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A la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», le patron de Tesla avait à l’origine annoncé qu’il réduirait les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Il s’est finalement satisfait de 150 milliards, jeudi 10 avril.
Pour la première fois, une intelligence artificielle a rédigé une étude qui nie le rôle des activités humaines dans le réchauffement climatique, suscitant l'enthousiasme des climatosceptiques sur les réseaux sociaux. Grok, c’est son nom, explique avoir été influencée par ses co-auteurs… eux-mêmes climatodénialistes.
L’homme le plus riche du monde s’en est pris à la guerre commerciale du président américain via une vidéo de l’économiste Milton Friedman, avant de cibler publiquement ce mardi 8 avril son inspirateur Peter Navarro. [...] Ça sent le sapin pour la bromance Trump-Musk. Le second s’en est violemment pris au conseiller au commerce du premier ce mardi 8 avril, dans deux messages successifs publiés sur X. Elon Musk a estimé que Peter Navarro - l’inspirateur de la politique de droits de douane du président américain - est un «crétin», «bête comme ses pieds».
L'homme le plus riche du monde, qui mène pour le compte du président américain une mission de réduction radicale de la dépense publique, a écrit, dans deux messages publiés mardi sur X, que Peter Navarro était un "crétin" et qu'il était "bête comme ses pieds".
Intitulé "Réévaluation critique de l'hypothèse du réchauffement planétaire lié aux émissions de CO2", l'article rejette notamment les conclusions et projections des rapports des experts de l'ONU sur le climat (Giec), se fondant notamment sur des études largement contestées depuis des années dans le domaine scientifique.
L’homme le plus riche du monde a annoncé vendredi 28 mars au soir un deal pour associer sa boîte d’intelligence artificielle avec l’ex-Twitter, cela afin de «libérer l’immense potentiel» de la nouvelle entité».
Ces manifestants étaient réunis à l'appel notamment des écologistes de Planet Over Profit, pour qui "arrêter Musk va permettre de sauver des vies et protéger notre démocratie". "Virez Musk, Fermez Doge"
"Elon Musk est en train de détruire notre démocratie et d'utiliser la fortune qu'il a bâtie chez Tesla pour y parvenir", peut-on lire sur le site de TeslaTakedown, qui insiste sur le caractère pacifique des protestations. Le mouvement appelle à manifester et à boycotter Tesla, en vendant les actions de l'entreprise. Des rassemblements sont prévus aux États-Unis, au Canada, en Irlande, en Norvège, en Finlande, au Royaume-Uni, au Danemark, en Allemagne, aux Pays-bas et en Suisse. En France, des manifestations se tiendront à Beauvais et Paris. Aucune action n'est programmée en Belgique.
Ils ont travaillé dans une relative obscurité ces derniers mois, mais l'équipe Doge d'Elon Musk, chargée censément par Donald Trump de traquer la fraude et les dépenses inutiles dans le budget des Etats-Unis, s'est présentée pour la première fois au grand public. [...] Au moins 113.000 d'entre eux ont été limogés depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, selon la chaîne CNN. Et certaines agences, comme celle du développement international (USAID), ont été réduites à peau de chagrin. Doge fait face également à de nombreuses critiques sur ces méthodes, jugées brutales et cruelles par les démocrates. L'opposition accuse en outre l'équipe d'Elon Musk d'avoir survendu les montants déjà économisés pour l’État, entre impossibilité de vérifier, redondances, ou annulations de contrats déjà payés. De nombreux sondages récents soulignent qu'une majorité d'Américains ne voient pas d'un bon oeil les profondes perturbations subies par l'appareil d’État.
Dirigée par Elon Musk, la commission pour l'efficacité gouvernementale (DOGE) est chargée depuis le retour au pouvoir de Donald Trump de tailler dans les dépenses publiques américaines. Fidèle lieutenant du multimilliardaire, Steve Davis est devenu la cheville ouvrière de cette entité. [...] Ces actions "ont probablement violé la Constitution des États-Unis de multiples manières", a ainsi estimé un juge fédéral du Maryland, près de Washington.
