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2025
Des taux de « polluants éternels » supérieurs à la limite légale, de 100 nanogrammes par litre, ont été relevés. La durée de cette interdiction, qui concerne 2 800 habitants, n’a pas été précisée.
La pollution pourrait être due à l’épandage de boues papetières sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d’eau potable, selon la préfecture de la Meuse.
Selon France 3 et le média Disclose, seize communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes sont concernés, après qu’elles ont présenté des taux de PFAS dépassant de 3 à 27 fois la limite autorisée. Le maximum a été prélevé à Villy, avec 2 729 ng /l. Un record en France.
Plus d’une zone de distribution sur quatre en Wallonie et à Bruxelles ne répond pas aux limites de qualités fixées en France et au Danemark. C’est ce qui ressort d’une enquête des cellules #Investigation et Décrypte de la RTBF qui ont parcouru l’ensemble des analyses réalisées par les distributeurs d’eau en 2024. En cause, des résidus de pesticides.
Peut-on encore faire confiance à l’eau que l’on boit ? Que retrouve-t-on réellement dans notre eau du robinet ? Les questions ont fusé après la diffusion de l’enquête sur les PFAS en novembre 2023. À l’époque, #Investigation révélait une forte pollution de l’eau de distribution à Chièvres, dans le Hainaut. L’équipe d'#investigation a relancé cette enquête pour trouver des réponses à ces questions. Elle a fait analyser en laboratoire plusieurs types d’eaux : eau du robinet, filtrée ou non et 6 eaux en bouteille très consommées en Belgique.
Tirée d’un puits dans la vallée de Lunain, captée dans la Voulzie, charriée dans les égouts… Au fil de l’eau, «Libé» remonte les canalisations pour comprendre l’origine, le traitement et la distribution de la précieuse ressource dans la capitale.
Changement climatique, pressions démographiques, inquiétudes sur la qualité de l’eau du robinet… Face à ces défis, comment garantir l’approvisionnement en eau et préserver les ressources ? Parmi les solutions : la réutilisation des eaux usées traitées (Reut).
L'association UFC-Que Choisir a souligné la présence d'un polluant éternel dans l'eau du robinet de nombreuses communes françaises.
Mauvaise nouvelle : selon UFC-Que choisir, l’acide trifluoroacétique (TFA), a été retrouvée dans 24 communes sur 30, et elle est quasiment indestructible. Bonne nouvelle : elle serait moins dangereuse que d’autres polluants de son espèce.
L’eau du robinet est largement contaminée par les PFAS, selon une enquête menée dans 30 communes par UFC-Que choisir et Générations futures. La réglementation française est loin des standards adoptés dans d’autres pays.
Dans la Sarthe, la pollution de l’eau potable au chlorure de vinyle monomère, un « cancérigène certain », persiste bien qu'elle soit connue depuis plus de dix ans. Un collectif citoyen se démène pour faire agir l'État.
2024
Dans une enquête publiée récemment, la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD) révèle qu’en France, 9,6 millions de personnes sont exposées – via l’eau du robinet - au tritium, le principal produit radioactif rejeté dans l’environnement par l’industrie nucléaire. Cela présente-t-il un risque ?
C’est polymère à boire. Certaines eaux minérales européennes sont contaminées au TFA, un polluant persistant de la famille des PFAS. C’est ce que montre un rapport détaillé du réseau d’action contre les pesticides (PAN Europe) sorti mardi 3 novembre. Auparavant, plusieurs enquêtes médiatiques avaient révélé la pollution de l’eau du robinet. Alors, laquelle choisir pour préserver sa santé ? Vert fait le point.
Des analyses effectuées par l'intercommunale bruxelloise Vivaqua font état de nombreuses traces d'acide trifluoroacétique (TFA) dans l'eau potable de Bruxelles, comme l'ont indiqué la RTBF et Bruzz.
Alors que l'eau du robinet contient en partie des polluants éternels, l'eau en bouteille ne serait pas une alternative parfaite.
Une enquête de France Bleu révèle ce jeudi 19 septembre que trois communes françaises présentent un taux de PFAS dans l’eau du robinet au-dessus des normes recommandées.
Ce sont 13 % des habitants des communes de la Séauve-sur-Semène et de Saint-Didier-en-Velay qui ont déclaré « des symptômes caractéristiques de gastro-entérite ». L’agence régionale de santé poursuit ses analyses afin d’identifier les germes à l’origine de l’épidémie.
Une décision inédite du tribunal administratif de Poitiers réduit grandement le volume d’eau pompable pour remplir les mégabassines du Marais poitevin. Un camouflet pour les administrations locales, bien plus généreuses. La Rochelle, correspondance Le tribunal administratif de Poitiers vient de mettre les mégabassines du Poitou au régime sec. Mardi 9 juillet, les juges ont annulé l’autorisation unique pluriannuelle de prélèvement (AUPP), délivrée fin 2021 par les préfets. Résultat : les volumes (...)
Le quotidien australien “The Sydney Morning Herald” révèle que l’eau potable du robinet d’un grand nombre d’endroits contient une quantité importante de polluants éternels.
Outre les coupures d’électricité, récurrentes, les problèmes d’accès à l’eau se multiplient à travers le pays, alimentant la défiance des habitants envers les autorités.
