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pollution plastique eau h2o
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
Alors que l'eau du robinet contient en partie des polluants éternels, l'eau en bouteille ne serait pas une alternative parfaite.
Récemment, des chercheurs américains ont mis au point une méthode et un solvant innovants permettant d'éliminer facilement les nanoplastiques de l'eau avec une efficacité de 98 %.
Une nouvelle étude montre que les taux de pollution aux micro-plastiques sont 100 à 1000 fois plus élevés qu’on ne le pensait jusque là. Des résultats qui tranchent avec l'image d'un produit pur et sain véhiculé par les industriels.
L'eau des bouteilles en plastique contient jusqu'à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu'estimé jusqu'ici, selon une nouvelle étude publiée lundi.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.
Selon une nouvelle étude parue dans une revue américaine, la pollution aux nanoparticules dans l’eau en bouteille est 100 fois plus élevée qu’estimée auparavant. Un coauteur de l’étude «ne recommande pas de ne pas boire d’eau en bouteille quand c’est nécessaire».
Dans des bouteilles d’eau achetées au supermarché aux États-Unis, des chercheurs ont détecté une quantité importante de plastiques, dont 90 % sont de taille nanométrique.
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.
Nous sommes tous contaminés aux perturbateurs endocriniens. En cause : le plastique, une bombe sanitaire négligée par les pouvoirs publics.
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