Rise for climate belgium

OA - Liste

Documentation

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

filtre:
crise

2025

La COP30 se poursuit à Belém, mais le risque, lui, ne s’arrête pas aux agendas diplomatiques. L’assurance habitation apparaît comme un maillon faible face au climat. Un maillon qui pourrait, en cédant, entraîner la stabilité financière mondiale avec lui.
Et si dans un monde de plus en plus instable et menaçant, la meilleure préparation aux crises était de miser sur nos liens sociaux plutôt que sur les ressources matérielles ? "Le Réseau des tempêtes. Manifeste pour une entraide populaire" (Les Liens qui Libèrent) est le nouveau livre du docteur en sciences de l’ULB, conférencier franco colombien, Pablo Servigne. Le chercheur 'in-terre-dépendant', comme il aime se nommer, était l’invité d’Entrez sans frapper pour parler de l’importance des liens sociaux en temps de crise.
Le Kirghizistan et le Tadjikistan, deux pays montagneux d'où proviennent les ressources hydriques en Asie centrale, font face à une crise énergétique en raison du manque d'eau servant à alimenter deux immenses centrales hydroélectriques, ont indiqué des responsables.
Entré dans son 36e jour, le shutdown en cours aux États-Unis est désormais le plus long de l’histoire du pays. Au Congrès, démocrates et républicains ne parviennent toujours pas à se mettre d’accord sur un budget. Des centaines de milliers de fonctionnaires fédéraux ont déjà été mis au chômage technique et les aides alimentaires de 42 millions d’Américains sont désormais menacées.
Les autorités de l’archipel, situé à quelques kilomètres du Venezuela, ont ordonné aux officiers de regagner leur base respective alors que Washington maintient la pression sur Caracas.
Souvent assimilée à un courant politique, l’écologie est avant tout une science à part entière, qui étudie les interactions du vivant avec son environnement. Pourtant, en France, ce terme est devenu symbole de militantisme au risque d’invisibiliser le travail précieux des écologues, alors même que leurs connaissances sont indispensables pour affronter la crise environnementale en cours. […] Dans « l’Écologie est une science », publié par les éditions Belin, Sébastien Barrot, directeur de recherche à l’IRD, présente son domaine de recherche, encore trop méconnu du grand public. Nous reproduisons ci-dessous un extrait de son avant-propos.
"Et le pétrole dans tout ça?", c'est la question récurrente entourant le gigantesque déploiement militaire américain près des cotes sud-américaines, officiellement pour une opération anti-drogue contre le Venezuela qui dispose des plus grandes réserves d'or noir du monde et fait déjà l'objet d'un embargo pétrolier. Les États-Unis ont déployé sept navires de guerre dans les Caraïbes et un dans le Golfe du Mexique, et le plus grand porte-avion du monde est en route pour la zone. Pour le président Nicolas Maduro, Washington se sert du trafic de drogue comme prétexte "pour imposer un changement de régime" et s'emparer du pétrole vénézuélien. - "Le business continue"
Par leur mode de vie ostentatoire et leurs investissements polluants, les plus riches ont un impact démesuré sur le climat, alerte l’ONG Oxfam dans son dernier rapport sur les inégalités climatiques, publié ce mercredi.
Il y a peu, un trio de chercheurs a reçu le prix Nobel de chimie pour une invention surprenante, dont l’un des objectif est de participer à la lutte contre la dégradation de l’environnement. Il est ici question d’une éponge moléculaire capable de séparer de l’eau des produits chimiques dangereux, notamment les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS).
Des chaînes de télévision et des radios sont minées par la désinformation sur le climat, révèle un rapport publié le 22 octobre. Certains médias sont des « relais proactifs », via leurs invités et même leurs journalistes.
La treizième vague de l’enquête annuelle « Fractures françaises », réalisée par Ipsos pour « Le Monde » met en évidence une augmentation de la défiance et un sentiment de dysfonctionnement de la démocratie. La tentation d’un pouvoir fort d’extrême droite existe dans de nombreuses catégories de la population.
Le discours européen sur la sécurité trahit le fait que nos dirigeants politiques ne prennent pas la menace existentielle du dérèglement climatique au sérieux. Les préoccupations liées à la guerre dominent, tandis que l'action climatique est sapée.
