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h2o pollution
Des centaines de milliers de personnes ont été exposées pendant plus de quarante ans à une contamination de l’eau potable par les polluants éternels dans le nord-est de l’Italie.
Dans un rapport publié lundi, l'association Notre affaire à tous et dix organisations ultramarines alertent sur les grandes difficultés d'accès à l'eau en Outre-mer. Le résultat, dénoncent-elles, d'une "discrimination environnementale" entre l'Hexagone et ces territoires ultramarins. Coupures prolongées, fuites d'eau, contamination… France 24 dresse un bilan de la situation.
Le tribunal administratif de Strasbourg a rejeté les recours introduits par la Collectivité européenne d’Alsace et l’association Alsace Nature, qui s’opposaient au maintien sous terre de 42 000 tonnes d’arsenic, amiante, de chrome ou résidus d’incinération menaçant à long terme la nappe phréatique d’Alsace.
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 2024 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l’instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, altération du cycle de l’eau douce et effondrement de la » biodiversité ». Pour quelle raison, alors que nous mettons en œuvre des actions écologiques depuis 50 ans, notre situation (celle du vivant en général) ne cesse d’empirer ?
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans2 et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans3. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 20244 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l'instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées5) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l'azote et du phosphore, altération du cycle de l'eau douce et effondrement de la « biodiversité ».
La principale compagnie de distribution du pays s’est vu infliger une amende de près de 150 millions d’euros par le régulateur de l’eau.
Peut-on encore faire confiance à l’eau que l’on boit ? Que retrouve-t-on réellement dans notre eau du robinet ? Les questions ont fusé après la diffusion de l’enquête sur les PFAS en novembre 2023. À l’époque, #Investigation révélait une forte pollution de l’eau de distribution à Chièvres, dans le Hainaut. L’équipe d'#investigation a relancé cette enquête pour trouver des réponses à ces questions. Elle a fait analyser en laboratoire plusieurs types d’eaux : eau du robinet, filtrée ou non et 6 eaux en bouteille très consommées en Belgique.
Nestlé filtre l’eau de sa source de Vergèze, dans le Gard, pour faire face à des épisodes répétés de pollution chimique ou par des bactéries fécales. Ces contaminations pourraient être liées à la surexploitation des nappes par le numéro un mondial des eaux en bouteille.
Face à la contamination de son principal captage d’eau potable, la métropole de Rouen a échoué à trouver une source alternative, après dix ans de recherches.
Un communiqué du Sénat indique ce lundi 12 avril que le président de la commission d’enquête Laurent Burgoa (LR) a décidé de saisir la justice, après l’audition le 26 mars du directeur industriel de Ronan Le Fanic.
Pesticides, sécheresses, agriculture intensive… Alors que de nombreuses sources sont mises à mal par les activités humaines, des sites de captage sont contaminés. En première ligne, ceux exploités par Nestlé, accusé de fraude dans ses sites du Gard et des Vosges.
L’Orne fait rarement parler de lui. Pourtant, plusieurs communes de ce département doivent actuellement lutter contre une contamination de l’eau potable par le CVM (chlorure de vinyle monomère), un gaz cancérogène pour l’humain qui se niche dans des canalisations. Vert s’est rendu dans une commune affectée par cette pollution invisible.
Le chlorure de vinyle monomère (CVM), une substance gazeuse cancérogène, contamine depuis des années l’eau potable transportée dans des canalisations en PVC vieillissantes. En collectant les données des différentes sources disponibles, Vert a identifié plus de 5 500 communes concernées et réalisé la première carte de France en la matière.
La rivière de la vallée d’Ornans, dans le Doubs, voit pulluler algues vertes et poissons morts par vagues récurrentes depuis 2010. L’intensification de la production agricole, dédiée majoritairement à la filière comté, est pointée du doigt.
Dans cette vidéo de LIMIT, nous abordons la question cruciale de l'eau, une ressource devenue rare et vitale. Charlène Descolonges, ingénieure hydrologue, nous éclaire sur les enjeux de la gestion de l'eau face aux crises climatiques. Nous discutons des risques de sécheresse, de la réutilisation des eaux usées, des conflits géopolitiques liés à l'eau, et des solutions possibles pour agir à l'échelle individuelle et collective. Un appel à prendre conscience de notre empreinte eau et à revoir notre gestion de cette ressource vitale, en particulier face à l'impact du changement climatique.
