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Venezuela
Depuis l’année dernière, le Venezuela est frappé par une sécheresse redoutable, en grande partie en raison d’un phénomène El Niño plus intense que prévu. La situation dans le pays est difficile, également amplifiée par le déclin des réserves d’eau de l’imposant barrage de Guri, sur la rivière Caroni en raison de l’exploitation des mines de fer. L’objectif du gouvernement Maduro est d’économiser l’eau du barrage servant d’ordinaire à produire pas moins de 75% de l’électricité du pays.
L'armée vénézuélienne s'est déclarée dimanche en "état d'alerte", après que Caracas a dénoncé un complot présumé qui prévoirait une attaque contre le groupe pétrolier américain ExxonMobil au Guyana pour l'attribuer au gouvernement de Nicolas Maduro. Le différend concernant l'Essequibo, territoire de 160.000 km³ qui couvre les deux tiers de la superficie du Guyana, mais revendiqué par le Venezuela, a été ravivé lorsque ExxonMobil a découvert d'immenses réserves de pétrole en 2015.
Caracas a annoncé dimanche soir que les États-Unis ont révoqué les licences "des entreprises transnationales de pétrole et gaz" qui avaient obtenu le droit d'opérer dans le pays malgré les sanctions et l'embargo pétrolier destinés à évincer le président Nicolas Maduro du pouvoir. Loin d'être une surprise, cette mesure de Donald Trump confirme que le nouveau président américain cherche à asphyxier économiquement le Venezuela et faire tomber M. Maduro.
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a traité « d’imbécile », jeudi, le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, après les mises en garde de ce dernier au sujet de l’Essequibo, territoire riche en pétrole que Caracas réclame au Guyana.
Rubio au Guyana pour offrir la protection américaine à ce pays riche en pétrole, voisin du Venezuela
(27/03) - Connaissance des ÉnergiesLe secrétaire d'État américain Marco Rubio est arrivé jeudi au Guyana pour proposer de placer ce petit pays aux importantes réserves pétrolières sous la protection américaine en matière de sécurité alors que le Venezuela voisin revendique une partie de son territoire.
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, en visite jeudi au Guyana pour l'assurer de sa protection, a averti le Venezuela voisin que toute attaque de ce petit pays pétrolier se "terminerait mal".
Bien décidé à étrangler économiquement Caracas, Donald Trump a annoncé lundi que les pays achetant du gaz ou du pétrole vénézuélien seraient frappés à partir du 2 avril de droits de douane de 25% sur toutes leurs marchandises entrant aux États-Unis.Le président américain, qui multiplie les expulsions de migrants venus de ce pays, a justifié la mise en place de ces droits de douane en écrivant sur son réseau Truth Social que Caracas était "très hostile" aux États-Unis.
Pékin a dénoncé mardi les "interférences" de Washington dans les "affaires internes du Venezuela" après l'imposition par Donald Trump de droits de douane supplémentaires aux pays importateurs de gaz ou de pétrole vénézuélien. Cette taxe punitive de 25%, annoncée lundi par le président américain, doit entrer en vigueur le 2 avril prochain, au même moment que d'autres droits de douane infligés tous azimuts aux partenaires commerciaux des États-Unis. La Chine est le plus grand importateur de pétrole vénézuélien, suivie de pays tels que l'Inde, l'Espagne mais aussi les États-Unis.
