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États-Unis démantèlement démocratie
Le ministère de "la Guerre" s'est débarrassé des médias traditionnels qui y étaient accrédités. Un nouveau "Pentagon Press Corps" les remplace, fait de journalistes "alternatifs" volontiers complotistes. L'affaire illustre le modèle d'information dans lequel Donald Trump veut faire basculer l'Amérique
Sept millions d’Américains ont défilé contre Trump ce samedi 18 octobre, redoublant d’inventivité dans leurs costumes et slogans.
Entre purges au sein du renseignement, dérive autoritaire et politisation des institutions, le président américain bouleverse en profondeur la sécurité nationale américaine. Et consacre un nouvel adversaire fantasmé : l’ennemi intérieur.
Sept millions de participants, selon les organisateurs, ont défilé samedi lors de 2 600 rassemblements à travers les Etats-Unis pour protester contre les dérives du président républicain.
Des Américains de tout âge sont descendus dans les rues samedi en nombre pour faire entendre leur opposition à Donald Trump lors d’une journée de mobilisation nationale dépeinte par la droite comme un mouvement "de haine de l’Amérique".
Environ 7 millions de personnes ont participé samedi aux manifestations "No Kings" contre l'administration Trump aux États-Unis, ont annoncé les organisateurs.
Les manifestations "No Kings" ("Pas de Rois") reprennent samedi aux États-Unis, où plus de 2.700 rassemblements sont prévus à travers le pays pour dénoncer la dérive autoritaire du président Donald Trump.
Le gouvernement de Donald Trump a demandé vendredi à la Cour suprême américaine d'autoriser le déploiement de la Garde nationale à Chicago.
Plus de 2 700 rassemblements sont prévus dans la journée, dans les grandes villes américaines comme dans des bourgades d’Etats républicains, ainsi qu’à proximité de la résidence de Donald Trump en Floride.
Le long d’un pays fracturé, de New York à San Francisco, des millions d’Américains s’apprêtent à défiler derrière un même cri : « No Kings ». Face à un président qui se rêve en monarque, la rue entend rappeler que la démocratie américaine n’a jamais porté de couronne.
Faute de preuves, on renvoie l’armée. Une cour d’appel fédérale a confirmé jeudi 16 octobre la suspension du déploiement des militaires de la Garde nationale à Chicago et dans sa région ordonné par Donald Trump. Le président américain avait donné cet ordre le 8 octobre, affirmant qu’ils étaient nécessaires pour lutter contre la criminalité et protéger les agents de la police fédérale de l’immigration (ICE) dans la troisième plus grande ville des États-Unis.
Des millions d’Américains devraient défiler ce samedi 18 octobre dans tout le pays pour dénoncer la dérive autoritaire du président républicain. Un test pour un mouvement que les démocrates, très critiqués, peinent à incarner.
Face à un président qui réprime l’opposition et distille la peur, les citoyens américains se mobilisent. Une façon de pallier l’impuissance des démocrates. Samedi, la rue sera le baromètre de cette résistance.
Le décret met en place un moratoire sur les expulsions et une aide financière et sociale pour les migrants locataires touchés par la politique de l’administration Trump.
Une cour d'appel fédérale a confirmé jeudi la suspension du déploiement des militaires de la Garde nationale à Chicago et dans sa région ordonné par le président Donald Trump, rejetant une demande du gouvernement.
Recours aux forces fédérales sur le territoire des États-Unis, désignation de l’opposition politique comme « ennemi intérieur », démantèlement de nombreuses agences, remise en cause de nombreux droits sociétaux… Depuis son arrivée au pouvoir en janvier, l’administration Trump met en œuvre un programme d’une grande dureté, qui correspond largement aux préconisations du « Project 2025 », document publié en 2023 par le groupe de réflexion de droite ultraconservatrice l’Heritage Foundation.
Au risque de perdre leurs accréditations, un grand nombre de médias américains et internationaux, y compris les chaînes conservatrices Fox News et Newsmax, ont refusé de signer un document du ministère de la défense exigeant des journalistes de ne pas publier certaines informations sans autorisation explicite.
