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Géochimiste de renommée internationale, Charles Langmuir est professeur à Harvard. Il s'intéresse en particulier à l'évolution de notre planète et à la place de l'être humain sur Terre. Le scientifique américain lance l'alerte pour la planète et "les attaques contre la science" dans son pays.
Le président américain avance régulièrement que le montant du soutien américain s’élève à 350 milliards de dollars, ou que l’Europe ne fait que prêter à l’Ukraine. Des déclarations fausses et trompeuses.
Dans cet échange percutant, nous discutons avec Thomas Wagner, créateur du média Bonpote, reconnu pour ses analyses claires et engagées sur les enjeux climatiques. Ensemble, nous explorons une question brûlante : pourquoi ceux qui défendent la planète sont-ils de plus en plus criminalisés ? 👉 Thomas Wagner, à travers ses articles et prises de position, s’est imposé comme une référence dans le débat climatique, dénonçant à la fois l’inaction des pouvoirs publics et la manipulation des discours médiatiques tout en apportant de la compréhension à la science du climat.
Certains politiciens, tel Donald Trump, se permettent de mentir impunément. Les réseaux sociaux diffusent massivement des « fakes ». Sommes-nous entrés dans une époque où la vérité ne compte plus ?
Intuitivement, il semble que la diffusion massive d'images générées par IA couronne l'ère des "vérités alternatives". C'est le pari inverse qui est fait ici. Désormais, toutes les images seront par défaut équivoques. Et la vérité se cherchera par d'autres chemins, notamment le statut et la traçabilité des sources d'information. Un enjeu démocratique.
A l’approche de l’investiture de Donald Trump en janvier et du troisième anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine en février, le conflit s’accélère. C’est aux pays européens les plus déterminés d’organiser, d’urgence, la réponse à un éventuel désengagement américain.
La 29e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte, lundi, en Azerbaïdjan, avec pour principal enjeu de trouver un compromis sur les montants d'aide financière à destination des pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique.
Lors de la passation de pouvoir à Matignon, Michel Barnier a promis de dire la vérité aux Français sur la « dette financière et la dette écologique ».
Nous serions à un tournant dans l'Histoire du mensonge. Donald Trump a inauguré l'idée de "vérité alternative". Dans les écoles, de plus en plus d'informations fournies par les enseignants sont contestées. Lors des campagnes électorales, qui croire ? Que croire ? À quelle source nous fier ? Comment valider les vérités proposées ?
Déroute d'Ecolo, Philippe Lamberts livre ses vérités
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La prétendue post-vérité est incomptable tant avec le débat démocratique qu’avec l’anticipation, la réaction et l’adaptation à une réalité physiquement changeante. La vie politique exige que l’on puisse interpréter différemment et/ou vouloir changer tel ou tel aspect du monde. S’il n’est plus aucune description préalable commune du monde environnant, il n’est ni interprétations opposées d’un monde commun, ni changement de tel aspect de la réalité possibles.
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Pour Jérôme Saddier, l’économie sociale et solidaire est à la croisée des chemins, plus que jamais en mesure d’accompagner les transitions qui nous attendent.
L’objectif de cet article est d’esquisser les contours d’une sociologie de l’éducation au changement climatique. Pour ce faire, nous discutons du récit paradoxal sur l’urgence climatique, selon lequel nos sociétés ne réagissent pas alors qu’elles entendent l’alerte. Notre hypothèse est que ce récit d’(in)action publique, devenu leitmotiv, cadre de manière inadéquate la manière dont nous pensons l’éducation au changement climatique. En examinant la manière dont l’éducation au changement climatique a été traditionnellement pensée et pratiquée, nous constatons qu’elle est le plus souvent basée sur un modèle inadéquat qui rend les gens réticents à recevoir des informations sur le changement climatique et crée un fossé entre les attitudes et les comportements. Cependant, nous identifions aussi la montée en puissance de nouvelles façons d’envisager l’éducation au changement climatique. Recourant souvent à l’art, celles-ci semblent prometteuses car rendant sensibles et tangibles les transformations en cours elles pe
La décroissance est une idée qui dit que produire toujours plus n'est pas forcément bon pour le bien-être de tous ou pour la planète. Contrairement à certains qui croient que la technologie peut nous permettre de continuer à croître tout en étant écolo, les partisans de la décroissance estiment que consommer trop et trop vite vide nos ressources naturelles. Ils pensent que si on ne devient pas plus économes, on court un gros risque. Certains disent que la décroissance serait mauvaise pour l'économie ou l'innovation, mais c'est plus complexe que ça. Si vous voulez vraiment comprendre et discuter de ce sujet, Vincent Liegey, ingénieur, chercheur interdisciplinaire nous donne des infos claires à ce sujet
Le magazine allemand “Der Spiegel” consacre son numéro à l’IA et à un monde de démagogues et de criminels, où la frontière entre la réalité et la fiction est plus poreuse que jamais.
