Uniquement les Articles de la décennie 2020
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Decision by international court of justice hailed as a gamechanger for climate justice and accountability
Les températures se maintiennent à des niveaux très élevés, selon le rapport annuel de l’Organisation météorologique mondiale. De quoi aggraver fonte des banquises, élévation du niveau de la mer et phénomènes climatiques extrêmes.
Le milliardaire libertarien, homme-orchestre de la tech américaine, traque la figure de l’antéchrist moderne. A l’entendre, celui-ci prend les traits de tous ceux qui cherchent à freiner le développement de la science au nom de la paix et de la sécurité, explique Corine Lesnes, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Exclusive: ‘Devastating consequences’ now inevitable but emissions cuts still vital, says António Guterres in sole interview before Cop30
Une planète à + 1,5 °C 5/6. Le delta et la mégapole de Ho Chi Minh-Ville, qui abritent un tiers de la population du pays, doivent faire face aux assauts de l’océan et aux conséquences de la surexploitation des ressources. Une large partie du delta est menacée de submersion.
L’effondrement écologique est tout sauf un fantasme millénariste : c’est une réalité documentée, incontestable. Les émissions de CO2 continuent à augmenter au niveau mondial, la biodiversité animale et végétale est anéantie à un rythme toujours plus accéléré, le cycle de l’eau est profondément perturbé, les diverses formes de pollution continuent à transformer le monde entier en poubelle (notamment en poubelle à micro-plastiques), les points de bascule irréversibles sont atteints et franchis les uns après les autres, etc. Pas la peine de dresser ici une énième fois et dans le détail un tableau apocalyptique, on peut aller directement à la conclusion, qui est assez évidente : une partie de l’espèce humaine, la plus riche, la plus soumise à la folie productiviste et consumériste, la plus inconsciente, la plus égoïste, est en train de rendre la Terre inhabitable.
Le discours européen sur la sécurité trahit le fait que nos dirigeants politiques ne prennent pas la menace existentielle du dérèglement climatique au sérieux. Les préoccupations liées à la guerre dominent, tandis que l'action climatique est sapée.
Les discours politiques sont imperméables aux idées de rupture, alors que la Terre atteint ses points de bascule, selon le chercheur Nathanaël Wallenhorst. Il en va pourtant de notre survie, explique-t-il.
La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a accepté vendredi d’avancer « la clause de revoyure » et de faire d’ici à la fin de l’année 2025 une proposition sur des mesures de flexibilité
L’Ethiopie accueille le deuxième Sommet africain sur le climat du 8 au 10 septembre. Le manque de financements pour s’adapter à la multiplication des évènements climatiques extrêmes est au centre des débats.
Les lacs et les mers sont de plus en plus touchés par d’importants épisodes de prolifération de phytoplancton. Malheureusement, ce phénomène que le réchauffement climatique et l’intensification des activités humaines favorisent ont des conséquences multiples déjà observables et ce, pas seulement sur les humains. […] En 2020 au Sénégal, une dermatite aiguë sévère a impacté un millier de pêcheurs durant près d’une année entière. Or, cette maladie inflammatoire chronique de la peau avait une origine mystérieuse jusqu’à la parution d’une étude scientifique évoquant la prolifération dans l’eau d’une micro-algue marine microscopique – la Vulcanodinium rugosum – libérant une toxine puissante : la Portimine A. Des nécroses cutanées identiques ayant la même cause ont été observées chez des baigneurs à Cuba plusieurs années auparavant.
Reconnaissant le caractère fondamental des rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, et puisque les changements climatiques font peser sur l’humanité une « menace urgente et existentielle », la marge de discrétion des Etats doit être réduite, et leurs obligations étendues, observent les juristes et chercheuses Marion Lemoine-Schonne et Sandrine Maljean-Dubois dans une tribune au « Monde ».
En 2025, près d'une dizaine de personnes ont perdu la vie en Italie des suites du virus du Nil occidental, un pathogène propagé par les moustiques dans les zones chaudes d'Europe.
L’avis de la Cour internationale de justice du 23 juillet change la donne du droit international climatique, soutiennent, dans une tribune au « Monde », la juriste Eleonora Bottini et la directrice générale de C40 Cities, Caterina Sarfatti.
La Cour Internationale de Justice (CIJ) vient de prononcer un avis historique sur les obligations des Etats dans la lutte contre le
Pour la première fois de son histoire, la plus haute juridiction mondiale explique concrètement ce que les États doivent faire – et s'abstenir de faire – pour prévenir une déstabilisation climatique supplémentaire. Qu'est-ce que cela signifie pour la Belgique, condamnée à deux reprises dans l'Affaire Climat (Klimaatzaak), mais qui ignore toujours ces jugements ?
Le président des Engagés, Yvan Verougstraete, a dénoncé les propos du ministre fédéral de l’Economie, David Clarinval (MR), sur la transition climatique. Dans la presse, celui-ci appelait à mettre sur pause certaines mesures climatiques et environnementales.
L'avis historique sur le climat rendu mercredi par la plus haute cour mondiale pourrait rendre plus risquées juridiquement les activités du secteur pétrogazier, à commencer par l'expansion des forages, selon l'analyse d'experts. La Cour internationale de justice (CIJ) a défendu dans un avis consultatif une position très ferme sur les énergies fossiles, qui a même surpris les observateurs chevronnés du droit de l'environnement. La plus haute juridiction de l'ONU, basée à La Haye, a déclaré que les États avaient l'obligation de répondre à la "menace urgente et existentielle" du réchauffement climatique.
