Recherche : Articles Audio – podcast
Fiches
Livres
Sites
Vidéos
retour Veille
Uniquement les Articles de la décennie 2010
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
filtre:
travail
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Frédéric Thomas est une référence dans le domaine de l’agriculture de conservation. Ce paysan français prône le semis simplifié, les couvertures permanentes des sols et le retour des animaux sur les exploitations céréalières.
abs_empty
abs_empty
Jean-Pascal van Ypersele, ancien vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), dresse un inventaire du travail accompli depuis trois décennies par l’institution onusienne et propose quelques réformes indispensables. Un article de notre partenaire, le JDLE.
L’idée d’un revenu de base inconditionnel, qui serait versé à chaque personne indépendamment de son activité professionnelle, anime les milieux académiques et politiques depuis plusieurs décennies. L’une des propositions les plus récentes, formulée par le Mouvement français pour un revenu de base, s’élève à hauteur du RSA (soit 465 euros par mois et par adulte pour 2015).
Tenter de vivre dans les ruines du capitalisme. Tel est l’objectif de départ d’un livre étonnant, dans lequel l’anthropologue américaine Anna Lowenhaupt Tsing part sur les traces du champignon matsutake. Elle suit le parcours de sa récolte au coeur des forêts des Etats-Unis jusqu’à sa vente sur les étals du Japon, où il est considéré comme un produit noble. Surnommé « champignon de la fin du monde » parce qu’il pousse dans des zones détruites ou perturbées par les activités humaines, le matsutake est un parfait symbole de notre condition humaine.
Billet invité. À propos de La Grande Dissociation. Ouvert aux commentaires. On peut tirer de nombreuses conséquences de l’article sur la Grande Dissociation. Si l’on maintient un apport suffisant et constant d’énergie et de matière dans le système techno-économique, il apparaît aujourd’hui déjà quasiment certain que les progrès scientifiques et techniques vont mener à ce que le travail de la machine (1) chasse à terme l’essentiel du travail humain, jusqu’à impacter la majorité de la population active. Sauf si l’on en décidait autrement, l’emploi humain disparaîtrait. Or le lien actuel entre travail humain, emploi et revenu est aujourd’hui en Occident et dans les parties du monde qui s’occidentalisent, la convention sociale qui permet aux individus employés de se procurer les biens et services produits afin de répondre à leurs besoins de base et leurs autres désirs (2). En cas de machinisation complète du travail, ce lien conventionnel ne pourra plus être maintenu. Si nul travail humain n’est nécessaire, qu’es