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forçage

février 2024

Rapid ocean warming and unusually hot winter days recorded as human-made global heating combines with El Niño

mai 2022

L'expression forçage radiative est employée en climatologie pour définir la « différence entre l'éclairement descendant et l'éclairement ascendant », peut-on lire dans le glossaire du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec). Comprenez, la différence entre l'énergie radiative reçue et l'énergie radiative émise par le système Terre/atmosphère. Ou encore, entre le rayonnement solaire qui pénètre notre atmosphère et le rayonnement infrarouge qui en sort. En fait, le forçage radiatif, c'est plus précisément une question de puissance puisqu'il se mesure en watt par mètres carrés (W/m2).

janvier 2021

Les risques engendrés par le forçage génétique, qui permet de transmettre des gènes modifiés à l’ensemble d'une espèce, font surtout l’objet de modélisations théoriques. Pour la biologiste Virginie Courtier-Orgogozo, ce manque de connaissances en fait un outil potentiellement dangereux, dont les effets sur les écosystèmes demeurent incalculables.
Plusieurs associations européennes, dont Pollinis, France Nature Environnement (FNE) et OGM Dangers pour la France, ont commandé un sondage européen sur le forçage génétique. Ce sondage révèle que « la majorité des citoyens de l’UE rejette la modification génétique des espèces sauvages ».
Nous entendons (presque) tous les jours parler du changement climatique, mais qui a déjà entendu parler du forçage radiatif ? C’est une notion peu médiatisée, rarement expliquée, et c’est bien dommage : elle est absolument centrale pour comprendre le changement climatique actuel.

décembre 2020

Dans la continuité des OGM, le forçage génétique et la technique du « ciseau génétique » CRISPR-Cas9 permettent d’éditer le vivant de manière simple et rapide. Céline Lafontaine met en garde contre cette industrialisation de l’édition génomique qui menace nos écosystèmes et dont les risques demeurent largement inconnus.

octobre 2020

Le forçage génétique est une forme extrême de biotechnologies. Elle permet de diffuser de façon hégémonique un caractère nouveau introduit par l’Humain dans un organisme vivant, à l’ensemble de sa descendance.

août 2020

Le forçage génétique est un des derniers avatars des biotechnologies modernes. Il utilise des techniques connues, comme la transgenèse ou Crispr/Cas9 mais sa finalité est radicalement différente des OGM que nous avons connus jusqu’à présent. Son but est simple : permettre la diffusion d’une caractéristique à la totalité de la descendance. Il s’agit donc d’un projet hégémonique.

juillet 2020

Les organismes issus du forçage génétique peuvent transmettre, sans autre intervention humaine, des gènes modifiés à tous leurs descendants. Cette technique permettrait d’éradiquer des espèces nuisibles, comme certains moustiques vecteurs de la malaria. Mais des associations, des scientifiques et des responsables politiques, inquiets de potentiels effets dévastateurs, réclament un moratoire international.
Comment les firmes agro-industrielles sont en train de s'organiser pour faire main basse sur le vivant...

mai 2020

Le forçage génétique court-circuite les lois de l’hérédité en « forçant » une population, voire une espèce tout entière, à conserver des gènes artificiels et à les transmettre à sa descendance, alors qu’en temps normal, une caractéristique portée par un chromosome n’a qu’une chance sur deux de parvenir à la génération suivante.
C’est une nouvelle étape du génétiquement modifié, potentiellement inquiétante : le forçage génétique vise à modifier le génome d’espèces vivantes de manière définitive et en milieu naturel. Un article de notre partenaire le Journal de l’environnement. Intitulé « gene drive » en anglais, le forçage génétique vise à « forcer » l’hérédité, en favorisant la transmission d’un caractère ou d’un trait d’intérêt dans une population cible,

juin 2019

janvier 2019

il est important de différencier les variations climatiques d’origine anthropique de celles d’origine naturelle. Le dernier millénaire est une cible privilégiée par les paléoclimatologues car cette période est riche en archives naturelles permettant de reconstituer le climat. L’analyse des mécanismes qui régissent ces variations fournit des informations cruciales pour mieux comprendre le climat à des échelles importantes pour la mise en place de mesures visant à se protéger des risques liés au climat.