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Le maraîcher bio Thierry Gozzerino alerte sur le danger des pesticides, alors que du glyphosate est encore utilisé dans les canaux d’irrigation de la plaine de la Crau. Il est depuis la cible d’intimidations.
Face aux sécheresses qui s’intensifient, Marlène Vissac développe une pratique « hydronomique ». À contre-courant des pratiques intensives, l’éleveuse de brebis plante des arbres et enrichit ses sols.
Le 9 juin prochain, les électeurs seront appelés aux urnes et ce, pour trois élections en même temps. Cette situation n'est pas exceptionnelle, c’était déjà le cas en 2014 et en 2019.
Le 4 avril, les députés étudient une proposition de loi pour réglementer les « polluants éternels ». Des personnes s’estimant victimes de ces molécules, notamment rejetées par l’usine de Salindres, dans le Gard, témoignent.
Près de Nîmes, un collectif d’écologistes, élus et chasseurs se bat contre un projet de parc éolien dans une forêt méditerranéenne, porté par TotalÉnergies. L’enquête publique, truquée par un maire local, va être relancée.
L’un travaille en conventionnel, l’autre en bio. Les pesticides ? Les viticulteurs Anthony Bafoil et Christian Vigne ne sont pas d’accord. Mais conviennent que l’agriculture doit « changer de logiciel ».
Cause majeure de la crise agricole, le changement climatique est pourtant peu abordé par les manifestants. Sécheresse, inondations... Ces vignerons occitans racontent leur désarroi et leurs craintes pour l’avenir.
Menace nucléaire russe : Poutine ne compte pas attaquer, mais "rappeler ses capacités de dissuasion"
- David RichVladimir Poutine agite à nouveau la menace du bouton rouge. Le président russe a supervisé, mercredi 25 octobre, des tirs de missiles balistiques lors de manœuvres militaires visant à simuler une "frappe nucléaire massive", en réponse "à une frappe nucléaire ennemie", selon les mots du ministre de la Défense, Sergueï Choïgou.
Près de 12 millions de jeunes s’apprêtent à retourner en cours, dans des classes souvent mal isolées. Malgré l’urgence, les collectivités peinent à relever le défi de la rénovation, complexe et coûteuse.
Les Pyrénées-Orientales sont à sec. Certes, des mesures de court terme viennent d’être prises. Mais des années d’inaction politique ont ancré la crise de l’eau : trop d’urbanisation, trop de siphonnage des rivières...
Chercheur passionné par les orages et la vulgarisation scientifique, Serge Zaka s’est donné pour mission de faire reculer les climatosceptiques, ces « semeurs de doute ». [Série 3/4] [Série 3/4] Vous lisez la série « Crise écologique : la révolte des scientifiques ». Pour ne pas rater le prochain épisode, abonnez-vous à notre lettre d’info. Montpellier (Hérault), reportage On le croirait surgi d’un film. Chapeau de cow-boy et bracelets de cuir, Serge Zaka a pourtant les pieds sur terre et le regard (...)
Considérée comme l’une des régions du monde les plus menacées par les effets du réchauffement, le Sahel est confronté à une recrudescence d’épisodes climatiques extrêmes. France 24 analyse les nombreux enjeux de cette crise, à l’agenda de la COP27, qui se tient jusqu'au 18 novembre en Égypte.
Depuis le 14 octobre, des dizaines de scientifiques multiplient les interventions publiques pour réclamer une politique à la hauteur de la crise écologique. Samedi à Montpellier, ils ont enjoint le gouvernement à agir d’urgence.
Alors que Vladimir Poutine a annoncé jeudi que le gaz russe devrait désormais être payé en roubles, l'Union européenne, premier client de Moscou, lui a opposé un refus catégorique et affirmé envisager d'autres scénarios pour son approvisionnement. France 24 décrypte avec Francis Perrin, spécialiste des questions énergétiques à l'Iris, cette nouvelle étape du bras de fer autour de la guerre en Ukraine.
Alors que débute la COP26 à Glasgow, les États du G20 se sont engagés, dimanche, en faveur de l'arrêt des financements internationaux des centrales à charbon. "Un acquis majeur" selon le président français, pourtant bien loin de sonner le glas de l’industrie énergétique la plus polluante du monde.
Restaurer les écosystèmes dégradés est l’un des défis pour l’avenir, selon l’ONU. Des projets ambitieux, tant humainement que financièrement, mais nécessaires pour rendre à la nature son territoire. La preuve à Sarcelles, Marseille et sur le Rhône.
Mais pour certains spécialistes, elle illustre également les ratés des mesures mises en place pour lutter contre le réchauffement climatique. France 24 s'est entretenu avec Benjamin Coriat, professeur émérite de sciences économiques à l'université Sorbonne Paris Nord, membre des Économistes atterrés et auteur notamment de l'ouvrage “Le bien commun, le climat et le marché” (Éd. Les Liens qui libèrent).
Un demi-siècle après le début de la résistance à l’extension du camp militaire du Larzac, la lutte y est toujours vivante. Le système de gestion des fermes et terres agricoles qui y règne mêle décisions collectives et valorisation de l’usage contre la propriété privée. Il attire des nouvelles générations prêtes à reprendre le flambeau.
Activités humaines et biodiversité ne sont pas incompatibles. Les oiseaux de milieux ouverts le démontrent bien : ils disparaissent en même temps que le pastoralisme, et sont aussi victimes de l’intensification de l’agriculture.