Jean-Baptiste Fressoz

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2025

Des centaines de Gazaouis ont été tués sur des sites de distribution alimentaire gérés par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une entité privée financée par les États-Unis et Israël, et accusée par plusieurs ONG de ne pas avoir l’expertise nécessaire pour distribuer l’aide dans le respect du droit international. Une enquête de France 24 révèle que ce dispositif controversé est géré par des anciens militaires, des ex-officiers du renseignement et des chrétiens évangéliques.
La suspension d’employés de l’Agence de protection de l’environnement survient après la publication d’une lettre ouverte dénonçant la politisation croissante de cette institution et évoquant une mise en danger de la population.
L’organisation a commencé à fournir de l’aide humanitaire le 26 mai, après un blocus de plus de deux mois imposé par Israël. Mais les distributions ont rapidement donné lieu à des scènes de chaos causées par des tirs meurtriers de la part de l’armée israélienne.
Le secrétaire d’Etat américain à la santé vient de bouleverser totalement le comité national d’experts sur la vaccination, en y nommant des personnalités sans compétences en la matière et, pour certaines, antivax. Dans une tribune au « Monde », un collectif d’experts français s’inquiète des répercussions de cette décision.
Alors que les voitures électriques patinent déjà, les camionnettes électriques se vendent aussi très mal, a alerté mercredi le patron européen du groupe Stellantis en appelant l'Europe à assouplir ses objectifs de verdissement. "Nous sommes à quelques mois d'un drame", a prévenu Jean-Philippe Imparato, agitant le spectre de fermetures de sites lors d'une visite de l'usine de son groupe à Hordain (Nord). Stellantis dit risquer 2,6 milliards d'euros d'amende sur trois ans, d'ici fin 2027, si le marché reste à son niveau actuel de 9% d'utilitaires électriques. L'objectif fixé par l'Europe est d'environ 24% en 2027, selon Stellantis.
Un discret accord franco-arménien fait aujourd’hui l’objet d’une vive controverse internationale. Au cœur de l’affaire : des cargaisons de déchets radioactifs français, prétendument transférés en secret vers une région écologiquement sensible d’Arménie. Un scandale qui mêle géopolitique, nucléaire et accusations de « colonialisme vert », et qui pourrait bien avoir des conséquences dramatiques pour toute une région.
Le vote d’un moratoire sur les énergies renouvelables en pleine canicule tout comme les discussions sur la proposition de loi Duplomb témoignent de l’aveuglement d’une majorité de députés sur les risques environnementaux et sanitaires qui pèsent sur le pays, relève, dans sa chronique, Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Le texte complet de la décision de la Commission européenne, qui a donné son feu vert à cet accord le 21 février, est désormais public, et donne des chiffres à ce sujet, selon le journal. L'accord comporte notamment un volet, le MOCP (minimum opex and capital payment") qui sera déclenché si les réacteurs sont indisponibles pendant une "période significative" et ce, pour garantir la stabilité financière de Be-Nuc, la société commune à l'État belge et à Electrabel, propriétaire de 89,91% des deux réacteurs prolongés.
L’univers des technologies de pointe est en pleine ébullition. La Chine vient d’annoncer une avancée majeure : la production de masse des premières puces électroniques non binaires hybrides au monde. Derrière ce terme mystérieux se cache une innovation capable de transformer de nombreux secteurs, de l’aviation à la fabrication, en passant par l’intelligence artificielle.
Jamais les institutions chargées de défendre l’environnement, la santé publique et les travailleurs n’ont subi autant d’attaques, financières, législatives et symboliques, de la part de la classe politique française. Alors que les crises écologiques dépassent des seuils critiques reconnus par un consensus scientifique incontestable, et que les enjeux sanitaires ne cessent de s’aggraver, la crise du monde agricole a été l’occasion pour le gouvernement et les organisations patronales de resservir un discours anticontrôles et antinormes. Contentant ainsi le lobby de l’agro-industrie, une circulaire, datée du 4 novembre 2024, instaure pour les administrations de l’Etat un « contrôle annuel unique » dans le secteur agricole.


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