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Moscou atteindra ses objectifs en Ukraine par la voie militaire si les négociations avec Kiev échouent, a averti mercredi le président russe Vladimir Poutine, assurant que ses troupes demeuraient "à l'offensive" sur l'ensemble du front. "Voyons comment se développera la situation. Sinon (si les pourparlers n'aboutissent pas, NDLR), nous devrons résoudre nos problèmes militairement", a-t-il déclaré depuis Pékin. "Tous les groupements des forces armées russes sont à l'offensive" dans tous les secteurs du front, a-t-il ajouté.
Leurs responsabilité dans l'échec des conférences sur le climat ou le plastique est de plus pointée du doigt. Quelles sont les solutions?
La directrice du renseignement national américain, Tulsi Gabbard, est accusée de ne pas vouloir partager les informations recueillies sur les négociations sur l’Ukraine avec les alliés les plus proches de Washington. Une position qui avantage Moscou et risque de mettre à mal une institution historique du monde du renseignement : l’alliance des “Five Eyes”.
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Le président américain Donald Trump va "commencer les préparatifs" d’une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, qui rejetait jusqu’ici une telle réunion, au terme d’une "très bonne" entrevue avec le président ukrainien et plusieurs dirigeants européens ce lundi 18 août. Ce sommet se tiendrait dans les deux semaines. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a réagi ce mardi midi en déclarant que toute rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine devrait prendre en compte les "intérêts de sécurité" de la Russie et être préparée "minutieusement".
Ils réduisent la pollution plastique à un simple problème de "mauvaise gestion des déchets" et s'emploient à recentrer les débats sur la phase post-consommation. Un tour de passe-passe pour éviter de devoir négocier sur la réduction de la production de déchets plastiques… à sa source, selon la chercheuse Aurélie Leroy.
À Genève, aucun traité n'a pu être adopté. Mais les pays ambitieux prévoient déjà de nouvelles initiatives pour réduire la pollution plastique
Présenté au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, un nouveau texte de compromis comportait encore plus d’une centaine de points à clarifier. Après dix jours d’intenses négociations, les chefs de délégation n’ont pas réussi à se mettre d’accord.
Malgré dix jours de négociations intenses, les 185 pays réunis à Genève ont échoué à se mettre d'accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur un texte contraignant pour lutter contre la pollution plastique, en raison de l'opposition d'un bloc de pays producteurs de pétrole.
Les 184 pays réunis depuis dix jours en Suisse pour une session de négociations annoncée comme celle de la «dernière chance» se quittent, ce vendredi 15 août, sans trouver d’accord.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 août, les 184 pays réunis à Genève n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un texte permettant de conclure un traité contre la pollution plastique. La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite «déçue».
Il n'y aura pas de traité contre la pollution plastique à Genève: 10 jours de pourparlers diplomatiques tendus se sont terminés vendredi à l'aube par un constat d'échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie.
C’est un échec. Les 185 pays réunis à Genève au sommet de l'ONU ne sont pas parvenus à un accord dans la nuit de jeudi à vendredi pour élaborer un texte contraignant contre la pollution plastique.
C’est en Alaska que le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Donald Trump discuteront en tête à tête ce vendredi 15 août en soirée de la guerre en Ukraine. Une bipartite malgré la demande répétée du principal intéressé, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, de participer à la discussion alors que l’avenir de son pays est en jeu.
Après dix jours de négociations intenses, la conférence de Genève sur le traité mondial contre la pollution plastique s’est soldée par un échec. Les divisions entre pays producteurs de pétrole et partisans d’un texte ambitieux ont eu raison de ce sommet présenté comme "la dernière chance".
Les négociations sur le traité contre la pollution plastique ont échoué, après dix jours de négociations. Les pays pétroliers et les lobbies en sont responsables, dénonce Lisa Pastor, de l’association Surfrider.
Les diplomates des 183 pays réunis pendant dix jours à Genève n’ont pas réussi à s’accorder sur les mesures à déployer pour mettre un terme à cette pollution omniprésente. Plusieurs options sont sur la table quant au cadre des futures discussions.
Les diplomates de 184 pays sont réunis à Genève depuis le 5 août. Ils doivent présenter un texte commun pour lutter contre développement incontrôlé du plastique.
Les conflits de Gaza et de l'Ukraine ont changé la façon de négocier. Les diplomates russes ont été formés à l'école de Gromyko : exigez le maximum de votre interlocuteur, même ce qui peut paraître exagéré. Faites monter la pression, lancez des ultimatums puis menacez de quitter la réunion.
Les diplomates de 184 pays n'ont plus que quelques heures jeudi à Genève pour tenter de forger à l'arrachée un texte commun qui établirait un premier traité international de lutte contre la pollution plastique, après le rejet massif d'un projet de texte de synthèse. Une nouvelle séance plénière réunissant tous les délégués est prévue en milieu d'après midi, après l'échec retentissant d'une tentative de synthèse maladroite mercredi après-midi, et des débats d'une grande confusion. Mais les chances de trouver un accord, après trois ans de négociations, semblent très minces, étant donné les profondes divisions qui demeurent entre les deux camps qui se sont affrontés sur le sujet.
À Genève, les négociations sur le premier traité mondial contre la pollution plastique entrent dans leur phase décisive. Les 184 pays participants peinent encore à s'accorder sur des mesures contraignantes, notamment sur la réduction de la production. L'issue de ces discussions prévue dans la nuit de jeudi à vendredi pourrait déterminer la portée réelle de l'accord pour freiner la crise mondiale du plastique.
Deux jours avant la rencontre entre le président américain et son homologue russe, Macron assure que "la volonté américaine est d'obtenir un cessez-le-feu".
Le chef d’Etat ukrainien, Volodymyr Zelensky, redoute que le pire scénario n’émerge du sommet entre les présidents des Etats-Unis et de la Russie, qui doit se tenir vendredi 15 août en Alaska, mais se dit prêt à résister à la «pression».
A Genève, les représentants de 184 pays ont beaucoup de difficultés mercredi à s’entendre sur les mesures nécessaires pour réduire la pollution plastique au niveau mondial, et les négociateurs censés rendre un texte de traité international jeudi sont "au bord du gouffre", selon une déléguée.
Le président des États-Unis, Donald Trump, a eu une discussion avec les dirigeants européens ce mercredi après-midi.
Les Européens et Donald Trump sont "unis" dans leurs efforts pour mettre fin à la guerre en Ukraine, a affirmé mercredi le chef de l’Otan, Mark Rutte, à l’issue d’un appel téléphonique qu’il a qualifié "d’excellent".
Plus de 180 pays négocient depuis le 5 août un traité mondial contre la pollution plastique, à Genève, en Suisse. Mais l’opposition des grands producteurs menace d’affaiblir l’accord. Jules Vagner, cofondateur de l’association Zéro Plastique, suit ces débats cruciaux et met en garde contre un texte sans réelle ambition.
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a déploré mercredi 13 août le blocage par plusieurs pays producteurs de pétrole (et donc de plastique) des laborieuses négociations en cours à Genève sur un accord international.
Le président américain a des ambitions démesurées en matière d’exportation d’hydrocarbures forés sur le sol des Etats-Unis. Et il en fait un levier puissant dans ses négociations commerciales ou géopolitiques avec le reste du monde.