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Records de chaleur, désastres climatiques : en 2024, l’Europe a été particulièrement touchée par le dérèglement climatique, révèle un épais rapport de Copernicus. Le point en infographies.
Conséquence extrême du réchauffement climatique, la sécheresse menace de nombreuses régions aux quatre coins du globe. Or, Paris et l’Île-de-France ne font pas exception, comme le souligne un rapport publié par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) le 17 mars 2025. Selon l’organisation, la raréfaction de l’eau pourrait coûter jusqu’à 2,5 milliards d’euros d’ici moins de trois décennies.
Hasard du calendrier : alors qu’en Espagne, les pluies de cet automne et de ses derniers jours vont mettre fin à une sécheresse sévère entamée en 2021, un rapport suggère que le pays doit s’attendre à des épisodes de sécheresse de plus en plus "fréquents et graves" dans les prochaines années.
Les négociations qui visaient à définir le calendrier de publication du Giec viennent d'échouer en Chine. Entre obstruction des pétroliers et enjeux d'inclusivité, la politologue Kari de Pryck détaille les raisons de ce blocage.
Réunis en session plénière, une partie des pays, aux côtés des scientifiques, souhaitaient disposer de données à jour en vue de la COP33, en 2028, afin de faire le point sur les actions menées par les Etats pour respecter l’accord de Paris.
- Le Temps
Le groupe de scientifiques s'est réuni en Chine pour faire adopter le rythme de publication de leurs travaux par les représentants mondiaux. Certains pays producteurs de pétrole ou grands pollueurs ont barré la route à un calendrier accéléré. Une réunion marquée par l'absence des Etats-Unis
- Julien
Les experts climatiques mandatés par l'ONU se réunissent à partir de lundi en Chine, en l'absence notable des Etats-Unis.
Le Giec doit-il publier son rapport à la veille du bilan de l’ONU Climat en 2028? Les experts climatiques se réunissent à Hangzhou avec les décideurs politiques pour trancher la question. Celle-ci est loin d’être anodine: le document influencera directement les négociations climatiques
Le Japon s'est engagé mardi à réduire de 60% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2035 par rapport à 2013, dans le cadre d'un plan climatique à l'ambition relevée, et qui s'accompagne d'une révision de sa stratégie énergétique.La quatrième économie mondiale, encore très dépendante des hydrocarbures et accusée d'avoir le mix énergétique le plus polluant des puissances du G7, s'est déjà fixé pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050.
La Chine a lancé l'an dernier la construction de centrales thermiques au charbon représentant la capacité combinée la plus importante depuis 2015, ce qui jette un doute sur son objectif d'atteindre un pic d'émissions carbone en 2030, selon un rapport publié jeudi.Pékin a commencé la construction d'unités combinant une capacité de 94,5 gigawatts (GW) en 2024, soit 93% du total mondial, indique le Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (Crea), basé en Finlande, et l'organisme américain Global Energy Monitor (GEM) dans un rapport.
La baisse a été de 3 % en 2024, grâce à une forte progression des renouvelables dans la production d’électricité. Le revers est une plus grande variabilité des prix, dans une économie en stagnation.
Les États-Unis, deuxième pollueur mondial, n'ont réduit leurs émissions de gaz à effet de serre que de 0,2% en 2024 par rapport à l'année précédente, bien loin de leurs objectifs climatiques, estime jeudi un rapport indépendant.Après un recul estimé à 3,3% en 2023, la baisse de ces émissions a quasiment stagné, selon une première estimation du centre de recherche américain Rhodium Group. Une projection qui écarte dangereusement les Etats-Unis de leur trajectoire, et ce avant même l'entrée en fonction le 20 janvier de Donald Trump, grand défenseur des énergies fossiles.
La consommation de charbon en Chine, principal pays émetteur de gaz à effet de serre, va probablement atteindre son pic en 2025 avant de décliner grâce aux efforts de Pékin pour développer des énergies plus propres, selon un rapport publié mercredi.Plus de la moitié (52%) des experts interrogés dans le cadre d'un rapport publié par les groupes de réflexion Centre for Research on Energy and Clean Air (CREA) et International Society for Energy Transition Studies (ISETS) s'attendent à ce que la consommation de charbon de la Chine atteigne son maximum l'année prochaine.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dresse depuis 1988 un état des lieux de la connaissance scientifique sur le changement climatique. Des faits régulièrement mis en cause par Donald Trump. L’élection de Donald Trump à la tête des États-Unis aura-t-elle un impact sur les rapports du Groupes d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ? Photo AFP
Les émissions de CO2 issues des énergies fossiles ont augmenté de 0,8 % par rapport à 2023, estiment les scientifiques du Global Carbon Project dans un rapport. Ce qui augure d'un réchauffement de 2 °C atteint dans 27 ans.