Le gouvernement du Venezuela a annoncé dimanche une réduction des horaires de travail de la fonction publique à cause d'une situation d'"urgence climatique" qui a réduit drastiquement la production d'hydroélectricité. La mesure devant débuter le lundi 24 mars, reflète celles appliquées en 2016 et 2018 après une réduction du débit du barrage hydroélectrique de Guri, qui génère 80% de l'énergie du pays, en raison de la sécheresse.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a affirmé mardi que son pays était ouvert à tout investissement étranger dans ses réserves de pétrole, après la révocation par les États-Unis de la licence du pétrolier Chevron.« C'est portes ouvertes, tapis rouge et embrassades affectueuses »La décision américaine de mettre fin à la licence de Chevron, qui doit liquider ses opérations dans le pays avant le 3 avril, avait été présentée par le président américain Donald Trump comme une réponse au résultat, jugé illégitime, de l'élection présidentielle de juillet dernier.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a déclaré mercredi que son gouvernement continuerait à "produire" après la révocation par les États-Unis de la licence d'exploitation du groupe américain Chevron dans le pays. Le président américain Donald Trump a annoncé que Chevron devra mettre fin à ses activités d'ici au 3 avril, en raison notamment d'un désaccord avec Caracas concernant l'immigration.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a averti mercredi le Guyana et le groupe pétrolier américain ExxonMobil qu'il prendrait "toutes les mesures nécessaires" pour mettre fin à leur "action illégale" dans l'Essequibo, région riche en pétrole disputée par les deux pays sud-américains. Nicolas Maduro a une nouvelle fois accusé le Guyana de se livrer à une "activité illégale consistant à utiliser une eau territoriale en cours de délimitation internationale pour des activités d'exploitation pétrolière".
La zone maritime au large de la région de l'Essequibo, riche en pétrole et au coeur d'un différend territorial ancien entre le Guyana et le Venezuela, a été le théâtre samedi d'un regain de tensions, les deux pays s'accusant mutuellement d'activités illégales. Le président du Guyana Irfaan Ali a dénoncé l'incursion dans la matinée d'un navire militaire vénézuélien dans les eaux de son pays, après quoi Caracas a insisté sur le caractère de son point de vue "illégal" de l'exploitation de pétrole par le Guyana.
L'armée vénézuélienne a nié ce dimanche l'entrée samedi d'un navire militaire dans les eaux du Guyana, petit État du Nord de l'Amérique du sud, affirmant que son bateau effectuait un simple tour de garde dans les "eaux maritimes de la façade atlantique vénézuélienne".
Le ministre de la communication, Freddy Nanez, évoque un « sabotage contre le système électrique national qui a affecté presque tout le territoire ». Ces dernières années, le pays a déjà connu des pannes de courant importantes, que le gouvernement contesté impute presque toujours à ses opposants.
Feux de circulation éteints, commerces ouverts, mais dans la pénombre, et désinformation... Une coupure généralisée d'électricité frappe vendredi le Venezuela, ravivant les souvenirs du black-out de cinq jours qui avait traumatisé ce pays en 2019.Comme à l'époque, le pouvoir attribue cette coupure à un sabotage. Elle survient un mois après la réélection du président Nicolas Maduro, accusé de fraude par une opposition qui revendique la victoire à l'élection du 28 juillet.
Une pollution pétrolière affecte depuis plusieurs jours la pêche et le tourisme sur la côte nord-ouest du Venezuela, dont les plages sont touchées par des nappes de pétrole, selon les habitants et les écologistes. À Puerto Cabello (État de Carabobo, nord-ouest), près de la raffinerie El Palito, l'une des plus importantes de l'ancienne puissance pétrolière, de grandes tâches sombres salissent le sable et les rochers, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Une fuite de pétrole, dont l’origine n’est pas clairement déterminée, ravage la côte dans le nord-ouest du pays depuis mi-août.
Appelé "Venezuela saoudite" du temps de son économie florissante grâce aux revenus pétroliers aujourd'hui en berne, le Venezuela n'est plus que l'ombre de lui-même avec une industrie en crise et en proie aux sanctions américaines. Mais il dispose toujours des plus grandes réserves mondiales de brut.- L'âge d'or
Le Venezuela se rapproche d'une production d'un million de barils de pétrole brut par jour (bj), niveau inégalé depuis plus de cinq ans en raison des sanctions américaines et de l'effondrement de son appareil d'extraction miné par la corruption et la mauvaise gestion.
Avec la disparition du glacier La Corona, le Venezuela devient le premier pays d'Amérique latine à perdre l'ensemble de ses glaciers. Un symbole, alertent les scientifiques, de la menace qui pèse sur les glaciers tropicaux face au dérèglement climatique.