L’Éthiopie, la Somalie et le Kenya subissent depuis plusieurs décennies des sécheresses à répétition. Un récent rapport démontre que ces périodes sèches sont clairement imputables au réchauffement planétaire, et qu’elle sont “cent fois plus probables qu’auparavant.”
L’experte française, qui prendra part ce jeudi à la Semaine européenne de l’intelligence artificielle, souligne la nécessité d’encadrer les nouveaux systèmes d’IA, à la fois puissants et opaques.
Des chasseurs (parfois de mauvaise foi), des gestionnaires forestiers (dont certains réclament davantage de formations), des propriétaires et pouvoirs publics (qui négligent les travaux d’entretien) sont coresponsables des dangers qui pèsent sur nos forêts.
Métaux rares, substances indispensables à la transition, exploitation zéro émission, techniques minières modernes, technologies intelligentes, impacts positifs sur la biodiversité, standards internationaux contraignants, nouvelles frontières extractives… Ces nouveaux concepts sont régulièrement mis en avant et contribuent à redorer l’image d’une industrie prédatrice et dangereuse. Pour lutter contre la diffusion d’idées reçues souvent questionnables, voire fausses, qui accompagnant ces concepts, SystExt s’est penchée sur les plus répandues d’entre elles. Pour ce faire, durant 2 ans, l’association a étudié près d’un millier de publications scientifiques, de rapports et d’articles de presse parmi les plus récents, et a complété ces données par ses retours d’expérience de terrain depuis 10 ans.
Ces deux dernières décennies, face à la pression grandissante des populations autochtones et locales, de la société civile et des organisations internationales, le secteur minier a développé une stratégie opérationnelle et politique visant à promouvoir sa capacité à limiter les conséquences de ses activités. Trois leviers ont ainsi été mis en place par l’industrie minière : (1) le développement de techniques et technologies « modernes » et « propres » ; (2) l’instauration de « bonnes » et de « meilleures » pratiques ; (3) la conformité à des standards internationaux, ayant vocation à uniformiser les pratiques minières et promouvoir les meilleures d’entre elles. Le présent tome examine ces deux derniers leviers afin de déterminer la nature exacte des concepts et instruments associés, de comprendre dans quelle mesure ils peuvent contribuer à la limitation des impacts humains, sociaux et environnementaux, et d’évaluer leur efficacité dans la prise en charge de ces problématiques. Ces questions se trouvent en réa
Volet 2 · Tome 1 - Exploration et exploitation minières en eaux profondes - Webinaire - Jeudi 17 novembre 2022
Du 20 Novembre au 18 Décembre aura lieu la Coupe du Monde 2022. Et vous n’imaginez pas combien j’adore le foot mais il y a des moments où les choses vont trop loin... Alors préparez votre cerveau car il pourrait bien se barrer avant la fin de cette vidéo.
Une gestion prudente des risques exige la prise en compte de scénarios allant du moins bon au pire. Or, dans le cas du changement climatique, ces futurs potentiels sont mal connus. Le changement climatique anthropique pourrait-il entraîner l’effondrement de la société mondiale, voire l’extinction de l’humanité ? À l’heure actuelle, il s’agit d’un sujet dangereusement sous-exploré. Pourtant, il existe de nombreuses raisons de penser que le changement climatique pourrait entraîner une catastrophe mondiale. L’analyse des mécanismes à l’origine de ces conséquences extrêmes pourrait contribuer à galvaniser l’action, à améliorer la résilience et à informer les politiques, y compris les réponses d’urgence. Nous exposons les connaissances actuelles sur la probabilité d’un changement climatique extrême, expliquons pourquoi il est vital de comprendre les cas les plus défavorables, exposons les raisons de s’inquiéter des résultats catastrophiques, définissons les termes clés et proposons un programme de recherche. Le pr
Jean-Baptiste FRESSOZ est historien des sciences, des techniques et de l'environnement, ainsi que chercheur au CNRS. Il s'intéresse particulièrement à la question de la transition énergétique, qui selon lui est largement mystifiée, et empêche de comprendre le bourbier dans lequel nous sommes plongés avec la crise environnementale.
Et si avec la guerre en Ukraine, le nucléaire vivait une épreuve de vérité décisive ? Cette technologie a été conçue pour être développée dans un temps de paix et de stabilité sociale. Or, l'évènement ukrainien souligne qu'un tel postulat est non seulement illusoire, mais moralement inconséquent. L'imprévisibilité historique nous oblige à réexaminer les conditions de possibilité du nucléaire
Le 5 mars, de grands noms de la littérature de langue russe ont appelé les russophones de tous pays à unir leurs forces. L’objectif : raconter aux Russes, dans leur langue, la vérité sur l’invasion de l’Ukraine.
