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Les températures de la Planète augmenteront pendant les prochaines décennies. Les catastrophes climatiques s’aggraveront au cours de cette période. A 2°C, il y aura beaucoup plus d’inondations et des vagues de chaleur plus fortes. Nous les subirons de plein fouet, probablement au cours des vingt prochaines années (James E.Hansen).
L’Europe, qui se réchauffe plus vite que le reste du monde, a connu son mois de mars le plus chaud jamais enregistré, s’accompagnant de précipitations extrêmes dans certaines régions tandis que d’autres se trouvaient dans la sécheresse.
Habituellement stable, le vortex polaire, ce système de vents froids qui entoure le pôle Nord, a récemment dévié de sa trajectoire. Cette déviation, observée début mars, pourrait avoir un impact sur les températures européennes, entraînant des conditions hivernales imprévues. Le 9 mars dernier, quelque chose d’inhabituel s’est en effet produit. Plutôt que de suivre son trajet habituel vers le printemps, le vortex a dévié de sa trajectoire et ses vents violents ont changé de direction, soufflant de l’ouest vers l’est, bien plus tôt que d’habitude. Ce type d’inversion de direction se produit chaque année, mais il a lieu normalement autour de la mi-avril, ce qui fait de cette inversion un événement particulièrement précoce.
Les températures ont encore atteint des records ce mois de mars 2025, le plus chaud d’Europe depuis l’ère préindustrielle, rapporte l’observatoire européen Copernicus ce mardi 8 avril. En Arctique, la glace de mer hivernale est à son niveau le plus bas jamais enregistré.En Europe, le mois de mars 2025 a été le plus chaud jamais enregistré depuis l’ère préindustrielle. Selon un rapport de l’observatoire européen Copernicus publié ce mardi 8 avril, les températures ont été majoritairement supérieures à la moyenne sur l’ensemble du Vieux Continent, les anomalies chaudes les plus importantes ayant été relevées en Europe de l’Est et dans le sud-ouest de la Russie.
Les températures mondiales se sont maintenues à des niveaux historiquement élevés en mars, poursuivant une série de près de deux ans de chaleur extraordinaire sur la planète, dans la fourchette haute des prévisions scientifiques sur le réchauffement climatique.
Dans un contexte de net recul des questions climatiques à l'agenda international, les atermoiements de Bruxelles interpellent: l'UE tarde à lancer la négociation sur son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2040. Depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis, les dirigeants européens sont, de fait, monopolisés par les questions de défense et de compétitivité.
La Commission européenne a reporté la présentation de son objectif climatique pour 2040 initialement attendue au premier trimestre, a confirmé lundi une porte-parole. Cette révision de la législation vise à fixer un cap intermédiaire entre les objectifs de réduction des émissions à l’horizon 2030 et la neutralité carbone en 2050, un engagement clé de l’UE. Pour 2030, l’objectif est de réduire les émissions de 55% par rapport aux niveaux de 1990.
La Commission a reporté le lancement de son plan permettant une baisse de 90 % des émissions d’ici 2040. Un retard dû aux réticences de certains Etats membres.
Derrière l'omnibus et le mouvement de simplification du Green Deal, c'est l'action coordonnée des lobbys européens contre la régulation qui opère.
L’ensemble des 54 pays du continent africain émet moins de 4 % des émissions mondiales, moins que la Chine, les Etats-Unis ou l’Inde.
Après les coups de boutoir de la crise sanitaire, l'assaut de Donald Trump sur la science a écrasé le curseur, en particulier sur le changement climatique. Également en retrait sur ces questions, l'Europe tient, désormais seule, la lanterne du climat.
L’administration américaine envisage de fermer à Hawaï l’observatoire de Mauna Loa, berceau de la surveillance du climat où sont mesurées depuis 1958 les concentrations de CO2 dans l’atmosphère. Les scientifiques dénoncent le sabotage de l’indice historique du changement climatique.
Le royaume a deux mois supplémentaires pour faire ses devoirs, prévient l'exécutif européen dans un communiqué.
La Commission européenne a rappelé la Belgique à l’ordre mercredi pour ne pas avoir rendu la version définitive de son Plan national Energie-Climat (PNEC). Les plans nationaux définitifs devaient initialement être remis le 30 juin 2024. Ils décrivent la manière dont les Etats membres comptent contribuer aux objectifs climatiques et énergétiques fixés pour 2030. A cette échéance, l’Union européenne s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% par rapport aux niveaux de 1990. Pour y parvenir, la Belgique doit réduire de 47% les émissions dans des domaines comme les transports, les bâtiments et l’agriculture.
Face au « réarmement » et à une politique industrielle faite d’aides publiques et de dérégulations, les politiques climatiques et environnementales risquent d’être sacrifiées. On a déjà sabré dans l’aide au développement. Un pari risqué.
Face au « réarmement » et à une politique industrielle faite d’aides publiques et de dérégulations, les politiques climatiques et environnementales risquent d’être sacrifiées. On a déjà sabré dans l’aide au développement. Un pari risqué.
La Commission européenne veut alléger la « charge réglementaire » des entreprises avec une réforme de grande ampleur. Mais la loi qu’elle va présenter marque surtout le recul de ses ambitions sur le climat et les droits humains.
L'invasion russe de l'Ukraine, débutée il y a trois ans, a fait des milliers de victimes et a saccagé le pays. Au total, 230 millions de tonnes équivalent CO2 ont été émis, révèle une étude.
Où en est l’effort environnemental des États européens ? Les 27 États membres de l’UE se sont fixés des engagements pour réagir au changement climatique et à ses conséquences, aux problèmes de qualité de l’air qui provoquent des décès précoces, à la chute de la biodiversité.
Une étude a estimé le nombre de décès qui pourraient survenir en Europe d'ici 2099 si rien n'est fait pour réduire les émissions de carbone.