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amazonienne

février 2024

Le Service Copernicus pour la surveillance de l’atmosphère (CAMS) a suivi les émissions provenant des incendies de forêt en Amérique du Sud. L’intensité des feux de forêt dans le nord de la forêt amazonienne, en particulier dans l’État brésilien de Roraima, a entraîné les plus fortes émissions de carbone enregistrées pour un mois de février depuis au moins 2003, non seulement pour Roraima, mais aussi pour l’ensemble du Brésil. D’autres pays d’Amérique du Sud, comme le Venezuela et la Bolivie, enregistrent également les émissions les plus élevées depuis 2003 pour la même période.

septembre 2023

Des petits boitiers développés par une université brésilienne, nommés «Curupira», sont testés pour prévenir automatiquement de la mise en marche d’outils susceptibles d’abattre les arbres de la forêt primaire.

août 2023

C'est une "décision historique" se félicitent les défenseurs de l'Amazonie: une majorité d'Equatoriens a voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur.Lors d'un référendum organisé dimanche, parallèlement à des élections générales anticipées, les Equatoriens ont dit oui à 59% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les résultats publiés lundi.
Cette terre indigène, qui s’étend sur près d’un million d’hectares de forêt humide et primaire, constitue une réserve unique de biodiversité. Les défenseurs de l’Amazonie saluent une « victoire historique ».
Une majorité d'Equatoriens ont voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur, a-t-on appris lundi de source officielle.Lors d'un référendum organisé dimanche parallèlement à des élections générales anticipées, les électeurs ont dit oui à 58,99% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les derniers résultats publiés lundi matin et portant sur 93% des bulletins valides.
À l’issue de la conférence internationale des pays latino et autres sur le thème de l’Amazonie, voici un texte d’ambiance que j’ai rédigé en janvier 1987 lorsque je vivais à Macuya en pleine forêt amazonienne. Je travaillais sur un projet de la coopération belge de développement durable environnemental. En 2023, ce texte est toujours d’une actualité criante.
Peut-on encore sauver la plus grande forêt tropicale du monde, abîmée par des années de déforestation ? À partir...

février 2023

Elle est née au cœur de l’Amazonie brésilienne, où la déforestation vient d'établir un record pour un mois de février. Figure emblématique de l’écologie au Brésil, Marina Silva est la ministre de l'Environnement du gouvernement Lula. Un rôle qu’elle avait déjà endossé entre 2003 et 2008.

novembre 2022

Donner à la forêt amazonienne une chance de s’étendre à nouveau, c’est l’un des objectifs du projet TerrAmaz. Dans ce quatrième épisode de notre série “L’Appel de la forêt”, la coordonatrice du projet, l’économiste Marie-Gabrielle Piketty, nous explique où et comment la reforestation est possible au Brésil. Et aussi pourquoi la forêt peut cohabiter avec l’agriculture.
Agriculture, feux de forêts, mines, extraction de pétrole… La déforestation de l'Amazonie s'est aggravée sous le mandat de Jair Bolsonaro. Le président d'extrême droite et climatosceptique a été vaincu, dimanche, par Lula, son rival de gauche, qui a pris publiquement position pour la protection de la nature et des peuples indigènes.

octobre 2022

Le groupe de lutte face au changement climatique "Rise for Climate", accompagné d'une délégation issue de la forêt amazonienne et de différentes ONG, ainsi que la princesse Esmeralda, ont mené une action jeudi en fin de journée, dans le cadre du Sommet européen qui se déroule à Bruxelles.

septembre 2022

L’avenir de la forêt amazonienne, surnommée à juste titre « poumon de la planète », est étroitement lié à celui de la planète entière. Si cet écosystème unique et auparavant impénétrable est depuis des décennies sous le joug de menaces anthropiques extrêmes, sa perte de superficie n’a jamais été aussi rapide et frénétique que sous le mandat de Jair Bolsonaro (depuis 2019). Aujourd’hui à quelques jours de l’annonce des résultats du scrutin présidentiel au Brésil, les scientifiques s’inquiètent de l’avenir de la forêt amazonienne et de la planète entière, s’il parvenait à se faire réélire. Son rival, quant à lui, promet d’inverser les dommages environnementaux et d’atteindre les objectifs en matière de solutions contre le changement climatique. Mais rien n’est encore joué.
Selon un nouveau rapport publié par le Réseau amazonien d’information socio-environnementale et géographique (Raisg) au début du mois de septembre, 26% de la surface de la forêt amazonienne aurait été détruite ou serait en passe de l’être, ce qui marquerait le point de non-retour.
Le Parlement européen a adopté mardi 13 septembre la première loi au monde visant à mettre fin à la déforestation importée pour plusieurs produits comme la viande, le soja ou encore l’huile de palme. Un vote historique qui intervient au moment où un nouveau rapport alerte sur l’état de dégradation de la forêt amazonienne, la plus grande forêt tropicale humide au monde. Celle-ci se transforme peu à peu en savane avec des conséquences sur le climat, mais aussi la pluviométrie dans la région.
Chaque jour qui passe semble vouloir mettre la forêt amazonienne de plus en plus en danger. Selon un nouveau rapport, avec 26 % de surface au moins fortement dégradée, elle aurait même désormais franchi son point de non-retour.