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Dans une tribune au « Monde », la géographe Magali Reghezza-Zitt alerte quant aux risques majeurs que l’inaction climatique engendre : chaque dixième de degré supplémentaire augmente de façon exponentielle les extrêmes hydroclimatiques.
À cause du réchauffement climatique, certaines régions seront devenues totalement hostiles pour l'être humain d'ici 2050. Découvrez la liste établie par la NASA.
Suite au réchauffement climatique, de nombreuses zones de notre planète pourraient devenir inhabitables d’ici 30 à 50 ans.
À cause du changement climatique, des zones inondables deviendront inhabitables. Les leviers dont dispose l’État pour déplacer des habitants lui demanderont de jongler avec responsabilité entre pédagogie et budget.
Virginie Duvat-Magnan, professeure de géographie à Rochelle Université et chercheuse au LIENSs, a mené une étude de terrain sur les Antilles et participé à la rédaction du dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Elle dirige actuellement une étude de terrain avec une équipe aux Antilles, et ses résultats ont dévoilé un constat alarmant à propos de ces îles : Des zones pourraient devenir inhabitables d’ici 2040, en raison de la montée des eaux.
Pour Fabio D’Andrea, chercheur au CNRS, les deux pays sont de plus en plus confrontés à des canicules pendant lesquelles les températures atteignent des niveaux qui, il y a quinze ans, étaient très rares sur Terre.
Iran, Égypte, Yémen, Arabie Saoudite... d'ici 2050 ces zones pourraient devenir invivables pour les êtres humains selon des chercheurs de la NASA. Ils ont pris en compte à la fois l'indice de température de l'air mais aussi l'indice de température du "thermomètre mouillé". Ce dernier est particulièrement important car largement sous-estimé. S'il est trop élevé, l'humidité empêche la transpiration nécessaire pour se refroidir. À plus de 35°C, cela pourrait être fatal.
Le Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) estime qu'avec une augmentation de la température globale du globe de 1,5 °C d'ici la fin du siècle par rapport au niveau préindustriel, la fréquence des épisodes de chaleur extrême sera multipliée par quatre ! Aux États-Unis, la chaleur est déjà le phénomène météo qui tue le plus depuis une trentaine d'années : de 1991 à 2020, la chaleur a causé la mort directe de 143 personnes par an en moyenne, suivie par les inondations, puis les tornades, les ouragans, la foudre, et enfin le froid et la neige. Dans ce pays, les épisodes de chaleur extrême ont d'ailleurs plus que doublé au cours des 40 dernières années.
Le rapport du GIEC, qui fait beaucoup parlé de lui, expose deux régions du monde qui sont devenues trop chaudes pour être habitables.
Dans son rapport soumis à 195 pays, le GIEC - Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat - explique que désormais, deux régions du globe sont trop chaudes et donc inhabitables.
Une vie sous plus de 35 degrés au thermomètre, avec 90% d'humidité dans l'air : une vie où chaque geste compte, et où travailler comme faire du sport n'est plus possible. Deux régions du globe ont déjà atteint ce seuil, invivable pour les humains : Jakobabad au Pakistan, et Ras Al Khaimah, dans le golfe Persique.
Le changement climatique provoque des phénomènes extrêmes qui, selon certains scientifiques, pourraient rendre la vie impossible dans de nombreuses grandes villes du monde.
Certaines régions du globe vont devenir de telles fournaises qu’elles seront invivables et inhabitables d’ici à 2070. C’est l’une des plus redoutables conséquences du réchauffement climatique, préviennent les scientifiques du prestigieux Institut de technologie du Massachusetts (MIT) aux États-Unis.
Le réchauffement climatique n'est pas une légende. Année après année, il s'aggrave. Et les conséquences seront très bientôt irréversibles. D'après une étude du MIT, de nombreux pays ne seront plus habitables en 2070.