Pour sauver le dernier de ces cinq glaciers, le pays d’Amérique latine veut user de la géoingénierie. Un exemple typique de maladaptation, estime la glaciologue Heidi Sevestre.
L’Essequibo désigne à la fois le plus long fleuve du Guyana et un vaste territoire qui fait l’objet d’un différend territorial entre le Venezuela et le Guyana. Ce différend est exacerbé depuis 2015 par la découverte d’importantes réserves de pétrole dans cette zone par ExxonMobil.
Les Etats-Unis vont réimposer des sanctions contre le secteur pétrolier du Venezuela car le gouvernement du président Nicolas Maduro a poursuivi la “répression” de ses opposants, ont déclaré mercredi des responsables américains.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé lundi le Guyana et le Venezuela à la "retenue", s'inquiétant d'un risque d'"escalade des tensions" entre les deux pays autour de leur différend sur la région de l'Essequibo riche en pétrole. Les membres du Conseil de sécurité, dont le Guyana fait partie depuis janvier, ont exprimé dans cette déclaration "leur inquiétude concernant la possible escalade des tensions entre le Venezuela et le Guyana".
Une nouvelle concession accordée au géant pétrolier américain ExxonMobil par le Guyana a ravivé la tension avec le Venezuela voisin, qui a rejeté samedi "fermement" le permis, estimant que la zone concernée se situe dans les eaux en dispute avec Georgetown. ExxonMobil a annoncé vendredi dans un communiqué avoir reçu le feu vert du gouvernement guyanien pour développer un nouveau projet d'exploitation dans le bloc Stabroek, une vaste zone offshore où se trouvent d'énormes gisements de pétrole.
Un afflux inhabituel de méduses est en train de modifier le paysage des côtes vénézuéliennes, désertées par les touristes et les proies habituelles des pêcheurs. Certains experts assurent que cette invasion pourrait être la conséquence de l’augmentation des températures marines et de la diminution de la population de leurs prédateurs naturels.
Le Venezuela a remis lundi des documents à la Cour internationale de justice (CIJ), même s'il ne reconnaît pas sa compétence, pour tenter de prouver sa légitimité à réclamer la souveraineté sur l'Essequibo, territoire riche en pétrole sous administration du Guyana voisin."Le Venezuela a présenté aujourd'hui toute la documentation" à la CIJ, a déclaré le président vénézuélien Nicolas Maduro, qui a appelé son homologue guyanais, Irfaan Ali, à reprendre les négociations. "Tôt ou tard, le Guyana devra s'asseoir et négocier avec le Venezuela", a-t-il lancé à la télévision.
Le service de surveillance européen Copernicus fait état d’une augmentation du nombre de feux et de leurs émissions au cours du pic de la saison des incendies pour les régions tropicales d’Amérique du Sud.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a lancé jeudi, en pleine crise sur l'Essequibo, des exercices militaires avec quelque 5.600 soldats à la frontière du Guyana, "en réponse à la provocation" du Royaume-Uni qui a envoyé un navire de guerre dans la région, les autorités guyaniennes niant pour leur part toute velléité "offensive".
La République de Guyana est en passe de devenir le premier producteur mondial de pétrole brut par habitant, Son voisin, le président vénézuélien et autocratique Maduro va-t-il commettre une “pétro-agression” ? Ou va-t-on aboutir à une Pax Petrolica ?
Elke dag lekt cocktail van honderden vaten uitgelekte olie, algen, rioolwater en zoutwater vanuit de nabijgelegen Caraïbische Zee in het Maracaibo-meer in Venezuela. Het duwt het meer, het grootste van Latijns-Amerika, naar de ecologische afgrond.
Le Brésil, qui suit avec "préoccupation" les tensions entre le Venezuela et le Guyana, voisins à sa frontière nord, tente de se poser en médiateur du différend territorial sur la région de l'Essequibo."S'il y a une chose dont nous ne voulons pas, c'est une guerre en Amérique du Sud", a lancé la semaine dernière le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.