L’hostilité persistante entre Steve Bannon et Elon Musk résume une des principales contradictions internes du mouvement Maga [pour “Make America great again”, “Rendre sa grandeur à l’Amérique”]. D’un côté, des individus comme Steve Bannon qui pressent Trump d’adopter des politiques plus ouvertement populistes ; de l’autre, les intérêts des ultrariches, incarnés par Elon Musk, qui occupent des positions clés dans l’entourage du président.[...] Bannon est en effet un porte-étendard du populisme depuis que le [mouvement ultraconservateur] Tea Party a commencé à refaçonner le Parti républicain, en 2010.
Des génies. On pouvait difficilement faire pire. Les politiques erratiques menées par le président américain et son acolyte Elon Musk à la tête du Département de l’efficacité gouvernementale (Doge) ne sont pas au goût de tous. Depuis le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump, les valeurs les plus emblématiques de ses entreprises et de celles de Musk ont plongé.
Des rassemblements sont organisés aux États-Unis devant des boutiques Tesla pour s’opposer au rôle d’Elon Musk dans la politique du pays. Les manifestants cherchent à faire mal au portefeuille de l’homme le plus riche du monde.
Le département de l’efficacité gouvernementale intervient actuellement dans les affaires d’agences régulant les entreprises du milliardaire, de X à Tesla, en passant par SpaceX.
"Il n'y a pas eu d'affrontement. J'étais là", a lancé Donald Trump vendredi à un journaliste qui l'interrogeait sur un article du New York Times, faisant état d'une dispute entre Elon Musk et le chef de la diplomatie Marco Rubio.
Une enquête du “Washington Post” a calculé le montant des crédits d’impôts et autres subventions accordés par l’État américain à Elon Musk, aujourd’hui en charge de tailler dans les effectifs et les budgets de l’administration. En vingt ans, 38 milliards de dollars ont été affectés à ses entreprises SpaceX et Tesla, dont les deux tiers ces cinq dernières années.
« Nous n’utiliserons pas nos compétences techniques pour fragiliser » l’appareil d’Etat, expliquent, dans un courrier, ces agents démissionnaires qui représentent environ un tiers du personnel de l’organisme chargé de sabrer dans les dépenses publiques et l’administration fédérale.
Donald Trump avait promis, Donald Trump s’exécute. Depuis son investiture il y a un mois, Donald Trump enchaîne la signature de décrets en attaquant la science en son cœur. Des milliers de scientifiques sont menacés et licenciés pour “mauvaise performance”, alors même qu’il était parfois question de promotion. A la suite d’un décret avec une liste de mots-clefs, des projets ne toucheront plus de subventions ou seront interdits s’ils comportent les mots “changement climatique”, “diversité”, “activisme”, “égalité”, “femme”, etc.
Le milliardaire, conseiller de Donald Trump, avait exigé samedi que les travailleurs fédéraux décrivent cinq tâches effectuées récemment dans un courriel, faute de quoi ils seraient considérés comme démissionnaires.
Dans le cadre de sa mission de sabrer les dépenses publiques, Elon Musk a demandé aux fonctionnaires fédéraux de justifier leur activité récente sous peine de perdre leur travail. Mais le Pentagone et des agences du gouvernement américain leur ont conseillé, dimanche, d'ignorer cette requête.
Le milliardaire Elon Musk, proche du président Trump, a appelé les employés fédéraux à présenter leurs réalisations de la semaine passée avant ce lundi 24 février au soir. Les patrons du FBI, du renseignement et d’autres administrations leur ont donné des instructions contraires.
Elon Musk, proche allié du président américain, a annoncé ce samedi que les fonctionnaires fédéraux devraient rendre...
