Jean-Baptiste Fressoz

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Pollutions

2025

La pollution pourrait être due à l’épandage de boues papetières sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d’eau potable, selon la préfecture de la Meuse.
Quand on cherche à limiter notre exposition au plastique, on se tourne souvent vers les bouteilles en verre, perçues comme plus « pures » et plus respectueuses de l’environnement. Pourtant, une étude récente menée par le Laboratoire de sécurité des aliments de l’Anses, à Boulogne-sur-Mer, remet cette idée reçue en question. Selon leurs résultats, certaines boissons vendues dans des bouteilles en verre seraient plus contaminées par des microplastiques que leurs équivalents en plastique ou en canette. Une découverte étonnante qui soulève de nouvelles questions sur l’origine de ces particules et la façon dont elles se retrouvent dans nos verres.
Pendant des années, on s’est demandé si bannir ou taxer les sacs en plastique faisait réellement une différence. Était-ce une mesure symbolique, un geste de bonne conscience… ou une véritable solution à la pollution des océans ? Aujourd’hui, une étude majeure apporte une réponse claire : oui, ces politiques fonctionnent — et leur effet est mesurable sur le terrain.
Les modèles climatiques utilisés par le GIEC, même les plus avancés tels CMIP6, intègrent les puits de carbone, mais le font de manière très incomplète et largement idéalisée. Ces modèles incluent des composantes biogéochimiques du sol et océaniques qui simulent le cycle du carbone dans les océans à travers des processus tels que la photosynthèse du phytoplancton, la respiration, la reminéralisation, la sédimentation, et la circulation océanique profonde. Cependant, ils s’appuient le plus souvent sur des paramètres calibrés à partir de moyennes historiques, en supposant une stabilité fonctionnelle du plancton océanique et de ses capacités de fixation du carbone. Ce qui est malheureusement faux.
Des chercheurs espagnols ont mis en évidence la présence de ces particules chimiques dans les fluides reproducteurs humains. Potentiellement nocives pour la fertilité, on les trouve dans les follicules de 69 % des femmes et le sperme de 55 % des hommes.
Face à la pollution écologique, sonore et visuelle engendrée par les bateaux de croisière, une station balnéaire de la Côte d'Azur a décidé de leur imposer une réglementation ferme.
Chaque minute, dans le monde, plus de 300 000 couches jetables sont utilisées, puis jetées, souvent en décharge. Ces déchets s’accumulent, car les couches traditionnelles mettent environ 500 ans à se décomposer naturellement. Face à cette montagne de plastique, une start-up texane propose une solution totalement innovante, inspirée de la nature : des couches jetables biodégradables activées par un champignon capable de « manger » le plastique. Une avancée qui pourrait transformer notre façon de consommer ces produits et changer la donne écologique.
Les modèles climatiques utilisés par le GIEC, même les plus avancés tels CMIP6, intègrent les puits de carbone, mais le font de manière très incomplète et largement idéalisée. Ces modèles incluent des composantes biogéochimiques du sol et océaniques qui simulent le cycle du carbone dans les océans à travers des processus tels que la photosynthèse du phytoplancton, la respiration, la reminéralisation, la sédimentation, et la circulation océanique profonde.
Les institutions européennes doivent mettre fin à cette politique du deux poids deux mesures aux conséquences dramatiques pour les individus et les communautés des pays en voie de développement, dénoncent Marcos A. Orellana et Olivier De Schutter, rapporteurs spéciaux des Nations unies, dans une tribune au « Monde ».
Malgré des risques connus, des travaux, entamés à l’automne 2024, avaient entraîné des symptômes parmi des élèves et des riverains du chantier faute de mesures adaptées. Face à l’inquiétude de la population, le site sera finalement dépollué selon un protocole industriel plus strict.


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