Fossiele energiebedrijven sponsoren de klimaatconferentie COP28 in oliestaat Dubai. Ze doen nog meer onbaatzuchtige dingen voor het klimaat, zoals een oorlog uitlokken. Voor de Venezolanen die op 3 december 2023 stemden in een referendum over de betwiste regio Essequibo gaat dit niet om een conflict met buurland Guyana maar over een conflict dat ExxonMobil uitlokt tegen de bevolking van Venezuela én Guyana.
Au sommet du Tepuy Pakaramba flotte le drapeau du Guyana. A son pied, dans le petit village d'Arau, les habitants se disent Guyaniens, malgré les revendications du Venezuela voisin sur ce territoire, l'Essequibo, riche en pétrole."Sur cette montagne, il y a notre drapeau. Chaque matin, nous le regardons et nous nous sentons heureux et fiers", affirme Jacklyn Peters, une infirmière de 39 ans du village de 280 âmes situé à moins de dix kilomètres de la frontière avec le Venezuela.
Le Conseil de sécurité des Nations Unies se réunit vendredi "en urgence" à huis clos pour débattre de la crise entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, une région disputée riche en pétrole, alors que la Russie a appelé à son tour à une solution "pacifique".
Le pétrole nerf de la guerre... La découverte de vastes gisements de pétrole a ravivé le vieux conflit sur l'Essequibo, un territoire de 160.000 km2 administré par le Guyana mais que le Venezuela revendique en soutenant que la véritable frontière est celle datant de l'empire espagnol en 1777.Le différend est porté devant la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute juridiction de l'ONU, que le Venezuela ne reconnaît pas. Le Guyana estime que les frontières ont été actées en 1899, lorsque le Royaume-uni était la puissance coloniale du territoire.
Réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, appel au calme des pays sud-américains... La communauté internationale s'inquiète de la tension grandissante entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, territoire riche en pétrole en dispute entre les deux pays.Sur le terrain, les Etats-Unis ont annoncé réaliser des exercices militaires aériens qualifiés de "provocation" par le Venezuela.
La communauté internationale s'inquiète de la tension croissante entre Venezuela et Guyana sur l'Essequibo, la région riche en pétrole en dispute entre les deux pays qui ont cependant assuré mercredi avoir ouvert des "canaux de communication".Ajoutant à cette tension, un hélicoptère de l'armée guyanienne avec sept personnes à bord qui opérait dans la zone de la frontière a disparu, a annoncé en soirée le Chef d'Etat-Major guyanien, Omar Khan qui, a toutefois ajouté que "nous n'avons aucune information suggérant" une intervention vénézuélienne.
Le Conseil de sécurité de l'ONU se penchera vendredi à huis-clos sur la crise entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, région riche en pétrole de ce petit pays, où les Etats-Unis ont annoncé jeudi dans un contexte de grande tension des exercices militaires aériens.L'ONU répond ainsi à une demande du ministre guyanien des Affaires étrangères Hugh Todd qui a sollicité une réunion d'urgence du Conseil sur cette région sous administration guyanienne mais revendiquée par le Venezuela.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a ordonné mardi au géant public pétrolier PDVSA d'accorder des licences d'exploitation des ressources de la région de l'Essequibo, riche en pétrole et objet d'un litige territorial avec le Guyana voisin.M. Maduro a déclaré lors d'une réunion gouvernementale qu'il allait créer une division régionale de PDVSA, et a donné l'ordre de procéder "immédiatement" à "l'octroi de licences" pour "l'exploitation du pétrole, du gaz et des mines dans toute la région".
La tension monte entre le Guyana et le Venezuela: le président guyanien Irfaan Ali a estimé mardi soir que des déclarations du président vénézuélien Nicolas Maduro étaient "une menace directe" alors que celui-ci a ordonné l'octroi de licences pétrolières dans l'Essequibo, région sous administration guyanienne et riche en pétrole.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a ordonné mardi la délivrance de licences d’exploitation des ressources de la région de l’Essequibo, riche en pétrole et disputée avec le Guyana voisin, qui a dit considérer ces déclarations comme "une menace directe".
