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Nos modes de consommation et d'alimentation causent des crises "interconnectées" pour la biodiversité, le climat et la santé, menaçant la survie d'écosystèmes essentiels comme les coraux, alertent des experts du monde entier dans un rapport de référence.
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, mercredi, une résolution non contraignante par 158 voix pour, neuf contre et treize abstentions exigeant un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent", un appel rejeté par Israël et les États-Unis.
Aridité : une crise existentielle pour la vie sur TerreCinq milliards de personnes pourraient être touchées d'ici 2100. Malgré l'intensification des catastrophes liées à l'eau telles que les inondations et les tempêtes dans certaines régions du monde, plus des trois quarts des terres de la Terre sont devenues plus sèches de façon permanente au cours des dernières décennies, ont averti aujourd'hui les scientifiques de l'ONU dans une nouvelle analyse alarmante.
Le climat de la planète s’assèche sur plus des trois quarts des terres émergées, selon un rapport de la convention de l’ONU sur la désertification publié lundi.
Entre 1990 et 2020, 4,3 millions de kilomètres carrés de terres humides se sont transformés en terres arides, entraînant des conséquences graves pour les écosystèmes et la sécurité alimentaire.
Les sécheresses coûtent près de 300 milliards d’euros par an, au niveau mondial, alerte l’ONU ce mardi 3 décembre, au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, dans un rapport appelant à des investissements urgents dans des solutions fondées sur la nature, comme la reforestation.
Les sécheresses coûtent près de 300 milliards d'euros par an, au niveau mondial, alerte l'ONU mardi, au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, dans un rapport appelant à des investissements urgents dans des solutions fondées sur la nature, comme la reforestation.
Leur coût s’élève à près de 300 milliards d’euros par an, au niveau mondial, annonce un rapport publié ce mardi 3 décembre. Présenté au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, il appelle à des investissements urgents.
L'avenir de la planète est en jeu, a affirmé lundi un représentant du Vanuatu devant la plus haute juridiction de l'ONU, ouvrant un processus historique qui vise à établir un cadre juridique sur la manière dont les pays devraient lutter contre le changement climatique. Plus de 100 pays et organisations présenteront des observations sur le sujet, soit le nombre le plus élevé jamais enregistré devant la Cour internationale de justice (CIJ), qui siège à La Haye.
La plus haute juridiction de l'ONU a entamé lundi à La Haye des audiences historiques visant à définir les obligations juridiques des pays face au changement climatique et pour aider les nations vulnérables à le combattre. Le juge président Nawaf Salam a ouvert les audiences au cours desquelles plus de 100 pays et organisations présenteront des observations sur le sujet, soit le nombre le plus élevé jamais enregistré devant la Cour internationale de justice (CIJ), basée à La Haye.
Aujourd’hui, jusqu’à 40 % des terres mondiales sont dégradées, affectant la moitié de l’humanité avec des conséquences graves pour le climat, la biodiversité et les moyens de subsistance des populations. Les sécheresses deviennent plus fréquentes et plus sévères, augmentant de 29 % depuis 2000 en raison du changement climatique et de la gestion non durable des terres. Si les tendances actuelles se poursuivent, il sera nécessaire de restaurer 1,5 milliard d’hectares de terres d’ici 2030 pour atteindre un monde neutre en termes de dégradation des terres.
This special report on land comes at a time when the scientific evidence is unambiguous: the way we manage our land will directly determine the future of life on Earth. The planetary boundaries framework, highlighted in this report, is a critical scientific tool to understand the complex interdependencies between land, climate, biodiversity and water, among other Earth system components, offering policymakers a focused lens through which to view the potential risks and rewards of different land-use decisions.
La bande de Gaza a sombré dans l’anarchie, avec une hausse de la famine, des pillages généralisés et des viols de plus en plus fréquents dans les camps de réfugiés, alors que l’ordre public s’est effondré, ont déclaré vendredi des responsables des Nations-Unies.
