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Haute Mer
Les noms de 69.000 victimes palestiniennes et israéliennes du conflit en cours dans la bande de Gaza seront lus à voix haute mercredi dans la rue de la Loi, à Bruxelles.
Le sommet des océans s'achève vendredi à Nice, après cinq jours de discussions et de débats, avec de nombreuses promesses notamment pour une meilleure protection de la haute mer, la lutte contre la pêche illégale ou encore la mise en place d'aires marines protégées. Mais si de nombreux pays ont pris des engagements pour le Grand Bleu, ces avancées devront encore se concrétiser lors des prochains grands rendez-vous.
Le sommet de l'Onu sur l'océan s'achève ce vendredi à Nice sur une avancée, saluée par les ONG, vers une meilleure protection de la haute mer, mais sans promesses de financements de grande ampleur.
Le traité, signé en 2023, visant la protection des zones au-delà de 370 kilomètres des côtes, entrera en vigueur 120 jours après la 60e ratification. Aucun calendrier précis n’a été indiqué par le président français.
Le traité de protection de la haute mer, dont l'entrée en vigueur est espérée d'ici la fin de l'année, donnera des moyens d'action pour la conservation et la gestion durable de la biodiversité marine dans l'immense partie des océans qui n'appartient à personne.
Trente et un Etats ont ratifié l’accord sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine dans les eaux internationales. Il en faudrait 60 pour qu’il entre en vigueur, un des objectifs qu’Emmanuel Macron souhaite atteindre pendant la Conférence des Nations unies sur l’océan, du 9 au 13 juin, à Nice.
Le traité sur la Haute Mer peine à entrer en vigueur. Pourtant, des scientifiques de renom alertent aujourd’hui : les écosystèmes marins n’attendront pas. Sans une action immédiate, c’est la vie sur notre Terre qui pourrait être menacée.
Le traité a encore besoin de plus de trente ratifications pour pouvoir être appliqué, alors que la France organise au mois de juin la conférence de l’ONU sur les océans.
Figure de la lutte internationale pour la défense des océans, Anne-Sophie Roux revient pour Vert sur le décret signé jeudi dernier par Donald Trump visant à lancer l’exploitation commerciale des fonds marins dans les eaux internationales.
L’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science font partie des priorités énoncées, lundi, par le chef de l’Etat.
La Chine a développé un appareil permettant de couper les câbles de communication en haute mer. Le dispositif a été mis au point par un centre de recherche scientifique maritime et un institut s’occupant de navires sous-marins habités ou non, rapporte entre autres le journal anglophone South China Morning Post (SCMP). L’appareil pourrait mettre hors service des câbles de communication hautement sécurisés jusqu’à une profondeur de quatre kilomètres. C’est-à-dire la quasi-totalité des câbles existants dans les fonds marins.
Dénonçant les ravages des «flottes de pêche industrielle», l‘organisation de défense de l’environnement appelle à la mise en place d’une zone protégée autour de l’archipel du Pacifique, dans le respect du traité sur les océans de 2023.
C’est plus que ce qui était espéré : au moins 75 pays ont signé le 1ᵉʳ traité international de protection de la haute mer, lors de l’Assemblée générale des Nations unies, du 20 au 22 septembre. Parmi les signataires, figurent les États-Unis et la Chine, deux pays dont l’engagement était attendu.
Soixante-sept pays, ainsi que l'UE en tant qu'organisation, ont signé mercredi le traité historique de protection de la haute mer, qui prévoit notamment la création d'aires marines protégées. Il pourrait entrer en vigueur dès 2025, au moment de la prochaine Conférence des Nations unies sur l'océan en France.
Ce 2 août, l’humanité a consommé depuis le début de l’année toutes les ressources qu’elle peut (ré) générer en douze mois. Depuis une dizaine d’années, cette date symbolique stagne, signe que nos efforts ne sont pas suffisants.
C'est une première historique : après plus de 15 années de discussions, les pays membres de l'ONU ont adopté lundi un traité international pour protéger la haute mer. Il prévoit notamment la création d'aires marines protégées dans ces eaux internationales. Chaque État doit désormais le ratifier.
Les Etats membres de l'ONU ont adopté lundi le premier traité international pour protéger la haute mer, un accord "historique" pour contrecarrer les menaces qui pèsent sur l'océan et sa bonne santé, vitale aussi pour l'humanité.
Après quinze ans de discussions, les États membres des Nations unies se sont accordés sur un texte portant sur la préservation des eaux internationales. Il doit être adopté lundi.
Une coalition de pays tente de faire barrage à l’extraction minière sous-marine, dont les négociations ont repris moins de deux semaines après un accord historique pour protéger la haute mer.
Texte crucial pour la préservation de la moitié de la planète, ce traité de protection de la haute mer a été voté après une double décennie de discussions.
Les Etats membres se sont enfin mis d’accord sur le premier traité international destiné à lutter contre les menaces qui pèsent sur des écosystèmes vitaux pour l’humanité. Mais il sera formellement adopté à une date ultérieure.
Le Secrétaire général de l’ONU a félicité les pays membres de l'ONU d’avoir finalisé un texte « décisif » visant à assurer la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique marine dans les eaux internationales.
D’intenses négociations diplomatiques sur la sauvegarde de la biodiversité dans cette zone encore non régulée ont lieu au siège de l’ONU depuis le 20 février. Elles pourraient aboutir ce vendredi soir ou dans la nuit de vendredi à samedi.
Les Etats membres des Nations unies doivent se mettre d’accord ce vendredi sur un traité régulant les eaux internationales. Au cœur des débats, l’utilisation des ressources génétiques marines, ce trésor caché des océans.
Les Nations unies entament ce lundi des négociations pour établir un traité afin de protéger cette étendue maritime. Des aires marines protégées aux études d’impact sur l’environnement, différents outils pourraient être adoptés.
L’Allemagne appelle à une pause sur l’industrie controversée de l’exploitation minière en haute mer, car il n’existe pas suffisamment d’informations sur les impacts possibles du creusement du fond de l’océan à la recherche de métaux.
Malgré des progrès, les négociations menées dans le cadre des Nations unies ont bloqué sur la question du partage des ressources génétiques.
Nouvelle avarie pour le traité destiné à protéger les zones marines extraterritoriales, toujours pas signé après un cinquième round de négociations. Une autre session pourrait avoir lieu d’ici à la fin de l’année.
Aucun accord n'a été trouvé entre les États membres de l'ONU réunis depuis deux semaines pour s'entendre sur un traité de protection de la haute mer, qui passerait notamment par la création d'aires marines protégées. Greenpeace a dénoncé l'"avidité" de l'UE, des États-Unis et du Canada à garder les ressources génétiques de la haute mer pour eux.
Une ébauche de texte remise dimanche 21 août aux délégués de la conférence intergouvernementale chargée de préparer, à New York, le traité a été accueillie positivement par les négociateurs.