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La Suède a ouvert une enquête suite à la découverte d'un nouveau câble endommagé en mer Baltique, à l'est de l'île de Gotland, ont annoncé vendredi la Garde côtière, après plusieurs cas similaires sur des infrastructures sous-marines ces derniers mois.
De la Finlande à la Lituanie en passant par l’Estonie, un reporter de l’hebdomadaire tchèque “Respekt” s’est rendu sur les navires de l’Otan qui protègent les câbles, au fond de la mer Baltique, de la guerre hybride menée par la Russie.
Dimanche, un câble sous-marin de fibre optique entre la Lettonie et la Suède avait été abîmé. Le propriétaire norvégien du navire a assuré que son bateau n’avait « rien fait de mal », et la police a dit que l’équipage et l’armateur étaient coopératifs.
Le « Vezhen », construit en 2022, a été rerouté par les gardes-côtes suédois. Son PDG dénonce un comportement « agressif » et nie tout acte malveillant.
Plusieurs dégradations ciblant les infrastructures énergétiques et de communication sont survenues ces derniers mois dans cet espace maritime. Elles s’inscrivent dans le contexte d’une « guerre hybride » menée par Moscou.
A la une de la presse ce vendredi : l'inquiétude en mer Baltique face à la flotte fantôme russe, l'opération israélienne en Cisjordanie occupée, et un géant superstar.
Sébastien Lecornu, le ministre français des Armées, a dénoncé vendredi ce qu'il a qualifié de "mesure d'intimidation" russe "pas acceptable" au-dessus de la mer Baltique. Un système russe de défense air-sol aurait pris pour cible un avion français qui effectuait un vol de surveillance.
Le Premier ministre Ulf Kristersson a affirmé dimanche que son pays n’était "pas en guerre" mais ne traversait pas une période de paix non plus, évoquant des attaques hybrides et une guerre par procuration menée sur son sol.
L'Allemagne s'efforce samedi de sécuriser un pétrolier en difficulté et d'éviter une marée noire en mer Baltique, un navire accusé de faire partie de la "flotte fantôme russe", souvent vétuste, par laquelle Moscou exporte son pétrole malgré les sanctions. Le pétrolier Eventin, avec 99.000 tonnes de pétrole à bord, se trouve en situation de "détresse" et est en panne de moteurs après une coupure de courant, selon le centre de commandement allemand pour les urgences maritimes.
Deux tankers transportant du pétrole russe sont à la dérive au large de l’Allemagne ce samedi 11 janvier, au lendemain de l’annonce de nouvelles sanctions américaines contre 200 navires de la «flotte fantôme» de Moscou.
Sept membres de l'équipage du pétrolier Eagle S soupçonné d'appartenir à la "flotte fantôme" de la Russie et d'être à l'origine d'une panne sur un câble sous-marin en mer Baltique sont visés par l'enquête pour sabotage et sont interdits de voyager, a annoncé mardi la police finlandaise."Sept membres de l'équipage du navire Eagle S ont le statut de suspect dans cette enquête criminelle et ont été frappés d'une interdiction de voyager", explique la police dans un communiqué concernant cette enquête ouverte pour sabotage aggravé et interférence aggravée dans les communications.
La panne d'un câble sous-marin entre la Finlande et l'Estonie survenue mercredi, derrière laquelle les Européens soupçonnent un acte de sabotage de la "flotte fantôme russe", est un "signal d'alarme" pour Berlin, qui pousse pour de nouvelles sanctions de l'UE.
L'Otan va "renforcer sa présence militaire" en mer Baltique, a annoncé vendredi le secrétaire général de l'Alliance Atlantique, Mark Rutte. Par ailleurs, l'Estonie a lancé des patrouilles en mer pour protéger sa connexion électrique avec la Finlande, deux jours après que le câble EstLink 2 reliant les deux pays a été rompu, probablement par un pétrolier en provenance d'un port russe, a annoncé le ministre estonien de la Défense.
La Finlande a ouvert une enquête pour "sabotage" sur le rôle d'un pétrolier en provenance de Russie, soupçonné d'être à l'origine de la panne d'un câble sous-marin électrique reliant le pays à l'Estonie survenue le jour de Noël.