La préfecture du Haut-Rhin a pris cet arrêté en raison d’une pollution liée à l’usage passé de mousse anti-incendie contenant des polluants éternels à l’aéroport de Bâle-Mulhouse.
Que quatre millions de Francilien·nes puissent boire de l’eau sans PFAS, ni micropolluants. C’est le rêve du Syndicat des eaux d’Île-de-France, qui teste une stratégie de pointe pour les filtrer. Une technique efficace mais énergivore, qui entraîne des rejets polluants dans la nature.
Bruxelles reproche à la France d’exposer la population à un « danger potentiel pour la santé » en ne respectant pas les seuils maximaux sur les nitrates dans 107 unités de distribution d’eau potable réparties dans sept régions. La Commission a saisi la Cour de justice de l’Union européenne.
Gaz incolore et inodore présent dans les canalisations d’eau potable en PVC installées dans les années 1970, le CVM serait présent dans 15 % à 30 % du réseau, notamment en Normandie et en Nouvelle-Aquitaine, selon un chercheur du Centre Jean-Bodin à Angers.
L’usine Finorga de Mourenx, productrice de principes actifs pour des médicaments, rejette des quantités préoccupantes de PFAS dans l’eau. La source exacte de la contamination n’est pour l’instant pas identifiée.
Pourquoi l’eau que l’on boit est-elle polluée ? En Wallonie et à Bruxelles, l’eau de notre robinet vient à 80% des nappes phréatiques et 20% des eaux de surfaces comme les rivières. Ces eaux sont toutes polluées et vont subir un traitement pour être rendue « potable » dans des stations de potabilisations. Ces procédés ont malheureusement des limites et ne permettent pas d’enlever tous les polluants. Il subsiste donc une petite partie de tous ces polluants dans notre eau du robinet. Par ailleurs, il est bon de comprendre que les eaux de « sources » en bouteilles proviennent elle aussi des eaux souterraines et contiennent aussi ces polluants en quantités variables.
Des concentrations très élevées de 1,2,4-triazole ont été trouvées dans les eaux usées d'une entreprise d'Ypres. Il s'agit d'un produit souvent utilisé comme fongicide. Les rejets de l'entreprise concernée contribuent "de manière significative" au dépassement de la norme dans l'eau potable du bassin "De Blankaart", en Flandre occidentale. Selon le ministre de l'Environnement et de l'Agriculture, Jo Brouns, il n'y a pas de risque pour la santé, mais des mesures ciblées seront prises et il a pris contact avec les ministres wallons et français compétents.
Après une enquête menée par UFC-Que choisir et Générations futures qui révélait la présence de polluants éternels dans l’eau potable de la capitale, la régie lance une action en justice ce vendredi 28 mars pour que les responsables prennent en charge le surcoût de la décontamination. [...] La régie municipale chargée de l’eau à Paris a porté plainte contre X ce vendredi 28 mars pour pollution de son réseau d’eau potable aux polluants éternels (ou PFAS) afin d’établir l’origine de cette contamination et faire appliquer le principe de «pollueur-payeur».
Largement disséminés dans l’eau, les polluants éternels sont très difficiles à traiter. Un casse-tête très coûteux pour les collectivités en charge de la distribution d’eau potable. « On est dans une impasse totale. » Au téléphone, Mickaël Derangeon ne cache pas son désarroi. La raison ? La découverte d’un polluant éternel — le TFA, ou acide trifluoroacétique, un résidu de pesticides — dans l’immense majorité des captages d’eau de Loire-Atlantique.
La compagnie pétrolière publique équatorienne Petroecuador a déclaré mardi en situation d'urgence son principal oléoduc et a réduit ses exportations de brut en raison d'une fuite qui a gravement pollué plusieurs rivières et privé d'eau potable des dizaines de milliers d'habitants du nord-ouest du pays.
C’est l’une des mesures phares de la loi contre les PFAS (substances per- et polyfluoroalkylées) qui a été promulguée le 28 février, une semaine après son adoption définitive à l’Assemblée nationale : l’instauration d’une redevance sur les rejets de polluants éternels dans l’eau. Les parlementaires ont décidé d’appliquer le principe « pollueur-payeur » aux installations industrielles les plus émettrices en PFAS dans l’eau.
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
Les fabricants de médicaments estiment que d’autres secteurs industriels doivent contribuer aux coûts de traitement des polluants.
Un groupe d’élus de Loire-Atlantique doit rendre public, vendredi 7 février, un manifeste signé par plus de 150 maires, conseillers départementaux et parlementaires locaux issus de l’ensemble du spectre politique, demandant l’interdiction des usages de pesticides sur les aires d’alimentation des captages d’eau potable.
L'association UFC-Que Choisir a souligné la présence d'un polluant éternel dans l'eau du robinet de nombreuses communes françaises.