Le polémiste, assassiné le 10 septembre sur un campus dans l’Utah, a reçu, mardi, la médaille présidentielle de la liberté. Le même jour, le site « Politico » publiait une enquête révélant des échanges prônant racisme, nazisme et violence entre Jeunes Républicains sur la messagerie Telegram.
Le comté de Los Angeles a déclaré mardi l'état d'urgence en raison de la répression continue du gouvernement du président américain Donald Trump à l'encontre des migrants. Il s'agit de la mesure la plus récente prise par une autorité locale contre les rafles de la police de l'immigration du ministère américain de la Sécurité intérieure.
Ils sont chercheurs, professeurs ou scientifiques, et ont tous fait le même choix : quitter les États-Unis de Donald Trump pour s’installer au Canada. Ils craignent un virage autoritaire et l’annulation et le gel de milliers de bourses pour la recherche scientifique. Reportage de François Rihouay et Joanne Profeta.
Mark Bray, historien américain menacé de mort pour ses travaux sur l’antifascisme, s’exile en Europe
- Anne-Toscane ViudesL’enseignant à l’université Rutgers a déménagé en urgence en Espagne avec sa famille après avoir été pris pour cible par les milieux d’extrême droite, dont l’organisation Turning Point USA, cofondée par l’influenceur ultraconservateur Charlie Kirk, assassiné le 10 septembre.
La Maison Blanche a affirmé mercredi qu'elle espérait licencier au moins 10.000 fonctionnaires fédéraux lors de la paralysie budgétaire en cours au moment où une juge déclarait illégaux les limogeages déjà effectifs.
Lors d’un rassemblement lundi 13 octobre au soir, la magistrate récemment inculpé a aussi exprimé son soutien au candidat démocrate à New York, Zohran Mamdani, autre bête noire du président américain.
Plusieurs grands médias américains, dont le New York Times, CNN, Fox News ou encore l'AFP, ont refusé de signer un document imposé par le Pentagone restreignant le travail de la presse.
L’universitaire et activiste vient de subir une cabale de l’extrême droite américaine, alimentée par des soutiens du Président. Menacé de mort, celui qui alerte sur le «retour d’une violence suprémaciste» a failli être empêché de quitter les Etats-Unis, avant de parvenir à se rendre en Espagne. «Libération» a recueilli son témoignage.
L’administration Trump avait fait appel d’une décision d’une juge fédérale qui avait bloqué, jeudi, l’arrivée de 500 militaires dans la mégapole. La cour d’appel permet toutefois que les gardes restent sous le contrôle de l’Etat fédéral, en attendant un jugement sur le fond.
Jamais l’ensemble des généraux américains n’avaient été convoqués pour écouter le président du pays et leur ministre de tutelle comme ce fut le cas ce 30 septembre à Quantico (Virginie). Cette réunion historique a vu Donald Trump et Pete Hegseth tenir à des hauts gradés silencieux un discours aux intonations martiales et virilistes dont l’objectif réel était de les préparer à diriger des opérations militaires… à l’intérieur même des États-Unis, dans les villes dirigées par des démocrates.
Alors que la crise budgétaire s’enlise, des milliers d’employés fédéraux ont été congédiés par l’administration américaine qui a visé « ceux proches de démocrates ».
Le président américain avait assumé vouloir se venger de la procureure démocrate Letitia James, deuxième figure publique à faire l’objet, en quelques jours, d’une inculpation qu’il avait directement réclamée.
Directeur du Bureau de la gestion du budget, Russell Vought caresse un rêve : réduire à son minimum l’Etat fédéral américain pour offrir les pleins pouvoirs à Donald Trump. Alors que les États-Unis sont plongés dans le shutdown, il veut saisir l'occasion pour licencier des milliers de fonctionnaires et de saper les agences fédérales. Au risque d'ouvrir une bataille devant les tribunaux.