L'installation de parcs éoliens en mer Baltique impliquerait des "risques inacceptables" pour la défense de la Suède et de ses alliés car elle perturberait sa capacité à identifier des menaces, a estimé mercredi l'armée suédoise."Les forces armées suédoises ont été claires dans leur évaluation concernant l'énergie éolienne offshore dans la mer Baltique. Elle entraînerait des risques inacceptables pour la défense de notre pays et de nos alliés", ont expliqué les forces armées suédoises dans un courriel à l'AFP.
Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, les incidents suspects se sont multipliés dans le pourtour de la mer Baltique et de la mer du Nord. «Libé» fait le point sur les diverses stratégies de «la guerre hybride».
La Suède a annulé 13 projets de parcs éoliens le long de ses côtes en mer Baltique à cause de leur impact sur ses capacités de défense, a annoncé lundi la ministre suédoise de l'Environnement.Les intérêts « de la défense doivent peser plus lourd dans la balance »Les permis de construction pour ces parcs éoliens en mer ont été retirés car "ils auraient eu un impact inacceptable" sur la défense de ce pays scandinave, a expliqué en conférence de presse Romina Pourmokhtari.
Plusieurs milliers de tonnes de munitions héritées essentiellement de la seconde guerre mondiale ont été jetées dans la mer. Alors que la contamination reste, pour l’heure, limitée, la question de leur extraction devient de plus en plus pressante.
Saumon, hareng, cabillaud… Les ressources halieutiques de la Baltique sont si faibles que les petits pêcheurs quittent la profession. Une conséquence de la surpèche mais aussi d’une eutrophisation de cette mer semi-fermée en raison des rejets d’eaux usées et des pratiques agricoles intensives.
Le projet, bien réel, proposait une révision de frontières maritimes jugées obsolètes. Il a depuis été supprimé du site du gouvernement russe.
Le ministère russe de la Défense envisage de déplacer la frontière située dans la mer Baltique et d'ainsi étendre les eaux territoriales russes. Une initiative qui fait bondir les pays voisins, membres de l'Otan, la Lituanie et la Finlande.
La Russie a dévoilé, mardi, un projet de loi pour redéfinir ses frontières maritimes en mer Baltique. Une initiative contestée dans la région qui s'ajoute à un contexte géopolitique de plus en plus tendu.
Le risque d'une marée noire en mer Baltique a augmenté depuis que la Russie a commencé à recourir à une "flotte fantôme" de tankers pétroliers pour contourner les sanctions occidentales, ont mis en garde jeudi les garde-frontières finlandais.
Il pourrait s’agir de la première attaque ukrainienne d’un navire russe en mer Baltique. Kiev a revendiqué le 8 avril être à l’origine d’un incendie survenu sur le “Serpoukhov”, navire lance-missile russe, au large de l’enclave de Kaliningrad.
Dix pays du nord de l'Europe membres de la Force expéditionnaire conjointe (JEF) ont décidé mardi d'activer une "clause de défense" prévoyant le déploiement de moyens militaires supplémentaires pour protéger les infrastructures sous-marines en mer Baltique, après plusieurs incidents.
Un an après le sabotage de Nord Stream, le tuyau, qui relie l’Estonie à la Finlande, a été abîmé. Un porte-conteneurs chinois est dans le viseur des enquêteurs.
Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a promis mercredi une "réponse déterminée" de l'Alliance si les dommages causés à un gazoduc entre la Finlande et l'Estonie en mer Baltique s'avéraient résulter d'une "attaque délibérée".
Selon les autorités suédoises, il y a désormais « deux fuites côté suédois et deux fuites côté danois ». L’hypothèse de défaillances accidentelles simultanées semble écartée et celle d’un « acte délibéré » privilégiée.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a parlé, mardi 27 septembre 2022, de « sabotage » pour décrire les fuites suspectes sur les gazoducs Nord Stream en mer Baltique. Danois, Suédois mais aussi Russes évoquaient déjà des actes délibérés.
Nord Stream 1 et Nord Stream 2 sont tous les deux endommagés.


