« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Des scientifiques tirent la sonnette d'alarme alors que les effondrements de bâtiments d'Alexandrie se multiplient à un rythme inquiétant.
Les alliés européens se sont réunis dimanche au Royaume-Uni afin de montrer leur soutien à Kiev et d'afficher leur engagement à se réarmer face à la Russie. Paris et Londres ont proposé une trêve partielle d'un mois en Ukraine.
Si Pékin est officiellement resté silencieux, samedi 1er mars, la presse liée au régime s’est gargarisée de la position inconfortable des alliés de Washington, coupable de s’en être remis à la première puissance mondiale pour leur sécurité.
Quatre mois après la brutale clôture de la COP16 en Colombie, au cours de laquelle aucun accord financier n’avait été trouvé, les négociations ont débouché sur un compromis lors d'une seconde session à Rome.
Il est facile de considérer l’élévation du niveau de la mer comme un problème simple : la fonte des glaciers et des calottes polaires ajoute de l’eau aux océans, tandis que les températures plus élevées provoquent la dilatation de l’eau. Mais aussi simple que cela puisse paraître, il existe une complexité cachée qui rend la réalité de cette élévation bien pire que prévu, en particulier en Méditerranée.
Du plomb, du mercure, de l’arsenic, des pesticides comme du glyphosate, des bisphénols ou des polluants éternels...
Alors que le gouvernement Trump enchaîne les fermetures de sites web fédéraux, de nombreuses organisations non partisanes s’efforcent d’archiver les données scientifiques, concernant notamment la santé et le climat, avant qu’elles ne disparaissent pour toujours. Une tâche ardue, constate “MIT Technology Review”.
Dans une tribune au « Monde », la consultante en santé publique Claire Chaumont analyse les répercussions sur la gouvernance de l’OMS et sur la santé des populations qu’aurait la décision « catastrophique » de Donald Trump.
Une étude inédite de l’Alliance brésilienne pour la culture océanique a constaté que, entre 1991 et 2023, le nombre annuel moyen de catastrophes naturelles liées au climat s’était accru de 460 % dans le pays. Chaque augmentation de 0,1 °C de la température moyenne de l’air dans le monde a entraîné 360 événements supplémentaires au Brésil.
Un nouvel article du grand climatologue James Hansen affirme que le réchauffement a accéléré il y a quelques années. La réduction des aérosols liés au fuel des navires en serait la cause. La fonte du Groenland dépasse les prévisions et mènera à un arrêt de la circulation océanique dans 20 -30 ans, ce qui provoquera plus tard une importante montée du niveau de la mer. Il suggère des prévisions climatiques complémentaires à celles du GIEC, qui s’appuieraient plus sur les observations de la réalité.