assurer que la Russie allait également suspendre les combats dans cette région. L’Ukraine puis la Russie ont confirmé la cessation des combats sur cette zone.
Le Kremlin a indiqué mardi que la trêve dans les frappes sur les infrastructures énergétiques en Ukraine et en Russie, discutée lors de pourparlers avec les Etats-Unis, concernait notamment les raffineries, les gazoducs et les centrales électriques. Cette trêve de 30 jours avait été annoncée le 18 mars par les présidents Vladimir Poutine et Donald Trump mais jamais réellement appliquée, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement de poursuivre les attaques.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
Une délégation emmenée par le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, a échangé avec des responsables américains, dimanche à Riyad, en vue d’un éventuel cessez-le-feu. Lundi, c’est au tour des Russes de s’asseoir à la table des négociations.
Des négociations sur une trêve en Ukraine ont lieu actuellement à Riyad, en Arabie saoudite. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, le sujet principal de discussion portera sur la reprise de l’accord céréalier en mer Noire, un accord qui était en vigueur pendant un an entre juillet 2022 et juillet 2023. De quoi s’agit-il exactement ? Et pourquoi est-ce un sujet si important ? Décryptage.
Pour négocier à Riyad avec les Américains, la Russie a envoyé Grigori Karassine, un ancien diplomate de haut rang expert du dossier ukrainien, et Sergueï Besseda, ex-responsable du FSB en charge de la collecte de renseignements. Deux personnalités au profil moins politique que technique, dont la mission sera de faire avancer les pions de Moscou face à l'administration Trump.
Au cours des trois dernières années, le Kremlin s'est lancé dans un projet visant à enlever des enfants ukrainiens et à les transformer de force en la prochaine génération de Russes.
Comme craint, attendu, ou espéré, selon le côté des barricades où l’on se trouve, les négociations à Riyad sur l’avenir de l’Ukraine n’auront, une nouvelle fois, pas accouché de grand-chose. Lundi, en début de soirée, après douze heures discussions, les agences russes ont annoncé que Moscou et Washington publieront ce mardi un communiqué commun.
Ukrainiens et Américains ont tenu de nouvelles discussions dimanche en Arabie saoudite en vue d'une trêve partielle dans la guerre entre l'Ukraine et la Russie, à la veille de pourparlers russo-américains qualifiés d'emblée de "difficiles" par le Kremlin.
Donald Trump s'attend à la signature "très prochaine" d'un accord sur les minerais avec l'Ukraine. Les États-Unis chercheraient à obtenir de nouvelles conditions plus favorables en échange d'investissements dans le précieux secteur minier ukrainien, estimé à plus de 11 billions de dollars. Nos reporters se sont rendus dans une mine de graphite et dans la ville attenante pour recueillir l'avis des habitants sur un éventuel futur accord avec Washington.
Des négociations vont avoir lieu lundi en Arabie Saoudite, entre les Américains et les Russes. Lors de ces discussions concomitantes entre Ukrainiens et Américains d'un côté, et Russes et Américains de l'autre, il s'agira de tenter de s'accorder entre ces acteurs sur une trêve des attaques visant les infrastructures énergétiques des deux camps, après trois ans d'offensive russe qui a fait des dizaines de milliers de morts.
L'Allemagne a approuvé vendredi une nouvelle enveloppe d'aide militaire à l'Ukraine d'un montant de trois milliards d'euros, à quelques jours de pourparlers sous l'égide des Etats-Unis avec Moscou et Kiev devant porter sur une trêve limitée.La commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du Parlement, a officiellement donné son feu vert à l'octroi de ces fonds, en suspens depuis des mois en raison des réticences du chancelier sortant Olaf Scholz au regard de la situation budgétaire de son pays.
L'Ukraine a dit vendredi souhaiter que les pourparlers par l'intermédiaire des États-Unis lundi en Arabie Saoudite aboutissent "au moins" à un moratoire russo-ukrainien sur les frappes contre les sites énergétiques, les autres infrastructures et en mer Noire.
Kiev et Moscou se sont accusés vendredi davoir attaqué limportante station de mesure de gaz de Soudja, occupée par les forces ukrainiennes depuis lété 2024 dans la région russe frontalière de Koursk et qui autrefois permettait le transport du gaz russe vers lEurope via le territoire ukrainien.La télévision dEtat russe Rossia 24, ainsi que plusieurs chaînes russes dactualités sur Telegram, dont Baza --réputée proche des forces de lordre-- et Mash, ont publié des images de la station en flammes, accusant larmée ukrainienne den être responsable.Aucune annonce officielle na été faite toutefois par les autorités russes.