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février 2025

La Suède a ouvert une enquête suite à la découverte d'un nouveau câble endommagé en mer Baltique, à l'est de l'île de Gotland, ont annoncé vendredi la Garde côtière, après plusieurs cas similaires sur des infrastructures sous-marines ces derniers mois.
De la Finlande à la Lituanie en passant par l’Estonie, un reporter de l’hebdomadaire tchèque “Respekt” s’est rendu sur les navires de l’Otan qui protègent les câbles, au fond de la mer Baltique, de la guerre hybride menée par la Russie.

janvier 2025

Dimanche, un câble sous-marin de fibre optique entre la Lettonie et la Suède avait été abîmé. Le propriétaire norvégien du navire a assuré que son bateau n’avait « rien fait de mal », et la police a dit que l’équipage et l’armateur étaient coopératifs.
Le « Vezhen », construit en 2022, a été rerouté par les gardes-côtes suédois. Son PDG dénonce un comportement « agressif » et nie tout acte malveillant.
Plusieurs dégradations ciblant les infrastructures énergétiques et de communication sont survenues ces derniers mois dans cet espace maritime. Elles s’inscrivent dans le contexte d’une « guerre hybride » menée par Moscou.
A la une de la presse ce vendredi : l'inquiétude en mer Baltique face à la flotte fantôme russe, l'opération israélienne en Cisjordanie occupée, et un géant superstar.
Sébastien Lecornu, le ministre français des Armées, a dénoncé vendredi ce qu'il a qualifié de "mesure d'intimidation" russe "pas acceptable" au-dessus de la mer Baltique. Un système russe de défense air-sol aurait pris pour cible un avion français qui effectuait un vol de surveillance.
Le Premier ministre Ulf Kristersson a affirmé dimanche que son pays n’était "pas en guerre" mais ne traversait pas une période de paix non plus, évoquant des attaques hybrides et une guerre par procuration menée sur son sol.
L'Allemagne s'efforce samedi de sécuriser un pétrolier en difficulté et d'éviter une marée noire en mer Baltique, un navire accusé de faire partie de la "flotte fantôme russe", souvent vétuste, par laquelle Moscou exporte son pétrole malgré les sanctions. Le pétrolier Eventin, avec 99.000 tonnes de pétrole à bord, se trouve en situation de "détresse" et est en panne de moteurs après une coupure de courant, selon le centre de commandement allemand pour les urgences maritimes.
Deux tankers transportant du pétrole russe sont à la dérive au large de l’Allemagne ce samedi 11 janvier, au lendemain de l’annonce de nouvelles sanctions américaines contre 200 navires de la «flotte fantôme» de Moscou.

décembre 2024

Sept membres de l'équipage du pétrolier Eagle S soupçonné d'appartenir à la "flotte fantôme" de la Russie et d'être à l'origine d'une panne sur un câble sous-marin en mer Baltique sont visés par l'enquête pour sabotage et sont interdits de voyager, a annoncé mardi la police finlandaise."Sept membres de l'équipage du navire Eagle S ont le statut de suspect dans cette enquête criminelle et ont été frappés d'une interdiction de voyager", explique la police dans un communiqué concernant cette enquête ouverte pour sabotage aggravé et interférence aggravée dans les communications.
La panne d'un câble sous-marin entre la Finlande et l'Estonie survenue mercredi, derrière laquelle les Européens soupçonnent un acte de sabotage de la "flotte fantôme russe", est un "signal d'alarme" pour Berlin, qui pousse pour de nouvelles sanctions de l'UE.
L'Otan va "renforcer sa présence militaire" en mer Baltique, a annoncé vendredi le secrétaire général de l'Alliance Atlantique, Mark Rutte. Par ailleurs, l'Estonie a lancé des patrouilles en mer pour protéger sa connexion électrique avec la Finlande, deux jours après que le câble EstLink 2 reliant les deux pays a été rompu, probablement par un pétrolier en provenance d'un port russe, a annoncé le ministre estonien de la Défense.
La Finlande a ouvert une enquête pour "sabotage" sur le rôle d'un pétrolier en provenance de Russie, soupçonné d'être à l'origine de la panne d'un câble sous-marin électrique reliant le pays à l'Estonie survenue le jour de Noël.

novembre 2024

L'installation de parcs éoliens en mer Baltique impliquerait des "risques inacceptables" pour la défense de la Suède et de ses alliés car elle perturberait sa capacité à identifier des menaces, a estimé mercredi l'armée suédoise."Les forces armées suédoises ont été claires dans leur évaluation concernant l'énergie éolienne offshore dans la mer Baltique. Elle entraînerait des risques inacceptables pour la défense de notre pays et de nos alliés", ont expliqué les forces armées suédoises dans un courriel à l'AFP.