Si la population mondiale vieillit et que le taux de mortalité recule globalement, certaines tranches d’âge échappent à cette tendance. Une étude majeure sur les causes de décès et d’invalidité dans le monde relève en effet une hausse préoccupante de la mortalité chez les adolescents et les jeunes adultes au cours des dernières décennies. Cette évolution, contrastée selon les régions, serait liée à une augmentation de la consommation de drogues et d’alcool dans les pays développés, tandis que dans les pays à faible revenu, les maladies infectieuses continuent de peser lourdement.
Cette crise, je le crains, sera systémique, inéluctable et impossible à diversifier, car elle reposera sur la concomitance explosive de deux facteurs : une dette publique des États-Unis devenue probablement insoutenable et la fragilité du dollar lui-même, pilier vacillant du système financier international. Ces deux facteurs pourraient être corrigés, mais la rhétorique de Donald Trump est fondée sur une fuite en avant cherchant la croissance économique dans de futures baisses d’impôt, et donc une augmentation de la dette publique des États-Unis. Une crise financière est donc inéluctable.
Pablo Servigne s'est fait connaître avec « Comment tout peut s’effondrer » en 2015, un livre devenu un best-seller, fondateur de la collapsologie. Il publie aujourd'hui aux Liens Qui Libèrent, "Le Réseau des tempêtes. Manifeste pour une entraide Populaire". Objectif : braquer les projecteurs sur la participation citoyenne à la gestion de crise, à l’opposé du repli sur soi. Pour lui, le lien social devient dans des moments de crise notre meilleure stratégie et cela peut tout simplement améliorer nos vies. Pablo Servigne nous explique aussi le concept de "supervivalisme" à l'opposé du survivalisme. Bonne écoute avec Impact Positif.
Une grande partie des lieux classés au Patrimoine mondial de l’Unesco voient leurs perspectives de conservation se dégrader, selon une évaluation publiée à l’occasion du congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature.
Travailler ne protège plus de la faim. C’est une réalité qui témoigne d’une crise sociale et démocratique, analyse Yann Auger, directeur général d’Andès, les épiceries solidaires.
On parle souvent de “continents de plastique”… mais la réalité est bien plus surprenante (et inquiétante). La majorité du plastique des océans n’est pas là où on pense. 🧐 Dans cette vidéo, on suit le parcours d’un simple déchet de Nantes jusqu’aux profondeurs marines, pour comprendre où disparaissent les 99% de plastiques invisibles. Microplastiques, nanoplastiques, pollution des fonds marins, impacts sur la santé et sur le climat : le problème est partout, et il nous concerne directement. Alors, qui est vraiment responsable de cette pollution ? Et surtout, comment peut-on agir pour stopper l’hémorragie ?
Dans « 2049. Ce que le climat va faire à l’Europe » (Seuil), Nathanaël Wallenhorst, chercheur en sciences de l’environnement et membre de l’Anthropocene Working Group (AWG), a compilé un nombre colossal de données scientifiques pour nous avertir : ce que nous vivons depuis quelques années (canicules, mégafeux, sécheresse…) n’a désormais plus rien d’exceptionnel. Nous devons apprendre à composer avec cette nouvelle donne climatique.
Le service européen Copernicus publie ce mardi son grand rapport annuel sur l'état de l'océan. Produite par plus de 70 scientifiques, cette évaluation mondiale alerte sur la crise écologique multiforme qui touche les mers en chaque point de la planète.
Avec des barrages presque vides et des nappes phréatiques surexploitées, la côte égéenne turque vit une grave crise hydrique. La troisième plus grande ville du pays impose des coupures d’eau aux habitants et les agriculteurs sont contraints de changer de semences.
À New York, Hadja Lahbib appelle à réinventer le système humanitaire alors que les États-Unis coupent leurs financements à l'ONU.
La Banque centrale européenne (BCE) a publié une enquête intitulée "Keep calm and carry cash". Dans celle-ci, elle met en évidence l'importance de garder de l'argent liquide, surtout dans cette période d'incertitude croissante.
Entre accusations incongrues, moqueries et contrevérités, le président des Etats-Unis, Donald Trump, s’est acharné, mardi, à New York, à décrédibiliser une institution, l’Organisation des Nations unies, qu’il a contribué à affaiblir.
