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Sultan

avril 2024

La COP28 a eu lieu à Dubaï (Émirats arabes unis) du 30 novembre au 13 décembre 2023, se terminant avec un jour de retard sur le calendrier initial. Cette conférence de la Convention Cadre des Nations unies sur les Changements Climatiques a fait l’objet d’une attention particulière en raison notamment :

décembre 2023

Associé à Oman dans le cadre de la construction d'un port en mer d'Arabie à partir de 2024, le port de Lorient envisage l'importation de poissons du sultanat. Les pêcheurs et les écologistes bretons dénoncent une aberration.
Alors que la bataille fait rage pour savoir si oui ou non la COP28 a été un succès et s’il est justifié de parler d’un accord "historique", il suffit peut-être de se tourner vers les pétroliers pour trouver la réponse. Sultan al Jaber, le président du sommet, à la tête de la compagnie pétrolière nationale Adnoc, a affirmé dans un entretien au Guardian publié vendredi 15 décembre qu’il continuerait à investir dans les hydrocarbures malgré l’accord trouvé à Dubaï.
La conférence sur le climat vient de se terminer à Dubaï sur un accord historique qui devrait marquer “le début de la fin” des énergies fossiles. Pourtant, le président de la COP28, Sultan Al Jaber, a affirmé poursuivre son investissement dans le pétrole.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele a réagi après l'adoption de l'accord final de la Cop 28.
Selon le Service Copernicus pour la surveillance de l’atmosphère (CAMS) qui suit entre autres les émissions mondiales de carbone résultant des incendies, les feux de forêts qui ont touché le Canada dès le mois de mai dernier "ont généré de loin les émissions de carbone les plus élevées jamais enregistrées dans ce pays". Ces incendies sont aussi responsables de pratiquement un quart (23%) "du total des émissions de carbone dues aux incendies de forêt à l’échelle mondiale pour 2023".
Sultan al-Jaber a réaffirmé ce lundi 4 décembre qu’il respectait les préconisations scientifiques sur le changement climatique et que le travail de sa présidence avait été centré sur ce sujet.
Le Sultan Al Jaber a suscité l'indignation après avoir remis en cause la véracité scientifique de l'effet positif sur le climat de la sortie des énergies fossiles.
En novembre, le président de la Cop 28 à Dubaï, le Sultan Al Jaber, aussi patron d’une compagnie pétrolière, a tenu des propos choquants sur le climat.
Dans une vidéo mise en ligne par le «Guardian», l’Emirati VRP du pétrole affirme qu’il n’existe pas de données scientifiques prouvant qu’arrêter d’utiliser des énergies fossiles permettrait de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C.
Un président de COP ne devrait pas dire ça. The Guardian vient de révéler une vidéo dans laquelle Sultan Al Jaber, président de la COP28, affirme que la sortie des énergies fossiles pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°C ne repose pas sur des "données scientifiques". Une polémique de plus pour celui qui est également PDG d'une compagnie pétrolière. "Le masque tombe mais on le savait déjà. Le président de la COP28 et le président de l’Adnoc sont une seule et même personne", épingle le spécialiste Arnaud Gossement

novembre 2023

Le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, s'est défendu mercredi d'avoir voulu user de sa position de président de la conférence de l'ONU sur le climat pour promouvoir des projets pétroliers et énergétiques des Emirats dans plusieurs pays, comme des documents révélés cette semaine l'ont évoqué.
Le président de la COP28 qui s'ouvre jeudi à Dubaï, Sultan Al Jaber, dit tomber des nues quand il entend des écologistes l'accuser de duplicité sur le climat.En public, la parole de cet homme de haute taille âgé de 50 ans, qui cumule les fonctions de patron de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc, de ministre de l'Industrie et des Technologies avancées des Emirats arabes unis, d'émissaire pour le climat et de président de la 28e conférence de l'ONU sur le climat (COP28), est prudente, presque monotone.
McKinsey, plus grand cabinet de conseil au monde, se sert de son influence dans les préparatifs de la COP28 pour défendre les intérêts de ses clients pétrogaziers, sapant les efforts pour sortir des énergies fossiles, selon plusieurs sources et document consultés par l'AFP.
Plus de 46 millions de professionnels de santé ont écrit une lettre au président de la COP28, Sultan Al-Jaber, et rappellent le danger des énergies fossiles pour la santé humaine.