Les Vénézuéliens étaient invités dimanche à se prononcer sur la création d'un nouvel État vénézuélien sur le territoire de l’Essequibo, riche en pétrole et sous administration du Guyana. Ils ont voté "oui" à 95 % lors de ce référendum consultatif, qui n'aura pas de conséquences concrètes à court terme.
Le président brésilien Lula a déclaré dimanche qu'il espérait que "le bon sens" allait prévaloir entre le Venezuela et le Guyana, le jour où Caracas organise un référendum pour renforcer ses prétentions sur une région riche en pétrole sous administration de Georgetown."J'espère que le bon sens va prévaloir, du côté du Venezuela et du Guyana", deux pays situés à la frontière nord du Brésil, a déclaré Luiz Inacio Lula da Silva depuis Dubaï, en marge de la conférence de l'ONU sur le climat COP28.
La République bolivarienne organise dimanche un référendum pour légitimer ses prétentions sur l’Esequibo, une région du pays voisin aux énormes réserves pétrolières. Mais Caracas dément l’accusation de future annexion militaire
La plus haute juridiction de l'ONU a ordonné vendredi au Venezuela de s'abstenir de toute action qui modifierait le statu quo dans l'Essequibo, à la veille de la tenue d'un référendum sur la région du Guyana très riche en pétrole que Georgetown craint de voir annexée par son voisin.La Cour internationale de justice (CIJ), qui siège à La Haye, a enjoint à Caracas de "s'abstenir d'entreprendre toute action qui modifierait la situation prévalant dans le territoire en litige", sans mentionner dans la mesure urgente prononcée la consultation vénézuélienne imminente.
Le Venezuela a confirmé vendredi qu'il oprganisera bien un référendum dimanche sur l'Essequibo, une région riche en pétrole sous administration du Guyana, malgré les injonctions de la plus haute juridiction de l'ONU de s'abstenir de toute modification du statut quo sur cette zone en dispute.La Cour internationale de justice (CIJ), qui siège à La Haye, a enjoint à Caracas de "s'abstenir d'entreprendre toute action qui modifierait la situation prévalant dans le territoire en litige", sans mentionner toutefois dans sa mesure urgente le référendum.
Le Guyana a annoncé jeudi une découverte "significative" de pétrole dans ses eaux territoriales revendiquées par le Venezuela voisin, et autorisé huit compagnies pétrolières à procéder à des forages.Selon le ministère des Ressources naturelles du Guyana, ExxonMobil a découvert un important réservoir d'hydrocarbures dans la région de l'Essequibo, d'une superficie de 160.000 kilomètres carrés, administrée par le Guyana, et dont le Venezuela revendique l'autorité dans un litige territorial datant du XIXe siècle.
Le Président du Venezuela, Nicolas Maduro, a accusé mardi son homologue de Guyana, Irfaan Ali, de transformer son pays en "succursale" de la compagnie américaine ExxonMobil, dans le cadre de tensions autour de sites pétroliers offshore."Président Irfaan Ali, assez de mensonges", a déclaré M. Maduro sur le réseau social X, anciennement Twitter.
Le champ gazier Dragon, dont le gisement contient 120 millions de mètres cubes, est situé dans les eaux vénézuéliennes au nord-est du Venezuela, près de la frontière maritime avec Trinité-et-Tobago, mais près de gisements trinidadiens exploités par Shell.
Le Venezuela va mettre en oeuvre un plan de décontamination du lac Maracaibo, le plus grand du pays, affecté par d'incessantes marées noires et par une bactérie qui produit des algues toxiques, a promis lundi le président Nicolas Maduro. D'une superficie de 13.200 km2 et relié par un détroit à la mer des Caraïbes, le lac Maracaibo (nord-ouest) regorgeant de pétrole, est affecté depuis des années par des déversements de brut, selon les plaintes d'écologistes et d'habitants voisins du vaste plan d'eau, qui considèrent sa dépollution comme une "urgence".
Tous les matins à 05H00 à la radio c'est Bingo pour les habitants de l'Etat vénézuélien de Merida. Le 5, puis le 6 sortent: ce jour-là, seules les voitures dont l'immatriculation se termine par un de ces deux chiffres a le droit de faire le plein dans la station-service associée.Le Venezuela, pourtant producteur de pétrole, fait à nouveau face - surtout en province - à une pénurie d'essence en raison de problèmes de raffinage et de distribution.