La Commission de transition du charbon (CTC), co-présidée par la France et l'Indonésie, publie des recommandations pour accélérer la sortie du très polluant charbon, dont celle de débloquer le financement public et privé, l'une des batailles centrales de la conférence du climat de la COP29 à Bakou.
Dans son rapport provisoire sur l’état du climat en 2024 publié lundi 11 novembre, l’Organisation météorologique mondiale sonne « l’alerte maximale face au rythme effréné du changement climatique ».
Gouvernement "autocratique", promotion des énergies fossiles et corruption: un rapport publié jeudi souligne des risques pour le bon avancement des négociations sur le climat à la prochaine COP29, qui se tiendra en Azerbaïdjan.
Gouvernement "autocratique", promotion des énergies fossiles et corruption: un rapport publié jeudi souligne des risques pour le bon avancement des négociations sur le climat à la prochaine COP29, qui se tiendra en Azerbaïdjan.
Les mesures des pays entraînent le monde vers une hausse de 3,1 °C, selon l'Onu.
Les émissions de carbone des plus riches, qui incluent des yachts de luxe, des jets privés et des investissements dans des industries polluantes, compliquent de plus en plus la limitation du réchauffement climatique à 1,5 °C. Selon un rapport d’Oxfam, si l’ensemble de la population mondiale émettait des gaz à effet de serre au même rythme qu’un milliardaire moyen, le budget carbone restant pour respecter la limite de 1,5 °C serait épuisé en moins de deux jours.
Les 50 milliardaires les plus riches du monde engendrent des émissions de CO2 démesurées, par rapport à celles des plus pauvres.
Le World Wildlife Fund (WWF) a publié son nouveau rapport Planète vivante. L'ONG alerte notamment sur les populations de vertébrés sauvages qui se sont effondrées de 73% en moyenne en seulement 50 ans.
Le rapport 2024 sur l’état du climat souligne que la Terre est désormais au bord d’une catastrophe climatique irréversible. Sur les 35 signes vitaux planétaires identifiés et suivis de près chaque année par les chercheurs, 25 sont désormais aux niveaux les plus bas jamais enregistrés.
« Nous sommes au bord d’une catastrophe climatique irréversible. Il s’agit sans aucun doute d’une urgence mondiale. Une grande partie du tissu même de la vie sur Terre est en péril. » Les années passent et les alertes catastrophées des scientifiques s’empilent dramatiquement. Celle-ci est issue du Rapport sur l’état du climat 2024, publié dans la revue BioScience le 8 octobre par une équipe internationale de chercheurs, dirigée par l’université d’État de l’Oregon, aux États-Unis.
Dans le cadre de l'Année des géosciences, l'Office for Climate Education (OCE), avec le soutien du CNRS est fier de lancer une série de neuf webinaires dédiés au changement climatique, spécialement conçus pour les enseignants de tous niveaux et de toutes disciplines. Cette partie "éclairage scientifique" (30') est enrichie d'une pratique "éclairage pédagogique", présentée par Adeline Aroskay, médiatrice scientifique à l'OCE.
Si elle se fixe des objectifs ambitieux lors de ses prochains engagements, les progrès rapides de la Chine en matière d'énergies renouvelables lui permettraient de réduire ses émissions de près d'un tiers d'ici 2035, a déclaré jeudi le centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (CREA), un think tank basé à Helsinki.Pékin a jusque février 2025 pour mettre à jour ses "contributions déterminées au niveau national" (NDC), soit une description de ses plans de réduction de CO2 en vertu de l'accord de Paris sur le climat.
- Julien
La précarité énergétique ne se limite pas à l'hiver: en 2023, plus de la moitié des Français ont eu trop chaud dans leur logement, révèle mercredi la Fondation Abbé Pierre (FAP), appelant à adapter d'urgence l'habitat aux vagues de chaleur.
