Veille documentaire
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
militaire russie
Le président ukrainien installe à la tête du port de la mer Noire une administration militaire à ses ordres, ravivant la crainte d’une mise au pas de l’ensemble des municipalités du pays en guerre.
Plus de la moitié des pays de l'Otan ont rejoint le programme PURL, destiné à financer des armes américaines pour l'Ukraine, en réponse aux besoins urgents exprimés par Kiev.
La dernière forêt primaire d’Europe de basse altitude, autrefois paisible, se retrouve depuis 2021 au cœur des tensions sécuritaires du flanc est de l’OTAN. Non sans conséquences sur sa biodiversité.
Durant la nuit, quinze drones ont été aperçus au-dessus de la base militaire belge d'Elsenborn.
Le sommet de l’Union européenne prévu mercredi et jeudi au Danemark s’annonce sous haute sécurité, après le récent survol de l’espace aérien danois par des drones d’origine non identifiée.
De nouveaux drones ont été observés au-dessus de sites militaires au Danemark pendant la nuit pour la deuxième journée consécutive, a annoncé dimanche l'armée danoise.
Copenhague accueille mercredi et jeudi un sommet de l’UE réunissant les chefs de gouvernement. La présence de drones au Danemark et en Norvège depuis le 22 septembre avait entraîné la fermeture partielle d’aéroports.
Il s’agit du quatrième incident recensé cette semaine dans le pays, qui doit accueillir la semaine qui vient un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays de l’Union européenne.
Un ou deux drones ont été observés, vendredi soir, à l’extérieur et au-dessus de la base aérienne de Karup, a déclaré la police danoise. Un incident qui survient après plusieurs survols d’aéroports danois par des drones cette semaine.
Pologne, Roumanie, Estonie, Danemark… Moscou ne cesse de tester les frontières de l'Europe, qui s'interroge sur la réaction militaire à privilégier.
Un avion militaire russe a survolé une frégate de la marine allemande en mer Baltique, a déclaré mercredi le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius.
Deux officiers de l’armée de l’air américaine ont été invités en tant qu’observateurs pour les très controversés exercices militaires conjoints entre la Russie et la Biélorussie, qui s’achèvent ce mardi. Leur présence illustre le rapprochement diplomatique en cours entre les États-Unis de Donald Trump et la Biélorussie. Au bénéfice de la Russie ?
La Russie et la Biélorussie, son allié fidèle, doivent entamer vendredi de grands exercices militaires conjoints, suscitant l'inquiétude des pays de l'Otan quelques jours après l'intrusion sans précédent de drones présumés russes sur le territoire polonais.
La Russie et la Biélorussie, son allié fidèle, ont entamé vendredi de grands exercices militaires conjoints, a annoncé l'armée russe, quelques jours après l'intrusion sans précédent de drones présumés russes sur le territoire polonais.
Dans la nuit de mardi à mercredi, alors que Moscou avait envoyé une vague de 450 drones contre les villes de l’ouest de l’Ukraine, la Pologne a enregistré l’incursion de dix-neuf engins volant dans son espace aérien, déclenchant un engagement inédit de l’Alliance.
Des militaires belges ont prêté main forte à l'opération contre les drones russes qui ont pénétré dans l'espace aérien de la Pologne. Ils ont participé à l'approvisionnement en vol des F-35 déployés pour intercepter les drones, a indiqué jeudi le ministre de la Défense, Theo Francken, sur Radio 1.
Le projet de déploiement d’avions de chasse initialement imaginé par des responsables politiques ukrainiens rencontre un écho croissant en France, via une pétition signée par plus de 41 000 personnes, alors que la Russie a mené la plus grande attaque aérienne sur l’Ukraine depuis le début du conflit, dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 septembre.
Selon l’Institut allemand Kiel, depuis juin, l’Europe a fourni environ 95 milliards de dollars d’aide militaire à Kiev, contre 75 milliards pour Washington. Les armes restent en grande partie fabriquées outre-Atlantique.
Moscou atteindra ses objectifs en Ukraine par la voie militaire si les négociations avec Kiev échouent, a averti mercredi le président russe Vladimir Poutine, assurant que ses troupes demeuraient "à l'offensive" sur l'ensemble du front. "Voyons comment se développera la situation. Sinon (si les pourparlers n'aboutissent pas, NDLR), nous devrons résoudre nos problèmes militairement", a-t-il déclaré depuis Pékin. "Tous les groupements des forces armées russes sont à l'offensive" dans tous les secteurs du front, a-t-il ajouté.
La Russie a mis en garde vendredi contre des "conséquences irréparables" en cas de nouvelles sanctions internationales contre l'Iran, après l'annonce par Paris, Londres et Berlin du lancement d'une procédure à l'ONU pour rétablir de telles sanctions contre Téhéran dans trente jours. "Nous les appelons avec insistance à retrouver la raison et à réviser leurs décisions erronées avant que celles-ci n'aboutissent à des conséquences irréparables et une nouvelle tragédie", a déclaré dans un communiqué le ministère russe des Affaires étrangères.
Le positionnement de sous-marins nucléaires Ohio par Trump vise à rappeler aux Russes la capacité de ces lanceurs de missiles les plus furtifs au monde.