Le sud de Bahia a été dévasté par des précipitations sans précédent en décembre. Il y a une alerte pour le risque de tempêtes violentes dans la région du Sud-Est. Pendant ce temps, les trois États du sud souffrent de la chaleur et du manque d'eau en pleine saison des pluies. Rien de tout cela n'arrive par hasard, ou par la force de phénomènes purement naturels. La facture de cette omission face à la menace du changement climatique arrive de manière brutale.
Analyse argumentée basée sur un retour d’expérience international, portant sur plusieurs sujets d’actualité : Caractère prédateur et dangereux · Techniques minières · Déversements volontaires en milieux aquatiques · Anciens sites miniers
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Géochimiste de renommée internationale, Charles Langmuir est professeur à Harvard. Il s'intéresse en particulier à l'évolution de notre planète et à la place de l'être humain sur Terre. Le scientifique américain lance l'alerte pour la planète et "les attaques contre la science" dans son pays.
Le président américain avance régulièrement que le montant du soutien américain s’élève à 350 milliards de dollars, ou que l’Europe ne fait que prêter à l’Ukraine. Des déclarations fausses et trompeuses.
Dans cet échange percutant, nous discutons avec Thomas Wagner, créateur du média Bonpote, reconnu pour ses analyses claires et engagées sur les enjeux climatiques. Ensemble, nous explorons une question brûlante : pourquoi ceux qui défendent la planète sont-ils de plus en plus criminalisés ? 👉 Thomas Wagner, à travers ses articles et prises de position, s’est imposé comme une référence dans le débat climatique, dénonçant à la fois l’inaction des pouvoirs publics et la manipulation des discours médiatiques tout en apportant de la compréhension à la science du climat.
Certains politiciens, tel Donald Trump, se permettent de mentir impunément. Les réseaux sociaux diffusent massivement des « fakes ». Sommes-nous entrés dans une époque où la vérité ne compte plus ?
Intuitivement, il semble que la diffusion massive d'images générées par IA couronne l'ère des "vérités alternatives". C'est le pari inverse qui est fait ici. Désormais, toutes les images seront par défaut équivoques. Et la vérité se cherchera par d'autres chemins, notamment le statut et la traçabilité des sources d'information. Un enjeu démocratique.
A l’approche de l’investiture de Donald Trump en janvier et du troisième anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine en février, le conflit s’accélère. C’est aux pays européens les plus déterminés d’organiser, d’urgence, la réponse à un éventuel désengagement américain.
La 29e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte, lundi, en Azerbaïdjan, avec pour principal enjeu de trouver un compromis sur les montants d'aide financière à destination des pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique.
Lors de la passation de pouvoir à Matignon, Michel Barnier a promis de dire la vérité aux Français sur la « dette financière et la dette écologique ».
Nous serions à un tournant dans l'Histoire du mensonge. Donald Trump a inauguré l'idée de "vérité alternative". Dans les écoles, de plus en plus d'informations fournies par les enseignants sont contestées. Lors des campagnes électorales, qui croire ? Que croire ? À quelle source nous fier ? Comment valider les vérités proposées ?
Déroute d'Ecolo, Philippe Lamberts livre ses vérités
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La prétendue post-vérité est incomptable tant avec le débat démocratique qu’avec l’anticipation, la réaction et l’adaptation à une réalité physiquement changeante. La vie politique exige que l’on puisse interpréter différemment et/ou vouloir changer tel ou tel aspect du monde. S’il n’est plus aucune description préalable commune du monde environnant, il n’est ni interprétations opposées d’un monde commun, ni changement de tel aspect de la réalité possibles.
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Pour Jérôme Saddier, l’économie sociale et solidaire est à la croisée des chemins, plus que jamais en mesure d’accompagner les transitions qui nous attendent.
L’objectif de cet article est d’esquisser les contours d’une sociologie de l’éducation au changement climatique. Pour ce faire, nous discutons du récit paradoxal sur l’urgence climatique, selon lequel nos sociétés ne réagissent pas alors qu’elles entendent l’alerte. Notre hypothèse est que ce récit d’(in)action publique, devenu leitmotiv, cadre de manière inadéquate la manière dont nous pensons l’éducation au changement climatique. En examinant la manière dont l’éducation au changement climatique a été traditionnellement pensée et pratiquée, nous constatons qu’elle est le plus souvent basée sur un modèle inadéquat qui rend les gens réticents à recevoir des informations sur le changement climatique et crée un fossé entre les attitudes et les comportements. Cependant, nous identifions aussi la montée en puissance de nouvelles façons d’envisager l’éducation au changement climatique. Recourant souvent à l’art, celles-ci semblent prometteuses car rendant sensibles et tangibles les transformations en cours elles pe