Uniquement les Articles de la décennie 2010
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Prolonger les centrales nucléaires? Le serpent de mer divise la Belgique entière depuis la loi de sortie, qui prévoit leur fermeture entre 2022 et 2025. Alors quand un climatologue de renom, Jean-Pascal van Ypersele, opposé de longue date à l’énergie atomique, se prononce en faveur d’une prolongation de centrales au-delà de la date butoir, les partisans de l’atome prennent la balle au bond. À l’image du Forum nucléaire: "L’ancien vice-président du Giec plaide pour la prolongation de quelques centrales nucléaires", a tweeté le lobby du secteur, renvoyant vers les propos que le climatologue de l’UCLouvain a tenus dans le journal De Zondag.
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Selon des scientifiques australiens, il pourrait nous rester que très peu d’années à vivre. Le Giec relativise
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La raréfaction prochaine des combustibles fossiles va contraindre de hâter la transition énergétique
(19/08) - Bernard Durandabs_empty
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Des scientifiques ont découvert des quantités de mercure astronomiques dans le permafrost, le sol gelé de l'Arctique. Or la fonte des glaces aurait pour conséquence de libérer tout ce métal dangereux. Il pourrait contaminer poissons et animaux marins et ainsi remonter la chaîne alimentaire, menaçant à terme notre santé à tous.
Le pergélisol des régions de l’hémisphère nord dissimulaient une surprise très désagréable : des quantités impressionnantes de mercure. Près de deux fois plus que le reste du mercure naturel de la planète Des chercheurs de l’US Geological Survey ont étudié des échantillons de glace provenant du pergélisol d’Alaska et leurs estimations montrent que 793 millions de kilogrammes de mercure ont été piégés dans le pergélisol de l’hémisphère nord, depuis la dernière période glaciaire.
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L’effondrement de la première étape est possible dès 2020, probable en 2025, certain vers 2030. Une telle affirmation s’appuie sur de nombreuses publications scientifiques que l’on peut réunir sous la bannière de l’Anthropocène, compris au sens de rupture au sein du système-Terre, caractérisée par le dépassement irrépressible et irréversible de certains seuils géo-bio-physiques globaux. Ces ruptures sont désormais imparables, le système-Terre se comportant comme un automate qu’aucune force humaine ne peut contrôler.
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