Depuis deux semaines, la capitale fait face à une nouvelle explosion de violences. Au total, 700 000 personnes sont déplacées dans ce pays des Caraïbes.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a exprimé des sentiments mitigés à propos de l'accord sur le financement de la lutte contre le changement climatique conclu en Azerbaïdjan tôt dimanche matin, exhortant les Etats à le considérer comme une "fondation" à consolider."J'avais espéré un résultat plus ambitieux - tant sur le plan financier que sur celui de l'atténuation - pour relever le grand défi auquel nous sommes confrontés", a-t-il déclaré dans un communiqué, appelant "les gouvernements à considérer cet accord comme une fondation - pour continuer à construire".
Au moins 150 personnes ont perdu la vie cette semaine à Port-au-Prince, capitale d'Haïti, s'est inquiété mercredi l'ONU, qui dénonce la "violence des gangs". Ces derniers avaient uni leurs forces en début d'année pour renverser le Premier ministre Ariel Henry.
Protection de la nature et des êtres humains sont intimement liées. Accorder une personnalité juridique au vivant pourrait être une solution à mettre en place à l’échelle internationale.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
L’objectif de la COP29 est d’inscrire dans le marbre le financement de 1 000 milliards de dollars par an d’aide climatique à destination des pays en développement. De l’avis général, le résultat de la première semaine de négociations a été quasi nul.
Le comité spécial de l’ONU chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés s’alarme notamment des “pertes civiles massives” et de l’emploi de “la famine comme arme de guerre”. Washington a lui désapprouvé “sans équivoque” les conclusions du document onusien.
La diplomatie en faveur du climat résistera aux événements politiques, a jugé mardi le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, en allusion directe à l'élection de Donald Trump aux États-Unis.Un processus « robuste » selon Simon Stiell"Nombre d'entre vous ont écrit sur les implications pour le climat des événements politiques ces dernières semaines. Je dirai juste que notre processus est solide. Il est robuste et perdurera", a-t-il dit lors d'une conférence de presse au deuxième jour de la COP29 à Bakou.
La vingt-neuvième conférence de l'ONU pour le climat s'ouvre lundi à Bakou en Azerbaïdjan. Principal objectif : trouver des centaines de milliards de dollars pour aider les pays les plus vulnérables à s'adapter au changement climatique. Des débats qui s'annoncent difficiles, d'autant plus que de nombreux chefs d'États ne seront pas présents. Un sommet qui débute six jours après l'élection du climato-sceptique Donald Trump à la présidence des États-Unis, deuxième pays le plus émetteur de CO2.
Une haute responsable de l’ONU a dénoncé mardi la "cruauté quotidienne" subie par la population de la bande de Gaza assiégée et bombardée par Israël, décrivant "des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves".
Les ambitions de l'accord de Paris sont "en grand danger", a alerté l'ONU lundi, à l'ouverture de la conférence climatique de l'ONU à Bakou (COP29), avec l'année 2024 quasiment assurée de devenir l'année la plus chaude jamais enregistrée.
La famine menace dans le nord de la bande de Gaza, dans un contexte d'intensification des opérations de l'armée israélienne et d'un arrêt quasi total de l'aide alimentaire, alerte samedi un rapport de l'ONU.
Les femmes et les enfants représentaient "près de 70 %" des victimes dans la bande de Gaza, a affirmé l'ONU vendredi. Le Haut-Commissariat aux droits de l'Homme a mené une minutieuse vérification d'un décompte partiel des victimes – 8 119 sur plus de 34 500 au total – de la guerre menée par Israël contre le Hamas.
Dans son rapport annuel sur le sujet publié ce jeudi 7 novembre, le Programme des Nations unies pour l’environnement constate que malgré une augmentation des flux financiers vers les pays du Sud, le compte n’y est pas.
Le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, est "très inquiet" de la présence de troupes nord-coréennes en Russie et de leur possible déploiement sur le front face à l'Ukraine, a indiqué dimanche son porte-parole dans un communiqué. "Cela représenterait une escalade très dangereuse du conflit" entre Kiev et Moscou, ajoute le communiqué de Stéphane Dujarric.
Les États-Unis et la Corée du Sud ont appelé mercredi Pyongyang à retirer ses troupes en Russie, craignant qu'elles ne combattent en Ukraine, tandis que l'ambassadeur russe à l'ONU, Vassili Nebenzia, a qualifié de "simples affirmations" cette présence.
77 % des récifs coralliens mondiaux sont touchés par le phénomène de blanchissement, principalement dû au réchauffement des eaux océaniques, conséquence directe du changement climatique d'origine humaine. Il s'agit du plus grand épisode de blanchissement jamais observé.


