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frédéric
Ils l’ont fait. Après s’être réunis pour la première fois à Madrid la semaine dernière, à l’occasion de la COP25, les quatre ministres belges en charge du Climat ont adopté mercredi matin le Plan national climat-énergie (Pnec) de la Belgique. Une étape qui démontre la capacité des nouveaux exécutifs régionaux à trouver un modus vivendi sur ce sujet, malgré les divergences de vues entre la Flandre et les deux autres régions. La décision adoptée mercredi en comité de concertation va permettre à la Belgique d’envoyer son plan à la Commission européenne avant la fin de l’année, comme requis.
Si le diable est dans les détails, l’enfer de la COP25 est "l’article 6". Ministres et fonctionnaires négocient pied à pied le chapitre du mode d’emploi de l’accord de Paris ("Rulebook") consacré aux approches coopératives: la manière dont les États pourront à l’avenir acheter ou vendre des certificats de réduction d’émissions. État des lieux à la veille de la clôture de la conférence de Madrid: un document de 45 pages qui contient 200 parties entre crochets – autant de points de désaccords à évacuer. La présidence chilienne de la conférence, assistée des ministres Sud-Africain et Néo-zélandais, va tenter la prouesse de résoudre le casse-tête pour boucler ce chapitre dans la capitale espagnole.
C’est le moment "Man on the Moon" de l’Europe, a lancé mercredi Ursula von der Leyen en comparant le Pacte vert qu’elle présentait à l’odyssée spatiale américaine lancée par John F. Kennedy. Deux semaines après son entrée en fonction, la présidente de la Commission posait son premier grand acte politique en dévoilant avec son vice-président au Climat Frans Timmermans un plan de 50 actions qui promettent de révolutionner le modèle de développement – pour ne pas dire le mode de vie – européen.
La Belgique a perdu quatre places dans le classement du Climate Change Performance Index (CCPI), dont l'édition 2020 a été publiée ce mardi en marge de la COP25 de Madrid. La Belgique est tombée à la 35e place, entre l'Espagne et l'Afrique du Sud, alors qu'elle était encore à la 31e place l'an dernier.
La conférence climatique de Madrid, la COP25, s’ouvre ce lundi dans un climat tendu. À trois jours de l’ouverture de la conférence, la ministre espagnole de la Transition, Teresa Ribera, a mis en cause "l’attitude absolument irresponsable de l’administration Trump", qui a officialisé au début du mois son intention de se retirer de l’Accord de Paris, adopté en 2015 par 197 pays. Alors que les tensions commerciales et géopolitiques entre les États-Unis et la Chine déstabilisent l’ordre international dans un contexte de montée des populismes, la Conférence du climat est l’une des enceintes mondiales où se va se prendre le pouls d’un multilatéralisme en crise.
Dans deux précédents articles, nous avons établi que le numérique est une ressource critique, non renouvelable et qui sera épuisée dans une génération. Compte tenu de cette tension, il est urgent de lui trouver une alternative pour permettre à l’humanité de continuer à transmettre sa connaissance de génération en génération et à s’organiser en communiquant. Deux clés indispensables pour assurer notre résilience.
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Frédéric Thomas est une référence dans le domaine de l’agriculture de conservation. Ce paysan français prône le semis simplifié, les couvertures permanentes des sols et le retour des animaux sur les exploitations céréalières.
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L’activité humaine aurait atteint un tel degré de développement qu’elle aurait fait entrer la Terre dans une nouvelle ère géologique. L’Anthropocène, terme encore timide auprès du grand public (1) mais déjà bien ancré dans la pensée de certain-e-s expert-e-s, désignerait cette nouvelle époque à l’intérieur de laquelle nous aurions pénétré. Le fait n’est pas anodin : l’entrée dans l’Anthropocène, vraisemblablement attribuable à « l’ensemble de l’activité humaine », marquerait simultanément la fin de l’Holocène, période entamée après la dernière glaciation couvrant les dix derniers millénaires.
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