Nous ne sommes pas prêts. C’est la terrible conclusion du dernier rapport d’Oxfam sur l’adaptation au changement climatique. Face aux canicules, aux incendies ravageurs, aux tempêtes, aux inondations dévastatrices, la France est le 3ème pays le plus vulnérable en Europe. Pourtant les politiques mises en place pour s’adapter à ces évènements climatiques, à cette nouvelle réalité sont insuffisantes et injustes. et les français et remet toujours à plus tard une urgence absolue.
Notre système alimentaire utilise près de la moitié des terres de la Planète. Il provoque des émissions de carbone et aggrave le réchauffement climatique. Il entraîne donc la perte de biodiversité par la réduction de l’espace laissé aux écosystèmes et par le changement climatique. Une nouvelle étude a tenté de quantifier ces effets. Les dommages à la biodiversité ont été estimés en prenant en compte la richesse des écosystèmes et la rareté de espèces, par exemple leur présence dans une zone restreinte. Les dommages aux écosystèmes riches et uniques, notamment en Amérique centrale et du Sud apparaissent donc mieux dans cette analyse.
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Hasard du calendrier : alors qu’en Espagne, les pluies de cet automne et de ses derniers jours vont mettre fin à une sécheresse sévère entamée en 2021, un rapport suggère que le pays doit s’attendre à des épisodes de sécheresse de plus en plus "fréquents et graves" dans les prochaines années.
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Le Japon s'est engagé mardi à réduire de 60% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2035 par rapport à 2013, dans le cadre d'un plan climatique à l'ambition relevée, et qui s'accompagne d'une révision de sa stratégie énergétique.La quatrième économie mondiale, encore très dépendante des hydrocarbures et accusée d'avoir le mix énergétique le plus polluant des puissances du G7, s'est déjà fixé pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050.
La Chine a lancé l'an dernier la construction de centrales thermiques au charbon représentant la capacité combinée la plus importante depuis 2015, ce qui jette un doute sur son objectif d'atteindre un pic d'émissions carbone en 2030, selon un rapport publié jeudi.Pékin a commencé la construction d'unités combinant une capacité de 94,5 gigawatts (GW) en 2024, soit 93% du total mondial, indique le Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (Crea), basé en Finlande, et l'organisme américain Global Energy Monitor (GEM) dans un rapport.
La baisse a été de 3 % en 2024, grâce à une forte progression des renouvelables dans la production d’électricité. Le revers est une plus grande variabilité des prix, dans une économie en stagnation.
Les États-Unis, deuxième pollueur mondial, n'ont réduit leurs émissions de gaz à effet de serre que de 0,2% en 2024 par rapport à l'année précédente, bien loin de leurs objectifs climatiques, estime jeudi un rapport indépendant.Après un recul estimé à 3,3% en 2023, la baisse de ces émissions a quasiment stagné, selon une première estimation du centre de recherche américain Rhodium Group. Une projection qui écarte dangereusement les Etats-Unis de leur trajectoire, et ce avant même l'entrée en fonction le 20 janvier de Donald Trump, grand défenseur des énergies fossiles.
La consommation de charbon en Chine, principal pays émetteur de gaz à effet de serre, va probablement atteindre son pic en 2025 avant de décliner grâce aux efforts de Pékin pour développer des énergies plus propres, selon un rapport publié mercredi.Plus de la moitié (52%) des experts interrogés dans le cadre d'un rapport publié par les groupes de réflexion Centre for Research on Energy and Clean Air (CREA) et International Society for Energy Transition Studies (ISETS) s'attendent à ce que la consommation de charbon de la Chine atteigne son maximum l'année prochaine.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dresse depuis 1988 un état des lieux de la connaissance scientifique sur le changement climatique. Des faits régulièrement mis en cause par Donald Trump. L’élection de Donald Trump à la tête des États-Unis aura-t-elle un impact sur les rapports du Groupes d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ? Photo AFP
Les émissions de CO2 issues des énergies fossiles ont augmenté de 0,8 % par rapport à 2023, estiment les scientifiques du Global Carbon Project dans un rapport. Ce qui augure d'un réchauffement de 2 °C atteint dans 27 ans.