La Biélorussie a affirmé mercredi qu’il s’entraînerait au déploiement de missiles à capacité nucléaire Orechnik durant des exercices militaires avec la Russie, prévus près de sa frontière avec des pays européens membres de l’Otan.
Le sommet vendredi entre le président américain, Donald Trump, et son homologue russe, Vladimir Poutine, aura lieu sur une grande base militaire près d'Anchorage, la principale ville d'Alaska, a confirmé mercredi une responsable de la Maison Blanche.
Les dirigeants américain et ukrainien se sont entretenus au téléphone ce mardi 5 août, et se sont entendus en matière de défense, alors que l’ultimatum donné par le locataire de la Maison Blanche à Poutine arrive à échéance.
La Russie a annoncé lundi ne plus adhérer à un traité de désarmement nucléaire dont les Etats-Unis s'étaient déjà retirés il y a plusieurs années.
A l’occasion de la visite d’Etat d’Emmanuel Macron à Londres, les deux puissances atomiques d’Europe créent un groupe de pilotage conjoint, ouvrant clairement la voie à la planification d’opérations en commun. L’objectif affiché est de dissuader Moscou de toute escalade.
La Russie intensifie sa présence militaire à proximité de sa frontière avec la Finlande, un peu plus de deux ans après l'adhésion de ce pays à l'Otan.
Alors que la banquise fond, les tensions montent. En juin 2025, la Russie mettra en service un nouveau mastodonte de sa dissuasion nucléaire : le Knyaz Pozharsky, un sous-marin de classe Borei-A conçu pour opérer dans l’Arctique. Loin d’un simple ajout à la flotte, ce sous-marin symbolise une stratégie plus vaste : ancrer la puissance militaire russe dans le Grand Nord, où les enjeux économiques, géopolitiques et climatiques s’entremêlent.
Sur le front, les militaires ukrainiens constatent les premières frappes menées par des munitions rôdeuses de longue portée, parfois guidées par une intelligence artificielle. Ces armes risquent d’être bientôt utilisées en très grande quantité, constituant une grave menace pour la logistique ukrainienne.
En décembre 2022, les forces ukrainiennes utilisèrent des drones de conception soviétique, probablement des Tupolev Tu-141 « Strizh » pour attaquer les bases aériennes russes de Diaguilevo et d’Engels qui, situées à plus de 500 km de leur territoire, abritaient alors des bombardiers stratégiques Tu-95 « Bear », Tu-22M3 « Backfire » et Tu-160 « Blackjack ».
L'Ukraine a mené dimanche une série d'attaques contre des bases aériennes russes à l'aide de drones, a déclaré une source au sein des services de sécurités ukrainiens (SBU), selon qui plus de 40 avions militaires ont été touchés.
Des images satellites dévoilent une préoccupante activité russe près de la frontière finlandaise, avec des méthodes similaires à celles utilisées avant l'invasion de l'Ukraine. De quoi inquiéter l'OTAN ?
La cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas a annoncé vendredi à Lviv, dans l’ouest de l’Ukraine, le déblocage d’un milliard d’euros en faveur de l’industrie de défense ukrainienne, financé grâce aux intérêts générés par les avoirs russes gelés dans l’Union européenne.
Si d’autres pays ont déjà évoqué la responsabilité de ce groupe dans des cyberattaques, c’est la première fois que la France, s’appuyant sur sa propre collecte de renseignements, accuse directement l’Etat russe.
Selon le chef de l'Alliance atlantique, le développement de ces armes antisatellites est très préoccupant. La destruction de satellites provoquerait en effet le chaos sur Terre, de nombreux systèmes dépendant d'eux pour leur fonctionnement. Cela affecterait non seulement le domaine commercial, mais aussi la défense et donc la sécurité de manière générale, a précisé Mark Rutte.
Ces satellites ont attiré l'attention des analystes spatiaux du monde entier en raison de leur comportement énigmatique.
Un historien allemand, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, affirme que la Russie pourrait entrer en guerre avec l'OTAN, via la Lituanie, d'ici la fin de l'année. La Rédaction
L'Allemagne a approuvé vendredi une nouvelle enveloppe d'aide militaire à l'Ukraine d'un montant de trois milliards d'euros, à quelques jours de pourparlers sous l'égide des Etats-Unis avec Moscou et Kiev devant porter sur une trêve limitée.La commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du Parlement, a officiellement donné son feu vert à l'octroi de ces fonds, en suspens depuis des mois en raison des réticences du chancelier sortant Olaf Scholz au regard de la situation budgétaire de son pays.
La coalition de "pays volontaires" en ordre de marche ? Les chefs d'état-major d'une trentaine de pays prêts à contribuer à des garanties de sécurité pour l'Ukraine se retrouvent jeudi 20 mars à Londres pour discuter d'un plan de maintien de la paix en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Le dossier ukrainien et celui de la défense européenne face à la menace russe figurent également au menu d'un sommet de l'UE à Bruxelles jeudi, le troisième sommet de chefs d'État en six semaines.
"Le président Zelensky a demandé des systèmes de défense antiaérienne (...) et le président Trump a accepté de travailler avec lui pour voir ce qui était disponible, notamment en Europe", a dit Karoline Leavitt, qui a ajouté que "le partage de renseignements militaires pour la défense de l'Ukraine" allait "continuer".