Als België zijn deel wil doen om Europa tegen 2050 klimaatneutraal te maken, dan zal er elk jaar 11 tot 25 miljard euro méér geïnvesteerd moeten worden dan nu het geval is. Dat geld hoeft niet alleen van de overheid te komen, maar kan ook uit privaat kapitaal komen. De keuzes die de overheid maakt, zullen wel bepalen hoe hoog de kosten worden.
Donald Trump a suggéré mercredi, dans un appel avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, que les Etats-Unis prennent "possession" des centrales électriques ukrainiennes, ce qui "constituerait la meilleure protection et le meilleur soutien possibles".
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
L'Ukraine ne "discutera pas" d'un transfert aux Etats-Unis de la propriété de ses centrales nucléaires, y compris celle occupée de Zaporijjia, a déclaré jeudi le président Volodymyr Zelensky, au lendemain de sa conversation téléphonique avec Donald Trump qui avait suggéré que son pays pourrait en prendre "possession". "Nous n'en discuterons pas. Nous avons 15 réacteurs nucléaires en service aujourd'hui. Tout cela appartient à notre État", a martelé M. Zelensky lors d'une conférence de presse à Oslo.
Vladimir Poutine et Donald Trump se sont accordés mardi sur une trêve limitée aux infrastructures énergétiques mais leur conversation téléphonique très attendue s'est conclue sans percée majeure en vue d'un réel accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Le président russe et son homologue américain sont convenus mardi d’un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine concernant uniquement les infrastructures énergétiques. Pour la presse européenne, cette trêve limitée permet à Trump de “sauver la face” mais montre surtout que Poutine continue d’imposer “son tempo et ses conditions”.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Les négociations sur un cessez-le-feu en Ukraine "vont commencer dimanche à Jeddah", en Arabie saoudite, a affirmé mardi l'émissaire américain Steve Witkoff sur la chaîne Fox News mardi, après une discussion téléphonique entre le président Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.
"Le président Zelensky a demandé des systèmes de défense antiaérienne (...) et le président Trump a accepté de travailler avec lui pour voir ce qui était disponible, notamment en Europe", a dit Karoline Leavitt, qui a ajouté que "le partage de renseignements militaires pour la défense de l'Ukraine" allait "continuer".
Donald Trump, qui se targue d'avoir une relation privilégiée avec le maître du Kremlin, tentera mardi de rallier Vladimir Poutine à son projet de trêve en Ukraine, alors que Moscou a posé des conditions jugées inacceptables par Kiev.
Fruit de l'évolution du missile "Neptune", dont la portée était limitée à 400 kilomètres, le "Long Neptune" ukrainien peut désormais atteindre des cibles situées à 1000 kilomètres. Un changement de donne conséquent dans le conflit opposant Kiev à Moscou, mais aussi un symbole du regain d'autonomie de l'Ukraine vis-à-vis de ses alliés en matière militaire.
Les présidents de la Russie et des États-Unis se sont entretenus longuement ce mardi par téléphone. Le Kremlin a accepté une pause de trente jours des frappes russes et ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques. Un résultat qui paraît en deçà des espoirs de la Maison-Blanche, selon la presse d’outre-Atlantique.
Le président américain Donald Trump a indiqué dans la nuit de dimanche à lundi qu'il parlerait mardi à son homologue russe Vladimir Poutine dans le cadre du rapprochement américano-russe pour mettre un terme à la guerre en Ukraine, évoquant des "partages" entre Moscou et Kiev."Je parlerai au président Poutine mardi", a-t-il indiqué à des journalistes à bord de l'avion présidentiel, précisant que "beaucoup de choses ont déjà été discutées avec les deux parties, l'Ukraine et la Russie".
La Russie annonce qu'elle compte insister pour que l'Ukraine ne rejoigne par l'Otan pour qu'un traité de paix soit signé, selon les propos du vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.
Les États membres de l'UE (Conseil) ont approuvé lundi à Bruxelles une nouvelle tranche d'aide de 3,5 milliards d'euros à l'Ukraine pour sa stabilité macro-financière et son redressement.