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juin 2025

Des centaines de milliers de personnes ont été exposées pendant plus de quarante ans à une contamination de l’eau potable par les polluants éternels dans le nord-est de l’Italie.
Dans un rapport publié lundi, l'association Notre affaire à tous et dix organisations ultramarines alertent sur les grandes difficultés d'accès à l'eau en Outre-mer. Le résultat, dénoncent-elles, d'une "discrimination environnementale" entre l'Hexagone et ces territoires ultramarins. Coupures prolongées, fuites d'eau, contamination… France 24 dresse un bilan de la situation.
Le tribunal administratif de Strasbourg a rejeté les recours introduits par la Collectivité européenne d’Alsace et l’association Alsace Nature, qui s’opposaient au maintien sous terre de 42 000 tonnes d’arsenic, amiante, de chrome ou résidus d’incinération menaçant à long terme la nappe phréatique d’Alsace.
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 2024 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l’instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, altération du cycle de l’eau douce et effondrement de la » biodiversité ». Pour quelle raison, alors que nous mettons en œuvre des actions écologiques depuis 50 ans, notre situation (celle du vivant en général) ne cesse d’empirer ?
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans2 et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans3. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 20244 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l'instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées5) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l'azote et du phosphore, altération du cycle de l'eau douce et effondrement de la « biodiversité ».

mai 2025

La principale compagnie de distribution du pays s’est vu infliger une amende de près de 150 millions d’euros par le régulateur de l’eau.
Peut-on encore faire confiance à l’eau que l’on boit ? Que retrouve-t-on réellement dans notre eau du robinet ? Les questions ont fusé après la diffusion de l’enquête sur les PFAS en novembre 2023. À l’époque, #Investigation révélait une forte pollution de l’eau de distribution à Chièvres, dans le Hainaut. L’équipe d'#investigation a relancé cette enquête pour trouver des réponses à ces questions. Elle a fait analyser en laboratoire plusieurs types d’eaux : eau du robinet, filtrée ou non et 6 eaux en bouteille très consommées en Belgique.
Nestlé filtre l’eau de sa source de Vergèze, dans le Gard, pour faire face à des épisodes répétés de pollution chimique ou par des bactéries fécales. Ces contaminations pourraient être liées à la surexploitation des nappes par le numéro un mondial des eaux en bouteille.
Face à la contamination de son principal captage d’eau potable, la métropole de Rouen a échoué à trouver une source alternative, après dix ans de recherches.
Un communiqué du Sénat indique ce lundi 12 avril que le président de la commission d’enquête Laurent Burgoa (LR) a décidé de saisir la justice, après l’audition le 26 mars du directeur industriel de Ronan Le Fanic.
Pesticides, sécheresses, agriculture intensive… Alors que de nombreuses sources sont mises à mal par les activités humaines, des sites de captage sont contaminés. En première ligne, ceux exploités par Nestlé, accusé de fraude dans ses sites du Gard et des Vosges.
L’Orne fait rarement parler de lui. Pourtant, plusieurs communes de ce département doivent actuellement lutter contre une contamination de l’eau potable par le CVM (chlorure de vinyle monomère), un gaz cancérogène pour l’humain qui se niche dans des canalisations. Vert s’est rendu dans une commune affectée par cette pollution invisible.
Le chlorure de vinyle monomère (CVM), une substance gazeuse cancérogène, contamine depuis des années l’eau potable transportée dans des canalisations en PVC vieillissantes. En collectant les données des différentes sources disponibles, Vert a identifié plus de 5 500 communes concernées et réalisé la première carte de France en la matière.
La rivière de la vallée d’Ornans, dans le Doubs, voit pulluler algues vertes et poissons morts par vagues récurrentes depuis 2010. L’intensification de la production agricole, dédiée majoritairement à la filière comté, est pointée du doigt.

avril 2025

Dans cette vidéo de LIMIT, nous abordons la question cruciale de l'eau, une ressource devenue rare et vitale. Charlène Descolonges, ingénieure hydrologue, nous éclaire sur les enjeux de la gestion de l'eau face aux crises climatiques. Nous discutons des risques de sécheresse, de la réutilisation des eaux usées, des conflits géopolitiques liés à l'eau, et des solutions possibles pour agir à l'échelle individuelle et collective. Un appel à prendre conscience de notre empreinte eau et à revoir notre gestion de cette ressource vitale, en particulier face à l'impact du changement climatique.