Contraindre les grands Etats à réduire leur pollution carbone qui réchauffe la planète est peut-être hors de portée de la plus haute cour mondiale, mais l'avis historique qu'elle a rendu mercredi fournit une arme redoutable aux pays et aux militants à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique. Même s'il est consultatif et non contraignant, l'avis de la Cour internationale de justice (CIJ), plus haute juridiction de l'ONU, n'est pas sans pouvoir, bien au contraire.
Cette semaine, la Cour internationale de justice a rendu un avis historique, confirmant l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique, et par conséquent de réglementer les entreprises émettrices de gaz à effet de serre. Paul Mougeolle, juriste et coordinateur de "Notre Affaire à tous" décrypte cet avis pour Novethic.
Dans un avis inédit et unanime, la CIJ a conclu que les Etats qui violent leurs obligations climatiques commettent un acte « illicite » et pourraient se voir réclamer des « réparations » par les pays les plus affectés.
La CIJ a émis un avis consultatif inédit, mentionnant l’obligation de « réparations » pour les pays pollueurs envers les Etats les plus affectés par le changement climatique.
La plus haute juridiction de l’ONU a recadré les normes internationales en matière climatique mercredi 23 juillet, en affirmant que les pays sont juridiquement contraints de limiter la hausse des températures, explique la spécialiste du droit de l’environnement Marta Torre-Schaub.
Dans un avis inédit et unanime, la Cour internationale de justice reconnaît que le changement climatique constitue une menace existentielle pour l’humanité. Les États qui cherchent à se soustraire à leurs obligations climatiques peuvent voir leur responsabilité engagée, ce qui ouvre la voie à de futurs contentieux climatiques nationaux.
La Cour internationale de justice, la plus haute juridiction de l’ONU, rend un avis très attendu sur les obligations légales des Etats sur le changement climatique. […] Le changement climatique est « une menace urgente et existentielle », a déclaré, mercredi 23 juillet, le président de la Cour internationale de justice en rendant un avis très attendu sur les obligations légales des États sur le changement climatique, portant sur les obligations légales des États pour freiner le changement climatique, avec une question-clé : la responsabilité historique des grands pollueurs sera-t-elle engagée ?
Dans un avis inédit rendu ce mercredi 23 juillet, la Cour internationale de justice estime que la hausse des températures est «une menace urgente et existentielle». La plus haute juridiction de l’ONU ouvre ainsi la voie à une obligation de «réparations» pour les pays pollueurs.
Healthy environment a human right, UN court says in landmark climate ruling
La Cour internationale de justice a rendu mercredi un avis inédit sur les obligations des Etats en matière climatique, reconnaissant que leurs manquements peuvent constituer un acte "illicite" selon le droit international et ouvrant la voie à des réparations en faveur des pays les plus lésés.
Pour la première fois, la Cour internationale de justice, la plus haute juridiction mondiale, clarifie l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique mais aussi de réparer les dommages causés.
The constant deluge of bad news about rising global temperatures and their impacts can make it feel like the world is ending. Is it?
C’est une tendance qui ne faiblit pas sur les réseaux sociaux. Face à la crise écologique, des centaines de jeunes témoignent de leur pessimisme quant à notre capacité à redresser la barre : on les appelle les "climate doomers". Résultat d’une éco-anxiété grandissante, ce phénomène participe à freiner l’action climatique.
Avec le réchauffement climatique et l’intensification des activités humaines, les épisodes de prolifération de phytoplancton (les blooms) s’intensifient dans les lacs et les mers. Leurs conséquences sanitaires, économiques et environnementales se font déjà sentir sur l’ensemble du vivant.
Si le record de 2019 n’a pas été battu, ce mois de juin, avec une température moyenne supérieure de 3,3 °C aux normales de saison, se rapproche du plafond de 2003.
Le 30 juin 2025 a été la journée la plus chaude jamais enregistrée pour un mois de juin. En ces premiers jours de juillet, le pays continue de suffoquer. La vague de chaleur s’est avérée intense sur tout le territoire.
Après plusieurs mois de flottements, la Commission européenne a proposé mercredi de maintenir son objectif de réduction de 90% des émissions de gaz à effet de serre en 2040, mais elle introduit des "flexibilités" face aux réticences de certains pays.
Avec une température moyenne de 19,3°C, soit 2,6°C au-dessus des normales, juin 2025 se classe comme le deuxième mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Belgique,
The world has been too optimistic about the risk to humanity and planet – but devastation can still be avoided, says Timothy Lenton
Un pattern mondial et des conséquences locales Une étude publiée le 4 juin 2025 dans Nature Ecology & Evolution, menée par des chercheurs de l’Université d’Umeå en collaboration avec l’Université de Reading, révèle un principe presque universel : Dans chaque région du globe, la biodiversité s’organise autour de "points chauds", des zones minuscules mais vitales, où la majorité des espèces apparaissent et se concentrent, avant de se raréfier en s’éloignant.
Mai 2025, deuxième mois de mai le plus chaud dans le monde, selon l’observatoire européen Copernicus
(11/06) - Le Monde,Afp,Le mois dernier a été marqué par une température moyenne de 15,79 °C, soit 0,12 °C plus frais que le record enregistré il y a un an mais légèrement plus chaud que mai 2020, qui se classe troisième.
Quand on évoque les catastrophes climatiques à venir, on pense souvent à la montée des eaux, aux incendies de forêt ou à l’effondrement de la biodiversité. Mais il existe un danger plus discret, plus insidieux — et peut-être bien plus proche de nous que nous ne l’imaginons : les champignons pathogènes. Une nouvelle étude alerte sur la menace que ces micro-organismes, souvent négligés, pourraient représenter dans un monde de plus en plus chaud et humide.
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