En démantelant par la force l’État fédéral, la Maison-Blanche conduit les États-Unis vers un capitalisme autoritaire sur le modèle de Dubaï, selon l’historien canadien Quinn Slobodian. Interrogé par la “Radio Télévision suisse”, l’auteur du “Capitalisme de l’apocalypse” décrypte cette évolution déjà à l’œuvre.
Elon Musk a promis jeudi de "réparer" une fonctionnalité de son réseau social X permettant aux utilisateurs de démentir ou nuancer des publications potentiellement fausses, reprochant aux "gouvernements et médias traditionnels" de s’en être emparés, sur fond de dissensions avec l’Ukraine. Ces derniers jours, le président américain Donald Trump, qui a fait de l’homme le plus riche du monde son proche conseiller, a notamment accusé son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky d’être un "dictateur sans élections" et suggéré que Kiev avait déclenché le conflit avec la Russie.
Selon un éminent historien américain, le patron de Tesla est en train de mener un "coup d'Etat". Si la notion ne met pas tout le monde d'accord, les experts sont unanimes sur le fait qu'il faut s'inquiéter de ce qu'il se passe entre Donald Trump et Elon Musk.
Quatorze Etats démocrates avaient déposé un recours pour empêcher la commission pour l’efficacité gouvernementale, dirigée par le milliardaire, d’accéder aux données des agences et d’en licencier les fonctionnaires. Une juge fédérale a rejeté leur demande.
À en croire la Maison-Blanche, Elon Musk ne dirigerait pas le “département de l’efficacité gouvernementale”, mais serait un simple conseiller de Donald Trump. Une ligne spécieuse, notent les médias américains, alors que la purge au sein de l’administration fédérale continue de faire des vagues.
Des milliers de manifestants ont défilé dans plusieurs villes des États-Unis, le 17 février, pour manifester contre le “tyran” Trump. Le coup d’envoi d’une série d’actions dirigées contre le locataire de la Maison-Blanche et, surtout, contre Elon Musk dans les prochains jours, note les médias américains.
Grok 3 surpasse les autres en termes de raisonnement, de résolution de problèmes et d'efficacité dans le traitement des données.
Chargé depuis quelques semaines du Département d’efficience gouvernementale, Elon Musk applique les mêmes recettes qu’à la tête de Twitter/X : des coupes massives de budget et de personnel, au nom d’une supposée volonté populaire.
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A la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», le patron de Tesla avait à l’origine annoncé qu’il réduirait les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Il s’est finalement satisfait de 150 milliards, jeudi 10 avril.
Pour la première fois, une intelligence artificielle a rédigé une étude qui nie le rôle des activités humaines dans le réchauffement climatique, suscitant l'enthousiasme des climatosceptiques sur les réseaux sociaux. Grok, c’est son nom, explique avoir été influencée par ses co-auteurs… eux-mêmes climatodénialistes.
L’homme le plus riche du monde s’en est pris à la guerre commerciale du président américain via une vidéo de l’économiste Milton Friedman, avant de cibler publiquement ce mardi 8 avril son inspirateur Peter Navarro. [...] Ça sent le sapin pour la bromance Trump-Musk. Le second s’en est violemment pris au conseiller au commerce du premier ce mardi 8 avril, dans deux messages successifs publiés sur X. Elon Musk a estimé que Peter Navarro - l’inspirateur de la politique de droits de douane du président américain - est un «crétin», «bête comme ses pieds».
L'homme le plus riche du monde, qui mène pour le compte du président américain une mission de réduction radicale de la dépense publique, a écrit, dans deux messages publiés mardi sur X, que Peter Navarro était un "crétin" et qu'il était "bête comme ses pieds".
Intitulé "Réévaluation critique de l'hypothèse du réchauffement planétaire lié aux émissions de CO2", l'article rejette notamment les conclusions et projections des rapports des experts de l'ONU sur le climat (Giec), se fondant notamment sur des études largement contestées depuis des années dans le domaine scientifique.
L’homme le plus riche du monde a annoncé vendredi 28 mars au soir un deal pour associer sa boîte d’intelligence artificielle avec l’ex-Twitter, cela afin de «libérer l’immense potentiel» de la nouvelle entité».