Les Etats-Unis ont renouvelé mardi pour six mois la licence accordée à quatre compagnies pétrolières américaines pour poursuivre leurs opérations au Venezuela, l'embargo imposé en 2019 sur le brut vénézuélien restant toujours en vigueur.
Plusieurs plages de l'État vénézuélien d'Anzoategui (nord-est) sont désormais fermées en raisons d'une marée noire qui recouvre des kilomètres de côtes, ont annoncé les autorités locales mardi. "Nous confirmons la malheureuse nouvelle selon laquelle nos côtes sont touchées par une marée noire", a déclaré le maire de Lecheria, Manuel Ferreira Gonzalez, sur les réseaux sociaux, sans préciser l'ampleur de la marée. Les taches de pétrole, qui ont commencé à être observées lundi, ont provoqué la mort d'espèces marines.
Le gouvernement américain a applaudi samedi l'accord signé entre le gouvernement et l'opposition vénézuélienne, y voyant "une étape importante dans la bonne direction", et autorisé dans la foulée le géant pétrolier Chevron à reprendre partiellement ses activités d'extraction dans le pays. Les représentants de Caracas et l'opposition politique vénézuélienne avaient repris les discussions jeudi à Mexico. Ils sont parvenus samedi à un accord d'étape "en matière de protection sociale" qui permettra notamment de libérer les ressources vénézuéliennes bloquées à l'étranger afin de financer des projets sociaux.
Le Venezuela a engrangé environ 3,5 milliards de dollars de recettes pétrolières en 2022, a annoncé mercredi le président Nicolas Maduro, soulignant que ce chiffre ne représentait même pas 10% des 56 milliards de dollars de recettes perçues il y a encore cinq ans. "Cette année, nous obtenons à peine environ 3,5 milliards de dollars de revenus pétroliers, soit moins de 10% de ce qu'était le revenu pétrolier normal du pays", a déclaré le président lors d'une cérémonie avec des travailleurs du secteur pétrolier dans l'Etat de Zulia (nord-ouest), berceau de l'exploitation pétrolière vénézuélienne.
Alors que des fortes pluies s'abattent depuis plusieurs semaines au Venezuela, un glissement de terrain a fait au moins 25 morts et une cinquantaine de disparus à Las Tejerias, au sud-ouest de Caracas, a-t-on appris dimanche. La ville offre un spectacle apocalyptique.
Le bilan des pluies torrentielles qui s'abattent sur le Venezuela depuis deux semaines s'est alourdi après la découverte d'une nouvelle victime mercredi 28 septembre 2022. Au moins dix personnes sont mortes et trois sont toujours portées disparues.
Le Venezuela "est prêt" à "approvisionner le marché" mondial du pétrole et du gaz, a affirmé mercredi le président Nicolas Maduro qui a dénoncé la crise énergétique engendrée par les sanctions "irrationnelles" prises contre la Russie après son invasion de l'Ukraine. "Le Venezuela est prêt et disposé à remplir son rôle et à approvisionner, de manière stable et sûre, le marché du pétrole et du gaz dont l'économie mondiale a besoin", a déclaré le chef de l'Etat lors d'un événement organisé dans le cadre de la visite à Caracas du secrétaire général de l'OPEP, Haitham al-Ghais.
La France a d'ores et déjà plaidé lundi, en marge du sommet du G7 en Allemagne, pour une "diversification des approvisionnements" vers l'Iran et le Venezuela afin de freiner l'envolée des prix à la pompe provoquée par la guerre en Ukraine.
Au moins 233 personnes sont mortes entre 2019 et 2021 dans les hôpitaux du Venezuela en raison des coupures de courant, révèle mercredi l'Enquête nationale sur les hôpitaux (EHN), validée par l'Académie nationale de médecine. "En 2019, le nombre total de décès attribuables aux pannes d'électricité au Venezuela était de 17 personnes. Pour 2020, il était de 75 et à la fin de 2021 il était de 141", soit un total de 233 décès sur la période, selon l'étude.
