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Amazonie
Les ONG du Réseau action climat (RAC) ont dénoncé mardi "l'ambivalence" et "l'hypocrisie" du Brésil à l'approche de la COP30, réclamant davantage d'ambition et de moyens pour faire face aux enjeux climatiques et respecter l'accord de Paris. "La présidence brésilienne de la COP30 est dans une position hypocrite" puisqu'elle proclame vouloir réhausser les ambitions climatiques tout en accordant lundi une nouvelle licence d'exploitation pétrolière au large de l'Amazonie à Petrobras, sa compagnie nationale, "c'est complètement ahurissant", a déclaré Fanny Petitbon, responsable France de l'ONG 350.org, lors d'un point presse.
Forage en eaux troubles avant la COP30. Le gouvernement brésilien a donné son feu vert à la compagnie publique Petrobras pour lancer des forages exploratoires au large de l’estuaire de l’Amazone. ONG, scientifiques et société civile dénoncent un sabotage du sommet climatique et une trahison des engagements du président Lula.
Le président brésilien Lula, en faveur du projet validé ce lundi 20 octobre, affirme que l’argent du pétrole peut servir à financer la transition énergétique. Le forage est autorisé pour une durée de cinq mois, à 175 kilomètres de la côte.
La compagnie pétrolière publique brésilienne Petrobras a annoncé lundi avoir obtenu l'autorisation d'explorer en quête de pétrole au large de l'Amazonie, un projet dénoncé par les écologistes qui se voit confirmé à quelques semaines de la COP30 au Brésil. Ce projet est poussé par le président brésilien de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, qui accueillera la conférence climat de l'ONU en novembre dans la ville amazonienne de Belem. Pour ses détracteurs, ce chantier pétrolier est le symbole des contradictions de Lula, qui se veut en même temps à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique et pour la défense de la forêt amazonienne.
À moins d'un mois de la COP30 à Belém, ville portuaire d'Amazonie, Lula affiche un bilan climatique encourageant. Depuis son retour au pouvoir en janvier 2023, le président brésilien a fait de la protection de l'environnement l'une de ses priorités : il a ralenti la destruction de la forêt amazonienne, relancé le Fonds Amazonie ou encore créé un ministère des Peuples indigènes.
Le Brésil, l'Inde, l'Italie et le Japon ont promis mardi de multiplier par quatre leur production et leur consommation de combustibles durables, en espérant être rejoints par d'autres pays durant la COP30 en novembre. Le géant sud-américain est le pays-hôte de la conférence de l'ONU sur le climat, qui aura lieu dans la ville amazonienne de Belem. Les quatre pays se sont engagés à multiplier leur production de combustibles durables par quatre d'ici 2035, par rapport à celle de 2024, a expliqué à des journalistes à Brasilia Joao Marcos Paes Leme, directeur du service énergie au ministère des Affaires étrangères brésilien.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des Etats-Unis. Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie
De la viande de bœuf issue de bétail élevé illégalement sur des terres indigènes protégées de la forêt amazonienne pourrait avoir fini dans les assiettes des consommateurs européens, selon un rapport de Greenpeace Brésil publié jeudi.
Suspension of Soy moratorium could open up area of rainforest the size of Portugal to destruction
Lorsque nous évoquons l’Amazonie, nous pensons instinctivement à ses fleuves majestueux serpentant à travers la végétation luxuriante. Pourtant, au-dessus de nos têtes se déploie un réseau hydrologique encore plus impressionnant : des rivières invisibles qui transportent chaque jour plus d’eau que l’Amazone elle-même. Ces « rivières volantes » constituent l’un des mécanismes les plus fascinants et méconnus de notre planète, orchestrant la distribution des précipitations à travers tout le continent sud-américain.
Dernièrement, une infographie listait les pays dont les surfaces de forêt tropicale ont le plus diminué en 2024. Si les pays les plus impactés se trouvent en Amazonie, d’autres également touchés se situent ailleurs dans le monde.
Brazil records 62% jump in area burned by forest fires: monitor
La destruction de la couverture forestière a augmenté de 9,1 % entre août 2024 et mai 2025 par rapport à la même période l’année précédente.
Researchers found that between 2002 and 2015, a 3.2% reduction in Brazilian forest cover led to a 5.4% reduction in precipitation levels.
La garde indigène des Yuturi Warmi, composée de femmes, dans le Napo équatorien, résiste à l'orpaillage illégal sur un territoire d'environ 4 000 hectares. Grâce à des patrouilles mensuelles dans la jungle amazonienne, elles documentent également précisément l'accélération de l'expansion de l'industrie minière.
