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Équateur
L'Équateur a identifié samedi une fuite dans un oléoduc en Amazonie, que le gouvernement a attribuée à un "sabotage", après une autre fuite qui a privé d'eau potable des dizaines de milliers d'habitants. Le ministère de l'Energie n'a pas précisé l'ampleur de la fuite ni si elle s'était étendue à la rivière Coca, où se trouve la principale centrale hydroélectrique, dans l'est du pays. Le ministère de l'Environnement a reconnu de son côté que la fuite pouvait avoir un "impact" en matière de pollution.
Provoquée le 13 mars par un glissement de terrain, une fuite dans un oléoduc a entraîné une grave pollution de plusieurs rivières et a privé d’eau potable des dizaines de milliers d’habitants de la province d’Esmeraldas.
La compagnie pétrolière publique équatorienne Petroecuador a déclaré mardi en situation d'urgence son principal oléoduc et a réduit ses exportations de brut en raison d'une fuite qui a gravement pollué plusieurs rivières et privé d'eau potable des dizaines de milliers d'habitants du nord-ouest du pays.
Le président équatorien, Daniel Noboa, a prévenu mercredi qu'il ne signerait pas le contrat d'exploitation du plus grand gisement pétrolier du pays si le consortium sino-canadien retenu ne versait pas un acompte de 1,5 milliard de dollars dans les six jours.L'Equateur a délégué l'exploitation du champ pétrolier de Sacha, situé dans la province amazonienne d'Orellana (est), à un consortium composé de filiales des groupes chinois Sinopec et canadien New Stratus Energy.
“C’est le plus grand braquage de l’histoire” de l’Équateur, dénonce le journal d’opposition “Periódico Opción”, après l’attribution par le gouvernement de Daniel Noboa, en plein entre-deux-tours de la présidentielle, de l’exploitation du champ pétrolier Sacha à un consortium privé et étranger, sans appel d’offres. D’autant que la manœuvre, critique l’opposition de gauche, a été effectuée dans le dos des Équatoriens, occupés à célébrer le carnaval.
Bien que la population du pays sud-américain ait voté pour la fin des activités extractives dans ce parc naturel, le pouvoir n’a pas encore franchement entrepris le démantèlement des activités, arguant de « difficultés techniques ».
Alors que les ventes de véhicules électriques ont explosé depuis 2019 dans un contexte de hausse du prix des carburants, les très fréquentes coupures de courant, liées à la forte sécheresse, remettent en question le choix des conducteurs.
Depuis le 27 décembre, les littoraux équatoriens et péruviens font face à une série de vagues de forte intensité. Plusieurs infrastructures maritimes et touristiques ont été altérées par le phénomène.
Une sécheresse inédite a vidé les barrages et oblige les Equatoriens à vivre avec des coupures d’électricité de plusieurs heures par jour, alors que le président, Daniel Noboa, espère se faire réélire en février.
Alors que plus de 10 000 hectares ont brûlé en novembre, cette mesure, qui permet de mobiliser des ressources économiques, s’appliquera pour une période de soixante jours.
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