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Dans un marché foncier agricole wallon très peu régulé, l’agrandissement des surfaces dédiées à la production énergétique aura un effet mécanique sur l’augmentation du prix des terres. Laisser les terres nourricières au plus offrant revient à détruire l’agriculture et à mettre en danger notre souveraineté alimentaire.
Tout le monde s’accorde à dire qu’on ne peut pas continuer avec un parc de logements en mauvais état qui ruine ses habitants et le climat. Sa rénovation massive et rapide s’impose mais comment faire pour éviter que cela ne se traduise par davantage de spéculation, de gentrification et d’expulsions ? Il y a déjà tant de personnes dans la rue, et d’autres incapables de faire face aux frais et aux difficultés que cette rénovation implique.
Les lobbyistes des énergies carbonées ont fait main basse sur les COP, dénoncent, dans une tribune au « Monde », un collectif de 180 personnes engagées dans la lutte pour le climat. Elles appellent les Etats à réinventer le modèle de ces conférences et à les placer sous la protection des Nations unies.
Depuis 2018, Occupons le Terrain (OLT) réunit des collectifs et des associations qui veulent résister aux logiques de bétonnage à tout crin, de rendement à court terme et de domination des intérêts privés. Ensemble, ils veulent assurer à la fois le droit au logement et la préservation des territoires, des cadres de vie, de la biodiversité et des espaces verts.
Des associations écologistes et de défense des consommateur·rices, ainsi que des acteurs du bio, attaquent les insuffisances de la certification Haute valeur environnementale (HVE).
Pour les auteurs de cette tribune, parmi lesquels Attac et le réseau Sortir du nucléaire, l’industrie d’État qu’est le nucléaire tente d’imposer ses « avantages » pour préserver le climat, au prix d’informations souvent tronquées, approximatives ou mensongères. Au centre de ce travail de réhabilitation, les auteurs désignent Jean-Marc Jancovici et ses réseaux.
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Dix ans déjà que l’Onu reconnaissait le droit fondamental à l’eau potable et à l’assainissement. Pourtant, aujourd’hui, la situation reste dramatique. Nous devons nous engager pour que, demain, le droit à l’eau soit effectif pour tous les habitants de la Terre. Une opinion de Riccardo Petrella, professeur émérite à l'UCLouvain et cofondateur du Comité international pour le Contrat mondial de l'eau. L’opinion est signée par 67 autres signataires issus de 21 pays. Retrouvez la liste complète au bas de l'article.
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