Des «polluants éternels» ont été détectés dans l’eau courante, selon l’Agence régionale de Santé ce lundi 15 janvier. S’il n’y aurait pas de risque immédiat pour la population, 50 communes doivent mettre en place des mesures.
2023
L'eau du robinet est impropre à la consommation dans certains villages des communes de Nandrin, Modave et Tinlot. Ils sont touchés par une pollution aux PFAS, ces polluants éternels. C'est ce que viennent de révéler les derniers résultats des échantillons prélevés dans le cadre d'un monitoring réalisé à l'échelon wallon.
Interdits depuis 10 ans, ces produits chimiques sont encore présents dans notre eau potable selon une étude de l’Association des chimistes cantonaux de Suisse.
Quelle est la qualité de l'eau qui sort de votre robinet ? La question se pose après l'enquête de l'émission...
PFAS. Ces quatre lettres sont sur toutes les lèvres depuis l’émission #Investigation diffusée le 8 novembre sur la RTBF. PFAS pour Per- et polyFluoroAlkyl Substances, des polluants chimiques qui se retrouvent partout et posent particulièrement question quand ils se retrouvent dans des concentrations excessives dans l’eau potable.
Il est indispensable de mettre en perspective les éléments de l’émission « Investigation » (RTBF) du 8 novembre sur la présence de PFAS dans l’eau de distribution. En l’occurrence, prendre de la hauteur sur la question des responsabilités dans ce dossier : la SWDE ? La Région wallonne ? L’industrie chimique ? Le législateur européen ? Le débat mérite une approche plus systémique de la question de la présence de polluants chimiques dans l’eau du robinet et des différents acteurs en présence, ainsi que leurs responsabilités respectives.
Des représentants de 175 pays et des industriels de la pétrochimie se retrouvent à partir de lundi 13 novembre au Kenya pour tenter de négocier un traité mondial inédit sur les déchets plastiques.
Une chronique d'Agathe Defourny, experte en eau, et Pierre Jamar, expert en santé-environnement, tout deux chez Canopea (ex Inter Environnement Wallonie).
Le nouveau scandale révélé par la RTBF inquiète quant à la qualité de l’eau que l’on consomme quotidiennement. Face à cette situation, Alfred Bernard, directeur de recherche du Fonds national de la recherche scientifique (FNRS) et professeur émérite à l’UCLouvain le rappelle : notre eau du robinet n’est pas contaminée seulement par les PFAS.
Le 08 novembre, le magazine Investigation de la RTBF faisait état d’une alarmante contamination de l’eau du robinet en Hainaut par des PFAS, les ‘polluants éternels’, substances chimiques que l’on retrouve un peu partout et dont l’une des caractéristiques est d’être quasiment indestructibles. L’émission pointe, à raison, un manque de transparence de la SWDE (Société wallonne des eaux) qui aurait manqué de proactivité dans sa communication vers les citoyen·nes concerné·es. Canopea estime que plus fondamentalement, la responsabilité principale incombe aux entreprises qui ont mis ces substances sur le marché sans une évaluation suffisante de leur impact environnemental.
Acheter de l'eau en bouteille pour boire, se laver, donner au chien… Dans l'extrême sud de la Louisiane, l'eau salée remontant d'un Mississippi frappé par la sécheresse ronge depuis des mois la vie quotidienne d'habitants qui se sentent oubliés. "Notre eau a commencé à avoir un goût étrange" en mai, se souvient Cathy Vodopija, une habitante du delta. Pour la deuxième année consécutive, le débit de ce fleuve mythique qui traverse les Etats-Unis est historiquement bas, tellement faible qu'il ne peut bloquer le flux d'eau salée remontant de l'océan dans l'embouchure.
Une équipe de chercheurs de de l’Institut géologique américain a collecté des échantillons à plus de 700 endroits à travers le pays.
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Qu'est-ce que le chlorothalonil ? Des résidus de ce fongicide interdit en France depuis 2020 ont été trouvés dans un tiers de l'eau potable française. Emma Haziza revient chaque samedi sur une actualité autour du climat, de l’environnement, et propose des solutions.
Avec des niveaux de forage au plus bas, la gestion de l’eau dans le département provoque également une grosse mobilisation des agriculteurs.
Le dérivé d’un fongicide, le chlorothalonil, interdit en France depuis 2020, a été largement retrouvé dans les analyses menées par l’Anses sur l’eau du robinet. Le ministère de la Transition écologique se veut pour l’heure rassurant et indique que ces dépassements ne sont pas forcément synonymes de "risque sanitaire". Explications en infographie.
Une fois dispersés dans l’environnement, les pesticides peuvent entraîner la contamination des ressources servant à la production de l’eau du robinet.
2022
A l’issue d’un été extrêmement sec et d’un déficit de pluie cet automne, les bassins de réserve ne sont remplis qu’au tiers de leur capacité. Les autorités ont annoncé des restrictions touchant 90 % de la population.
Alors qu'un ménage sur cinq consommait de l'eau contaminée aux pesticides, l'Anses a décidé de relever les seuils, rendant ainsi la qualité conforme.
Selon le journal Le Monde, 20 % des Français de métropole ont été confrontés en 2021 à de l’eau potable du robinet avec des seuils trop élevés de pesticides et de métabolites.