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... , il me semble suffisant d’imaginer qu’un scénario à 2 °C en 2050, et au-delà par la suite, pourrait provoquer une mortalité massive sur un pas de temps variable, s’élevant potentiellement à plusieurs centaines de millions d’êtres humains, sans qu’il soit loisible de fixer un plafond. Telle serait d’ailleurs tout simplement la conséquence d’une baisse significative, pour un temps indéfini, de nos capacités de production alimentaire, associée à une régression rapide des ressources marines.
Jamais le monde politique, tant national qu’international, n’a promu des politiques publiques aussi orthogonales à une situation écologique dramatique, même potentiellement tragique et à courte échéance. En France, le Sénat, sous prétexte d’encourager la productivité agricole, ouvre les vannes à la destruction du vivant et de la santé humaine ; il n’est question dans les couloirs des assemblées et sur les plateaux que de supprimer l’Agence de la transition écologique (ADEME) ou l’Office français de la biodiversité (OFB)
.. comment élucider le mystère de la réduction (apparente) de la violence telle que la perçoit le psycholinguiste Steven Pinker ? Ce dernier spécifie en effet : « Le déclin de la violence constitue un aboutissement que nous pouvons savourer, et une invitation à chérir les forces civilisatrices et éclairées qui l’ont rendu possible. » Il s’appuie à cette fin sur « […] un humanisme réfractaire à la violence »
En 1938, des membres de mon obédience maçonnique écrivaient "Partons au combat. N'est-ce pas un crime de se taire ?" C'est d'une incroyable actualité. Le basculement actuel dans l'ère de la post-vérité est terrifiant. La culture invite à la compréhension d'autrui, favorise la tolérance, questionne la société et émancipe chaque être humain. Il faut la sauver !
Cyrus Farhangi est un expert vulgarisateur des enjeux environnementaux. Il partage quotidiennement sur Linkedin ses découvertes, ses craintes et ses espoirs concernant un possible effondrement de notre civilisation suite aux catastrophes environnementales en cours. Il travaille aujourd’hui pour une entreprise de production d’énergie solaire. D’abord convaincu que l’effondrement était inéluctable compte tenu de la complexité de la situation, de la gravité des catastrophes et de l’inertie de notre système économique, il a depuis nuancé son approche et considère que des solutions existent et que nous ne sommes pas condamnés. En piochant parmi les solutions imaginées par les milieux décroissants que dans celles imaginées dans les milieux techno-solutionnistes, Cyrus pense que nous pouvons imaginer un chemin nous permettant d'éviter de vivre l'effondrement de notre civilisation.
Des chercheurs ont simulé des milliers de civilisations extraterrestres. Découvrez ce qui les anénantit à chaque fois !
Se penchant à la fois sur les réorganisations politiques et socioéconomiques de ce monde en transition et sur l'émergence, la diffusion et l'impact d'innovations aussi décisives que la technologie du fer et l'écriture alphabétique, l'auteur synthétise d'une plume virtuose les débats et les hypothèses des meilleurs spécialistes de la période. En conclusion, il nous propose une réflexion comparative de grande ampleur qui fait explicitement écho aux interrogations suscitées par les défis écologiques et civilisationnels de notre présent.
La civilisation indutrielle entraîne des catastrophes écologiques et climatiques rendant la planète invivable. Il ne s’agit plus de juste "redistribuer les richesses" et "taxer les riches", mais de changer rapidement et complètement de modèle de société pour que la biosphère (et tous les êtres qui lui sont liés, dont les humains) puisse tenir le coup.
Chaque année, l’ensemble de l’humanité produit plus de 2 milliards de tonnes de déchets, soit 70 tonnes toutes les secondes. Le plastique, à lui seul, pèse plus lourd que tous les animaux marins et terrestres présents sur Terre... Et pourtant, nous n’avons jamais été aussi peu en contact avec nos déchets. Deux chercheurs, Jérémie Cavé et Yann Philippe Tastevin, et une illustratrice, Alizée De Pin, ont enquêté sur nos déchets pour nous expliquer, en texte et en images, où ils finissent et surtout d’où ils viennent. En s’appuyant sur des illustrations et des infographies claires et accessibles à tous, les auteurs nous donnent une vision globale du problème. Ils démontent nos idées reçues, reconstruisent l’histoire du traitement des déchets depuis l’Antiquité et suivent à la trace six produits de consommation courante : une tomate en hiver, un T-shirt, une canette de soda, une bouteille en plastique, une voiture et un smartphone. Un livre passionnant sur un sujet dont on aimerait se dé
À l'occasion des 4 ans de Team for the Planet, une discussion entre Arthur Auboeuf, cofondateur de TFTP, et Arthur Keller, ingénieur et spécialiste des risques systémiques.
Multiplication des guerres, réchauffement climatique, essor des régimes autoritaires : le monde court au désastre, mais il nous faut résister à la haine, estime, dans une tribune au « Monde », le sociologue et philosophe.
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Un anthropologue évolutionniste s'est penché sur les risques d'observer un effondrement civilisationnel. Voici ce qu'il en dit.
Il y a peu d'événements climatiques qui peuvent nous donner un aperçu de ce que vivre au dessus de la limite des 2°C des accords de Paris à une échelle globale représente. C'est le cas d'El Niño. Laurent Testot est auteur-conférencier, expert en histoire globale (comprendre "appréhender l'histoire à grande échelle"). Dans cet épisode, vous comprendrez tout simplement : - L'explication scientifique du phénomène récurrent El Nino (et simplement, s'il vous plait) - Comment El Niño a participé à façonner et déconstruire des civilisations entières depuis des milliers d'années - Les impacts du Super El Niño auquel nous nous préparons sur le monde et la géopolitique en 2024
Mensonges renouvelables et capitalisme décarboné : notes sur la récupération du mouvement écologiste
- Nicolas Casaux
le désastre écologique continue imperturbablement, et est même aggravé par l’extractivisme nécessaire au développement des énergies dites « renouvelables » et des technologies dites « propres » ou « vertes » en général. La civilisation industrielle s’apprête à achever de détruire ce qu’il reste du monde naturel, mais désormais au nom de l’écologie, du sauvetage de la planète ou de la lutte contre le réchauffement climatique. Et comment retrouver un mouvement écologiste digne de ce nom ?
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