Cette semaine, Actuelles est consacrée aux femmes qui s'engagent pour la défense de la nature. Nous irons à la rencontre de la biologiste marine Fiorella Herrera. Elle a fondé l'association "We can be heroes" pour former les communautés à la protection de la nature et "Salva tu selva" pour protéger 25 000 hectares de forêt primaire en Amazonie péruvienne. Elle raconte ce combat dans un documentaire, "El otro rio".
L’ancienne ministre de la justice occupe depuis l’automne 2024 une prestigieuse chaire universitaire au Brésil. Elle prépare activement la COP30, où elle défendra la préservation de la forêt amazonienne, en s’appuyant sur le travail des chercheurs qu’elle dirige.
L'Équateur a identifié samedi une fuite dans un oléoduc en Amazonie, que le gouvernement a attribuée à un "sabotage", après une autre fuite qui a privé d'eau potable des dizaines de milliers d'habitants. Le ministère de l'Energie n'a pas précisé l'ampleur de la fuite ni si elle s'était étendue à la rivière Coca, où se trouve la principale centrale hydroélectrique, dans l'est du pays. Le ministère de l'Environnement a reconnu de son côté que la fuite pouvait avoir un "impact" en matière de pollution.
À quelques mois du prochain sommet mondial sur le climat, qui se tiendra en novembre à Belém, la construction d’une quatre voies à travers une zone protégée de l’Amazonie suscite une vive controverse. Si le gouvernement du Pará défend un projet “durable” pour moderniser la ville, écologistes et habitants dénoncent une menace pour l’environnement et les communautés traditionnelles locales.
Climat : une partie de la forêt amazonienne abattue pour construire une autoroute en vue de la COP30
- Belga,Une partie de la forêt amazonienne a été abattue pour construire une autoroute en vue de la COP30 qui se tiendra à Belem dans le nord du Brésil, rapporte la BBC mercredi. Belem accueillera la COP30, la prochaine conférence sur le climat de l’ONU, du 10 au 21 novembre. Quelque 50.000 visiteurs sont attendus pour l’occasion. Pour faire face à cet afflux, les autorités ont lancé la construction d’une autoroute à quatre voies, qui traverse des dizaines de milliers d’hectares de forêt amazonienne protégée.
Les surfaces déboisées représentaient 80,95 kilomètres carrés en février contre 226,51 kilomètres carrés un an plus tôt, selon les données recueillies par les satellites de l’Institut de recherches spatiales. Le président, Luiz Inacio Lula da Silva, s’est engagé à éradiquer d’ici à 2030 la déforestation illégale dans le pays.
En Amazonie, un phénomène inquiète depuis des années les scientifiques : pourquoi les oiseaux meurent-ils en nombre, y compris dans les zones les plus éloignées - et préservées - de la forêt ?
Le groupe Crédit Agricole détient 240 millions d’euros dans Repsol, une multinationale qui produit du gaz dans l’Amazonie péruvienne, et en tire d’importants profits, révèle France 24, en partenariat avec Disclose et RFI. D’après notre enquête sur place, la firme gazière est responsable de nombreuses atteintes à l’environnement et à la santé des habitants.
Au mépris de leurs engagements écologiques, les groupes Crédit Agricole, BNP Paribas et BPCE investissent en toute discrétion dans des multinationales des énergies fossiles accusées de pollution en Amazonie, révèle une enquête de Disclose, en partenariat avec France 24 et RFI. Ces investissements rapportent chaque année aux banques françaises plus de 45 millions d’euros.
Bornéo, Amazonie, bassin du Congo… Les grandes forêts primaires qu’il reste sont toujours menacées par la déforestation. Une pratique néfaste qui a bien souvent des origines coloniales.
Les activités d’extraction minière en Equateur ravagent les écosystèmes et la santé des habitants de la région amazonienne, la plus pauvre du pays.
Une partie de l’Amazonie montre des signes de savanisation: les scientifiques redoutent que le phénomène ne devienne irréversible.
Depuis le début de l’année, plus de 10 200 cas ont été enregistrés dans sept pays d’Amérique du Sud. Le virus a été importé à Cuba, où il a provoqué une épidémie, et en Europe, mais sans essaimer dans l’entourage des voyageurs infectés.
Joe Biden est arrivé dimanche à Manaus pour une visite historique en Amazonie, la première d'un président américain en exercice. Il a lancé un message pour protéger l'environnement à l'adresse de son successeur Donald Trump.