La crise du multilatéralisme que connaît l’organisation se double d’une crise budgétaire. L’institution vient de lancer son plan de réforme qui est aussi un plan social baptisé "ONU80".
Un collectif de onze économistes, parmi lesquels Philippe Aghion et Joseph Stiglitz, appelle, dans une tribune au « Monde », les gouvernements internationaux à reconnaître et à défendre la valeur des médias d’intérêt général à travers une série de mesures.
Il avait prédit le krach de 1990. Il avait prédit le krach de 2008. Aujourd’hui, l’économiste Fred Harrison avertit que le prochain effondrement aura lieu en 2025 — et cette fois, il pourrait être encore plus grave.
Durant l’automne 2025, le gouvernement français va distribuer dans les boites aux lettres son manuel de survie. Ce fascicule officiel d’une trentaine de pages a notamment pour objectif de sensibiliser la population à la préparation d’un « kit d’urgence 72h », à utiliser en cas de crise majeure. Que contient ce kit ?
Alors qu’il affirmait il y a à peine quelques semaines que le web ouvert est en plein essor, Google change désormais de discours en admettant qu’il est en déclin rapide. Cette déclaration reflète les inquiétudes des éditeurs numériques et des propriétaires de sites quant à la forte baisse de leur trafic depuis la popularisation des chatbots d’IA et les modifications apportées à l’algorithme de recherche Google.
How does one talk about climate change when armed conflicts are spiralling out of control?
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
Si cette mesure venait à être confirmée, la majorité des secteurs polluants ne seraient plus tenus de déclarer leurs émissions polluantes.
Face à la destruction imbécile et délibérée de notre monde par une clique d’industriels décérébrés, pourquoi avons-nous tant de scrupules à nous mettre en colère, à nommer les coupables et à les mettre hors d’état de nuire ? Pourquoi sommes-nous aussi nuls ? Parce que la colère, c’est mal ? Non, ça, c’est ce qu’on nous a enseigné pour nous rendre dociles et anxieux. Et ça a marché ! Nous avons été amputés d’une émotion vitale, la seule qui pourrait encore nous sauver aujourd’hui, la seule qui ait jamais fait trembler les puissants : la colère. Est-elle réellement aussi mauvaise qu’on le dit ? Est-elle forcément synonyme de violence ? Qui a intérêt à nous faire croire cela ? Le moment n’est-il pas venu de la réhabiliter ? de l’organiser ? d’investir nos colères individuelles dans de grandes “banques de colère” ? Il ne tient qu’aux femmes et aux hommes de bonne volonté de s’emparer de la seule émotion qui puisse changer le monde. Les brutes qui nous assassinent, elles, n’hésitent pas.
Incendies, canicules... L’été 2025 a été un bon poste d’observation de la stratégie du Rassemblement national face à la crise climatique. Fini le climatoscepticisme grotesque, place à l’instrumentalisation.
94 départements, soit la quasi-totalité du pays, connaissent une situation de sécheresse sur au moins une partie de leur territoire. 45 sont en crise, soit des chiffres similaires aux niveaux de 2023.
Sa nouvelle directrice, Susan Monarez, à peine entrée en fonction, est déjà limogée. En cause, son désaccord avec le ministre Robert F. Kennedy Jr qui reste plus que jamais hostile à la vaccination.
Pour la première fois depuis le début de la guerre à Gaza en octobre 2023, l'ONU a déclaré l'état de famine dans le gouvernorat de Gaza City, le 22 août. Pour certaines organisations locales de distribution de nourriture, interrogées par la rédaction des Observateurs, cette déclaration arrive "trop tard", alors qu’une partie de la population est "affamée depuis des mois".
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Dans l'est de l'Ukraine, les habitants de la région de Donetsk, occupée par la Russie, sont confrontés à une grave crise de l'eau, à l'origine de pénuries qui rendent difficiles les conditions de vie. Une situation qui, selon les experts, résulte de l'occupation russe, de la mauvaise gestion qui en a découlé et des destructions causées par la guerre.
Ils réduisent la pollution plastique à un simple problème de "mauvaise gestion des déchets" et s'emploient à recentrer les débats sur la phase post-consommation. Un tour de passe-passe pour éviter de devoir négocier sur la réduction de la production de déchets plastiques… à sa source, selon la chercheuse Aurélie Leroy.




propulsed by