Ces manifestants étaient réunis à l'appel notamment des écologistes de Planet Over Profit, pour qui "arrêter Musk va permettre de sauver des vies et protéger notre démocratie". "Virez Musk, Fermez Doge"
"Elon Musk est en train de détruire notre démocratie et d'utiliser la fortune qu'il a bâtie chez Tesla pour y parvenir", peut-on lire sur le site de TeslaTakedown, qui insiste sur le caractère pacifique des protestations. Le mouvement appelle à manifester et à boycotter Tesla, en vendant les actions de l'entreprise. Des rassemblements sont prévus aux États-Unis, au Canada, en Irlande, en Norvège, en Finlande, au Royaume-Uni, au Danemark, en Allemagne, aux Pays-bas et en Suisse. En France, des manifestations se tiendront à Beauvais et Paris. Aucune action n'est programmée en Belgique.
Ils ont travaillé dans une relative obscurité ces derniers mois, mais l'équipe Doge d'Elon Musk, chargée censément par Donald Trump de traquer la fraude et les dépenses inutiles dans le budget des Etats-Unis, s'est présentée pour la première fois au grand public. [...] Au moins 113.000 d'entre eux ont été limogés depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, selon la chaîne CNN. Et certaines agences, comme celle du développement international (USAID), ont été réduites à peau de chagrin. Doge fait face également à de nombreuses critiques sur ces méthodes, jugées brutales et cruelles par les démocrates. L'opposition accuse en outre l'équipe d'Elon Musk d'avoir survendu les montants déjà économisés pour l’État, entre impossibilité de vérifier, redondances, ou annulations de contrats déjà payés. De nombreux sondages récents soulignent qu'une majorité d'Américains ne voient pas d'un bon oeil les profondes perturbations subies par l'appareil d’État.
Dirigée par Elon Musk, la commission pour l'efficacité gouvernementale (DOGE) est chargée depuis le retour au pouvoir de Donald Trump de tailler dans les dépenses publiques américaines. Fidèle lieutenant du multimilliardaire, Steve Davis est devenu la cheville ouvrière de cette entité. [...] Ces actions "ont probablement violé la Constitution des États-Unis de multiples manières", a ainsi estimé un juge fédéral du Maryland, près de Washington.
L’hostilité persistante entre Steve Bannon et Elon Musk résume une des principales contradictions internes du mouvement Maga [pour “Make America great again”, “Rendre sa grandeur à l’Amérique”]. D’un côté, des individus comme Steve Bannon qui pressent Trump d’adopter des politiques plus ouvertement populistes ; de l’autre, les intérêts des ultrariches, incarnés par Elon Musk, qui occupent des positions clés dans l’entourage du président.[...] Bannon est en effet un porte-étendard du populisme depuis que le [mouvement ultraconservateur] Tea Party a commencé à refaçonner le Parti républicain, en 2010.
Des génies. On pouvait difficilement faire pire. Les politiques erratiques menées par le président américain et son acolyte Elon Musk à la tête du Département de l’efficacité gouvernementale (Doge) ne sont pas au goût de tous. Depuis le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump, les valeurs les plus emblématiques de ses entreprises et de celles de Musk ont plongé.
Des rassemblements sont organisés aux États-Unis devant des boutiques Tesla pour s’opposer au rôle d’Elon Musk dans la politique du pays. Les manifestants cherchent à faire mal au portefeuille de l’homme le plus riche du monde.
Le département de l’efficacité gouvernementale intervient actuellement dans les affaires d’agences régulant les entreprises du milliardaire, de X à Tesla, en passant par SpaceX.
"Il n'y a pas eu d'affrontement. J'étais là", a lancé Donald Trump vendredi à un journaliste qui l'interrogeait sur un article du New York Times, faisant état d'une dispute entre Elon Musk et le chef de la diplomatie Marco Rubio.