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hydrologique

mai 2022

Aucune région de France ne devrait échapper à la sécheresse d’ici la fin de l’été. L’alerte émane du ministère de la Transition écologique, qui a publié le 19 mai une cartographie des risques de sécheresse hydrologique. « Elle montre que l’été 2022 pourrait être marqué par des étiages ou des baisses des nappes marquées sur la totalité du territoire », précise le ministère dans un communiqué. Les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur, Auvergne-Rhône-Alpes, le nord de la Nouvelle-Aquitaine, Pays de la Loire et Centre-Val de Loire pourraient être particulièrement touchées.

août 2021

L’afforestation ou la reforestation pourraient capter du CO2 dans la biosphère. Les effets seraient bénéfiques à des nombreux niveaux. La biodiversité, le cycle hydrologique, la stabilité et la composition des sols seraient améliorés. Les forêts émettent aussi des composés qui favorisent la condensation des nuages et changent l’albédo de la Planète.
Le changement climatique continuera de perturber le cycle hydrologique de la planète à mesure que les températures grimperont, rendant les régimes humides et secs plus extrêmes, avertissent des chercheurs. Ces derniers s’inquiètent notamment pour les épisodes saisonniers de moussons, dont dépendent des centaines de millions de personnes, et pour les populations évoluant en aval des glaciers.

juillet 2021

Selon l'endroit où vous vivez actuellement dans le monde, vous pourriez subir de fortes pluies ou une sécheresse extrême. La fluctuation extrême actuelle des précipitations à travers le monde est due en grande partie au changement climatique . Cependant, le cycle qui contrôle la pluie - ou le manque de pluie - est le cycle hydrologique , également connu sous le nom de cycle de l'eau. C'est le cycle responsable du mouvement continu de l'eau à travers ses états de liquide, solide et vapeur, du ciel à la surface de la Terre et même au sous-sol.
"L’effet de serre accentuera les deux extrêmes du cycle hydrologique, c’est-à-dire qu’il y aura plus d’épisodes de pluies extrêmement abondantes et plus de sécheresses prononcées."
Les experts sont pourtant formels : l’effet de serre, lié au réchauffement climatique, accentue les deux extrêmes du cycle hydrologique, et nous sommes donc destinés à subir de plus en plus d’épisodes de pluies extrêmement abondantes et de sécheresses caniculaires.
Des rivières et des fleuves qui sortent de leur lit, des villes et villages inondés, des personnes évacuées de leur maison, et d'autres qui ont été emportées, des maisons qui s'écroulent sous la force du courant. La province de Liège et tout un bassin hydrologique qui prend l'eau, c'est un phénomène tout à fait exceptionnel.
Il l’a dans les mains. Blasé, Jean-Pascal Van Ypersele est venu avec le tout premier rapport du Giec (le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) sur le plateau de l’édition spéciale de notre JT ce midi. "Il a été publié en 1990", précise le professeur de climatologie à l’Uclouvain. Il, e lit qu’une seule phrase du rapport. "L’effet de serre accentuera les deux extrêmes du cycle hydrologique, c’est-à-dire qu’il y aura plus d’épisodes de pluies extrêmement abondantes et plus de sécheresses prononcées."

mai 2021

Si notre planète se réchauffe de façon globale, ce réchauffement n’est pas réparti de façon uniforme à sa surface. En particulier, l’élévation des températures au-dessus des continents se produit à un rythme près de deux fois supérieur à celui de la moyenne mondiale. Plus précisément, entre les périodes 1850-1900 et 2006-2015, l’air à la surface des continents s’est réchauffé de 1,5 °C pour une augmentation globale de 0,8 °C. Un chiffre d’autant plus significatif que les terres constituent précisément la partie du globe sur laquelle nous vivons et avons développé nos infrastructures ainsi que travaillé notre agriculture.

décembre 2019

« Téhéran s’enfonce peu à peu dans le sol », titrait le 5 décembre 2018 la journaliste Emeline Férard pour le magazine GEO (1) : en certains endroits, le sol se serait enfoncé jusqu’à 25 centimètres par an – et, avec lui, le bâti de la capitale iranienne. La cause de cet affaissement ? Un drainage excessif des nappes phréatiques, conséquence directe d’une gestion inadaptée de la problématique hydrique en Iran et du creusement de puits illégaux à travers le pays.

janvier 2019

il est important de différencier les variations climatiques d’origine anthropique de celles d’origine naturelle. Le dernier millénaire est une cible privilégiée par les paléoclimatologues car cette période est riche en archives naturelles permettant de reconstituer le climat. L’analyse des mécanismes qui régissent ces variations fournit des informations cruciales pour mieux comprendre le climat à des échelles importantes pour la mise en place de mesures visant à se protéger des risques liés au climat.