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ONU | UNCCD

décembre 2024

Nos modes de consommation et d'alimentation causent des crises "interconnectées" pour la biodiversité, le climat et la santé, menaçant la survie d'écosystèmes essentiels comme les coraux, alertent des experts du monde entier dans un rapport de référence.
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, mercredi, une résolution non contraignante par 158 voix pour, neuf contre et treize abstentions exigeant un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent", un appel rejeté par Israël et les États-Unis.
Aridité : une crise existentielle pour la vie sur TerreCinq milliards de personnes pourraient être touchées d'ici 2100. Malgré l'intensification des catastrophes liées à l'eau telles que les inondations et les tempêtes dans certaines régions du monde, plus des trois quarts des terres de la Terre sont devenues plus sèches de façon permanente au cours des dernières décennies, ont averti aujourd'hui les scientifiques de l'ONU dans une nouvelle analyse alarmante.
Le climat de la planète s’assèche sur plus des trois quarts des terres émergées, selon un rapport de la convention de l’ONU sur la désertification publié lundi.
Entre 1990 et 2020, 4,3 millions de kilomètres carrés de terres humides se sont transformés en terres arides, entraînant des conséquences graves pour les écosystèmes et la sécurité alimentaire.
Les sécheresses coûtent près de 300 milliards d’euros par an, au niveau mondial, alerte l’ONU ce mardi 3 décembre, au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, dans un rapport appelant à des investissements urgents dans des solutions fondées sur la nature, comme la reforestation.
Les sécheresses coûtent près de 300 milliards d'euros par an, au niveau mondial, alerte l'ONU mardi, au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, dans un rapport appelant à des investissements urgents dans des solutions fondées sur la nature, comme la reforestation.
Leur coût s’élève à près de 300 milliards d’euros par an, au niveau mondial, annonce un rapport publié ce mardi 3 décembre. Présenté au deuxième jour de la COP16 sur la désertification, il appelle à des investissements urgents.
L'avenir de la planète est en jeu, a affirmé lundi un représentant du Vanuatu devant la plus haute juridiction de l'ONU, ouvrant un processus historique qui vise à établir un cadre juridique sur la manière dont les pays devraient lutter contre le changement climatique. Plus de 100 pays et organisations présenteront des observations sur le sujet, soit le nombre le plus élevé jamais enregistré devant la Cour internationale de justice (CIJ), qui siège à La Haye.
La plus haute juridiction de l'ONU a entamé lundi à La Haye des audiences historiques visant à définir les obligations juridiques des pays face au changement climatique et pour aider les nations vulnérables à le combattre. Le juge président Nawaf Salam a ouvert les audiences au cours desquelles plus de 100 pays et organisations présenteront des observations sur le sujet, soit le nombre le plus élevé jamais enregistré devant la Cour internationale de justice (CIJ), basée à La Haye.
Aujourd’hui, jusqu’à 40 % des terres mondiales sont dégradées, affectant la moitié de l’humanité avec des conséquences graves pour le climat, la biodiversité et les moyens de subsistance des populations. Les sécheresses deviennent plus fréquentes et plus sévères, augmentant de 29 % depuis 2000 en raison du changement climatique et de la gestion non durable des terres. Si les tendances actuelles se poursuivent, il sera nécessaire de restaurer 1,5 milliard d’hectares de terres d’ici 2030 pour atteindre un monde neutre en termes de dégradation des terres.

novembre 2024

This special report on land comes at a time when the scientific evidence is unambiguous: the way we manage our land will directly determine the future of life on Earth. The planetary boundaries framework, highlighted in this report, is a critical scientific tool to understand the complex interdependencies between land, climate, biodiversity and water, among other Earth system components, offering policymakers a focused lens through which to view the potential risks and rewards of different land-use decisions.
La bande de Gaza a sombré dans l’anarchie, avec une hausse de la famine, des pillages généralisés et des viols de plus en plus fréquents dans les camps de réfugiés, alors que l’ordre public s’est effondré, ont déclaré vendredi des responsables des Nations-Unies.
Depuis deux semaines, la capitale fait face à une nouvelle explosion de violences. Au total, 700 000 personnes sont déplacées dans ce pays des Caraïbes.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a exprimé des sentiments mitigés à propos de l'accord sur le financement de la lutte contre le changement climatique conclu en Azerbaïdjan tôt dimanche matin, exhortant les Etats à le considérer comme une "fondation" à consolider."J'avais espéré un résultat plus ambitieux - tant sur le plan financier que sur celui de l'atténuation - pour relever le grand défi auquel nous sommes confrontés", a-t-il déclaré dans un communiqué, appelant "les gouvernements à considérer cet accord comme une fondation - pour continuer à construire".