C'est par "nécessité" qu'Henry Alviarez s'est décidé à descendre dans les mines à charbon de Lobatera, rare solution pour survivre dans cette ville des Andes vénézuéliennes frappée par la crise. Lobatera, dans l'Etat de Tachira, à la frontière avec la Colombie, compte une cinquantaine de mines artisanales, exploitées par 22 coopératives comptant entre huit et dix travailleurs.
Remplacer le pétrole russe par du pétrole vénézuélien est une des hypothèses de travail après l'embargo américain sur les hydrocarbures russes dû à l'invasion de l'Ukraine. Mais la plupart des experts estiment que c'est irréalisable à court terme, en raison du délabrement de l'industrie vénézuélienne.
Pays producteur durement frappé par la chute des prix du pétrole, le Venezuela a vu son économie se dégrader progressivement au cours des dix dernières années, les sanctions économiques internationales aggravant la crise. Et alors que le projet de "socialisme du XXIe siècle" du défunt président Hugo Chavez, au pouvoir de 1999 à 2013, promettait de supprimer les inégalités, les plus vulnérables semblent plus précaires que jamais. Certains indicateurs économiques s'améliorent cependant depuis peu. Pour faire un état des lieux, nos reporters se sont rendus à Caracas, une capitale peu ouverte aux caméras.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) a débuté ses travaux dimanche à Doha avant un sommet mardi avec ses dirigeants pour examiner les moyens d'accroitre leur production, en pleine crise entre la Russie et l'Ukraine. Les Occidentaux redoutent une attaque d'ampleur de Moscou contre l'Ukraine, une situation qui suscite des craintes pour leur approvisionnement en gaz russe et a contribué à l'envolée les prix du gaz. Le FPEG réunit ses 11 pays membres -Qatar, Russie, Iran, Algérie, Bolivie, Egypte, Guinée équatoriale, Libye, Nigeria, Trinité-et-Tobago et Venezuela- représentant plus de 70% des réserves de gaz mondiales.
Tuyauterie et armatures rongées par la rouille, pièces détachées qui trainent au sol, fuites... Dans l'ancien champ pétrolier du lac de Maracaibo (ouest) des escaliers ne mènent nulle part, métaphore de l'industrie pétrolière du Venezuela jadis florissante et aujourd'hui en plein marasme.
Le Venezuela, jadis florissant pays pétrolier dont la production a chuté spectaculairement ces dix dernières années, est près de la barre du million de barils par jour, a assuré samedi le président vénézuélien Nicolas Maduro, qui veut atteindre les "2 millions" en 2022.
Le pétrole fournit 31% de notre consommation d’énergie, dont 90-95% de l’énergie des transports (voiture, camion, avion, bateau), la majorité de la pétrochimie (intrants agricoles, médicaments, plastiques…) loin devant le gaz. Au-delà des chiffres, qui ne rendent que partiellement compte de la réalité, le pétrole est le système sanguin de nos existences. Et par renforcement synergique des énergies, plus de pétrole = plus de consommation de charbon, de gaz, de nucléaire et d’énergies renouvelables (et moins de pétrole = moins de renouvelables ? hypothèse à suivre).
L'Équateur est le 5e producteur de pétrole(1) d'Amérique du Sud après le Brésil, la Colombie, l'Argentine et le Venezuela (mais il dispose des 3e réserves du sous-continent derrière le Venezuela et le Brésil). Ce pays de près de 17 millions d'habitants a quitté l'OPEP en janvier 2020.
Dix-sept personnes sont par ailleurs portées disparues dans le pays. Il devrait continuer de pleuvoir « pendant les dix prochains jours », prévient le gouvernement.
Le lac de Maracaibo (nord-ouest), berceau de l'industrie pétrolière vénézuélienne, connaît le paradoxe de vivre sans carburant: les pêcheurs sont condamnés à la voile et des chauffeurs de bus pédalent désormais sur des vélo-taxis.
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