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L’écologie peut-elle être un outil de libération ? Dans ce talk percutant et engagé, Fatima Ouassak démonte les récits dominants d’une écologie blanche, urbaine, bourgeoise, déconnectée des enjeux des quartiers populaires et des héritages coloniaux. À travers son livre Terre et liberté et son engagement militant, elle relie climat, antiracisme, féminisme et justice sociale. Elle évoque la colonisation, l’école discriminatoire, la liberté de circuler comme droit fondamental, et la nécessité d’une écologie pirate, radicale, ancrée dans la réalité des luttes. Un échange essentiel pour repolitiser l’écologie et en faire une arme pour les oubliés de l'écologie.
Présenté comme une réponse à la crise agricole de janvier 2024, le texte prévoit notamment la réintroduction d’un insecticide interdit, l’acétamipride.
... , il me semble suffisant d’imaginer qu’un scénario à 2 °C en 2050, et au-delà par la suite, pourrait provoquer une mortalité massive sur un pas de temps variable, s’élevant potentiellement à plusieurs centaines de millions d’êtres humains, sans qu’il soit loisible de fixer un plafond. Telle serait d’ailleurs tout simplement la conséquence d’une baisse significative, pour un temps indéfini, de nos capacités de production alimentaire, associée à une régression rapide des ressources marines.
La sociologue Monique Pinçon-Charlot s’attelle, dans son dernier ouvrage, en forme de miscellanées, aux liens entre la destruction de l’environnement et l’appétit pour le profit.
Jamais le monde politique, tant national qu’international, n’a promu des politiques publiques aussi orthogonales à une situation écologique dramatique, même potentiellement tragique et à courte échéance. En France, le Sénat, sous prétexte d’encourager la productivité agricole, ouvre les vannes à la destruction du vivant et de la santé humaine ; il n’est question dans les couloirs des assemblées et sur les plateaux que de supprimer l’Agence de la transition écologique (ADEME) ou l’Office français de la biodiversité (OFB)
Les éoliennes, les panneaux photovoltaïques, la biomasse… La production d’énergie verte est sans cesse en augmentation. Pas mal de citoyens contribuent aussi à cette transition énergétique en investissant dans des coopératives citoyennes et des projets locaux. En province de Luxembourg, les trois coopératives d’énergies renouvelables Lucéole, Vents du Sud et Wattardenne sont particulièrement actives et ont déjà réalisé divers projets comme l’éolienne citoyenne à Fauvillers (Lucéole) , l’éolienne citoyenne à Hondelange (Vents du Sud) ou encore la participation des trois coopératives dans six centrales hydroélectriques sur la Meuse et la Sambre.
Ce 17 février marque le "jour du dépassement" au Luxembourg, date à laquelle le pays à consommer toutes les ressources qu'il pouvait produire durant l'année.
Nous sommes désormais confrontés au mal radical, absolu et ultime. Est-il encore possible de bifurquer ? Dominique Bourg, philosophe spécialiste de l’écologie, veut y croire. Il développe cette idée dans Dévastation (PUF). Explications.
L’économiste de la décroissance Thimothée Parrique était l’invité de la soirée organisée par le Conseil Supérieur du Développement Durable (CSDD), à l‘occasion de son vingtième anniversaire, le 11 octobre. Le débat, intitulé « One planet – our future : réimaginer la prospérité dans un monde fini », a opposé les thuriféraires d’une croissance infinie aux soutiens de la décroissance. Pour célébrer ses vingt ans, le CSDD a invité plusieurs intervenant·es à s’exprimer et à débattre sur le thème de la décroissance au Luxembourg, dont Timothée Parrique, chercheur français à l’université de Lausanne et auteur du livre « Ralentir ou Périr : L’économie de la décroissance », ... mehr lesen / lire plus →
Les organisations environnementales luxembourgeoises réclament une valeur limite pour les produits chimiques TFA dans l'eau. La commission de l'environnement a discuté du sujet cette semaine.
Auteur d’un essai fustigeant notamment l’écologie du spectacle, le spécialiste des questions climatiques Clément Sénéchal revient sur l’urgence de retravailler la question écologique à partir des inégalités réelles.
Féris Barkat est fondateur de l’association Banlieues Climat. Banlieues Climat redonne la parole aux habitantes et habitants des quartiers populaires autour des questions de la crise climatique et écologique.
C’est une habitude. Sans qu’on s’en rende compte, on n’y pense même plus. On flâne sous la douche, on lave la vaisselle en écoutant la radio, on lance une machine de linge, puis on tire la chasse après un passage aux toilettes. L’eau qu’on utilise s’en va ensuite dans l’égout et termine dans une station d’épuration proche de chez nous. Là-bas, elle passe par différents bassins pour être nettoyée. Au bout du processus, d’un côté, il y a l’eau claire rejetée dans les cours d’eau ; de l’autre, il reste une matière organique, dont on ne parle pas souvent, un résidu solide qu’on appelle boue d’épuration.
À quelques heures d'un scrutin historique, Futura s'est entretenu avec le philosophe Dominique Bourg. Au centre de l'échange, la crise climatique passée sous silence dans les débats publics. Silence lourd, dangereux, parfois interrompu par une expression qui l'est plus encore : celle d'écologie punitive.
Pour la première fois en Europe de l'Ouest, de l'hélium, gaz rare et stratégique jusqu'alors totalement importé, est extrait du sous-sol, en pleine campagne bourguignonne: un projet pilote qui espère couvrir à terme, selon ses promoteurs, jusqu'à 15% des besoins de la France.Entre prés à vaches et épaisses forêts, la petite unité de production inaugurée cette semaine à Saint-Parize-le-Chatel (Nièvre), extrait ce gaz, non toxique et ininflammable, devenu incontournable dans l'électronique ou l'aérospatial.
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