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À peine ouverte, la COP29 de Bakou suscite déjà des critiques. Le choix de l'Azerbaïdjan, l'un des principaux producteurs d'hydrocarbures, comme pays hôte des négociations, après Dubaï l'an dernier, déplaît à certains États, notamment la Papouasie-Nouvelle-Guinée qui a décidé de boycotter l'événement.
A quelques semaines de la conférence sur le climat qui se tiendra en Azerbaïdjan, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, particulièrement vulnérable au réchauffement de la planète, boycott la COP29 et appelle les pays pollueurs à «se ressaisir».
Une trentaine d'artistes et universitaires belges ont lancé une pétition en ligne pour appeler au boycott d'Israël, alors que les bombardements et l'offensive terrestre menés par l'État hébreu ont fait plus de 30.000 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Membres du comité de suivi du plan Ecophyto II +, 8 organisations condamnent le manque de considération de l'exécutif et la remise en cause de l’indicateur de mesure des pesticides dans les champs pour répondre à la colère des agriculteurs.
Cinq participants de la COP28 donnent leurs arguments quant à l'utilité des conférences sur le climat de l'ONU, issues de la déclaration de Rio de 1992, qui se résument ainsi : la planète serait dans un état encore pire sans les COP.- John Kerry, Monsieur climat américain -"Certains suggèrent ici et là que l'accord de Paris ne marche pas car nous sommes en retard et qu'il reste beaucoup de chemin à parcourir. Au contraire, la preuve est claire : il marche, je me souviens qu'avant Paris (...) nous nous dirigions vers un réchauffement planétaire de 3,7 à 4°C...
Le climatologue Jean-Pascal van Ypersele, membre du Giec, était l’invité du “Café sans Filtre” ce matin sur LN24 pour aborder la Cop 28 qui s’ouvre à Dubaï ce 30 novembre.
Présidence d’un lobbyiste du pétrole, travailleurs migrants exploités, invitation de Bachar al-Assad : on vous présente en vidéo quatre raisons pour lesquelles la COP28, qui s’ouvre le 30 novembre, fait polémique.
Le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, s'est défendu mercredi d'avoir voulu user de sa position de président de la conférence de l'ONU sur le climat pour promouvoir des projets pétroliers et énergétiques des Emirats dans plusieurs pays, comme des documents révélés cette semaine l'ont évoqué.
La COP 28 aura lieu cette année à Dubaï. Cette nouvelle COP interroge, tant par le fait que l’événement soit présidé par le patron de la plus grande entreprise d’énergies fossiles des Emirats arabes unis, le Sultan Ahmed Al-Jaber, que par l’annonce d’Abou Dhabi prévoyant d’augmenter sa production de barils de 25 % d’ici à 2027.
Good COP, bad COP ? Alors que la 28ème conférence mondiale (COP28) sur le climat est sur le point de s’ouvrir à Dubaï (Émirats arabes unis), des voix appellent à boycotter ce sommet organisé par un pays pétrolier. Or, c’est tout le contraire qu’il faudrait faire, selon Loup Espargilière.
Saudi Arabia is driving a huge global investment plan to create demand for its oil and gas in developing countries, an undercover investigation has revealed. Critics said the plan was designed to get countries “hooked on its harmful products”. Little was known about the oil demand sustainability programme (ODSP) but the investigation obtained detailed information on plans to drive up the use of fossil fuel-powered cars, buses and planes in Africa and elsewhere, as rich countries increasingly switch to clean energy.
Dans quelques jours va s’ouvrir la COP28 sur le climat. Alors que les participants préparent leurs armes, la victoire ne devrait pas échapper aux pétroliers et gaziers, d’autant qu’ils vont jouer sur leur terrain : aux Emirats arabes unis et avec leur arbitre, le président de la compagnie pétrolière nationale, le sultan Ahmed al-Jaber. En préambule à cette rencontre, la stratégie pétrolière mondiale a été dévoilée en septembre dernier lors du 24e congrès du World Petroleum, à Calgary. Les dirigeants ont posé les bases d’un plan facilement compréhensible et calqué sur les principes des géants du tabac.
C’est un Sultan ? La 28ème Conférence des Nations unies (COP28) sur le climat s’ouvre le 30 novembre à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Le pays hôte peut surprendre ; le chef d’orchestre des négociations encore plus puisque le président de la COP, Sultan Al Jaber, est aussi patron de la compagnie pétrolière nationale. Décryptage.
Nicolas Pereira, président-fondateur du World Impact Summit, fait partie de ceux qui appellent à boycotter la COP28 qui se tient du 30 novembre au 12 décembre 2023 à Dubaï aux Émirats arabes unis. Il s'en explique.
Ce mercredi, un rapport du «Systems Change Lab» évalue les efforts dans tous les domaines pour s’aligner sur la trajectoire d’un réchauffement limité à 1,5°C. Malgré quelques bonnes surprises, comme la progression des voitures électriques,
Le choix des Émirats arabes unis, septième producteur de pétrole brut, pour héberger une conférence dédiée au climat de la planète qui se réchauffe en grande partie à cause de cette ressource paraît paradoxal. Le choix du patron de la compagnie pétrolière nationale pour présider la COP est jugé insensé par beaucoup. Comment en est-on arrivé là ? Des surprises sont-elles permises dans trois semaines à Dubaï ?
Faut-il boycotter la COP28 ? La question se pose de plus en plus distinctement chez un grand nombre d’entrepreneurs français. Pour 250 d’entre eux, la réponse est claire : ils n’iront pas. Un positionnement qui questionne à moins de trois semaines de l’ouverture de cette nouvelle conférence pour le climat, qui se tiendra cette année à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre.
C'est une polémique de plus qui vient entacher la COP28 sur le climat qui se tiendra à la fin du mois à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Une enquête de l'AFP révèle comment le cabinet de conseil McKinsey influence les organisateurs du sommet, poussant pour les énergies fossiles. Alors que les prévisions des principaux producteurs de pétrole, de gaz et de charbon menacent l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C, la question de la sortie des énergies fossiles sera cruciale.
Plus de 46 millions de professionnels de santé ont écrit une lettre au président de la COP28, Sultan Al-Jaber, et rappellent le danger des énergies fossiles pour la santé humaine.
Sultan Al Jaber dit tomber des nues quand il entend des écologistes l'accuser de duplicité sur le climat.En public, la parole de cet homme de haute taille âgé de 50 ans, qui cumule les fonctions de patron de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc, de ministre de l'Industrie et des Technologies avancées des Emirats arabes unis, d'émissaire pour le climat et de président de la 28e conférence de l'ONU sur le climat (COP28) en novembre à Dubaï, est prudente, presque monotone.