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2025
Drônes, navires fantômes et désinformation : la guerre hybride de Poutine contre l’UE - Ici l'Europe
- France24,
Les élus européens sont de plus en plus attentifs à cette drôle de guerre que mène Vladimir Poutine pour nous punir de notre soutien à l’Ukraine : une guerre hybride, mélange d’intimidation et de manipulation. Le Kremlin est clairement à l’origine de campagnes de désinformation intense à l’occasion des différentes élections en Europe : des médias pro-russes arrosent les réseaux sociaux, situation observée encore récemment en République tchèque, où le sulfureux Andrej Babis l’a emporté. Auparavant, c’était en Roumanie et en Allemagne, sans oublier la Moldavie, aux portes de l’UE.
La provocation du 10 septembre a entraîné en Pologne une vague de messages sur les réseaux sociaux en provenance de comptes russes et biélorusses attribuant pour partie la responsabilité de l’incident à l’Ukraine ou à l’OTAN.
Coréalisé par le dissident russe Pasha Talankin et le réalisateur américain David Borenstein, «Mr. Nobody Against Putin» est une plongée sidérante dans les rouages de l’entreprise de propagande de Vladimir Poutine.
Le mode opératoire est parfaitement calqué sur celui d’acteurs russes bien connus et inondant le Web de faux médias. Ceux-ci ne récoltent la plupart du temps aucune audience réelle.
Ciblée par plusieurs gouvernements autoritaires, l’Agence France-Presse, l’une des trois agences de dimension planétaire, est fragilisée économiquement, d’autant qu’elle fait face à la vulnérabilité des médias, soumis à la révolution des usages et à l’irruption de l’intelligence artificielle.
L’Europe et son système démocratique sont une cible privilégiée des campagnes de désinformation. Dans toute l’Union européenne, les responsables politiques et les organismes de surveillance tirent la sonnette d’alarme face à la recrudescence des mécanismes d’intox venus de Russie, de Chine ou d’Iran. Les journalistes du réseau de radio Euranet + et Nina Lamparski ont analysé les dernières tendances de fausses informations venues de l’étranger et qui circulent aujourd’hui dans l’Union européenne.
À un peu moins de deux mois de l’ouverture de la COP30 à Belém, deux informations importantes : pour la première fois la Chine va s’engager sur un objectif de baisse de ses émissions ; le rapport Production Gap(1) indique que les émissions mondiales de CO2 résultant de la combustion d’énergie fossile devraient continuer d’augmenter si l’on se fie aux prévisions d’extraction des grands producteurs.
La plateforme s’y était engagée auprès de l’administration Trump, mardi. Sont concernées les personnes ayant diffusé des informations erronées sur les élections américaines et le Covid-19.
Une dizaine d'économistes de renom, dont les Nobel Joseph Stiglitz et Daron Acemoglu, ont mis en garde lundi contre un risque d'"effondrement du journalisme d'intérêt public" qui apporte une information de qualité, avec des "conséquences considérables" notamment sur l'économie.
Un collectif de onze économistes, parmi lesquels Philippe Aghion et Joseph Stiglitz, appelle, dans une tribune au « Monde », les gouvernements internationaux à reconnaître et à défendre la valeur des médias d’intérêt général à travers une série de mesures.
Dans un message envoyé aux médias, le département de la défense américain menace de révoquer les accès au Pentagone si les correspondants ne se plient pas à cette règle.
Le ministère américain de la Défense a menacé vendredi 19 septembre au soir de révoquer les accréditations des journalistes s’ils ne font pas valider leurs publications à l’avenir.
Alors que l’Europe et la France ont traversé entre 2021 et 2023 la pire crise énergétique de leur histoire et que nous sommes toujours très dépendants des énergies fossiles, il est encore différents politiques, chefs d’entreprises ou prétendus experts ayant leur rond de serviette dans certains médias pour dire que les énergies renouvelables ne servent à rien en France. Comme pour le nucléaire en son temps et le véhicule électrique actuellement, l’éolien et le solaire sont victimes d’une énorme désinformation.
Avant l’été, un site gouvernemental américain d’information sur le climat a été invisibilisé par l’administration Trump. Depuis, d’anciens employés fédéraux travaillent bénévolement pour ressusciter son contenu.
Dans une vidéo tournée fin août, l'armée russe laisse entrevoir une carte affichant ses futurs objectifs de conquête en Ukraine. Simple oubli, ou propagande volontaire ?
Avec le meurtre de 220 journalistes palestiniens depuis octobre 2023, c’est la liberté de la presse que l’on assassine et c’est la réalité des bombardements et de la famine qui est réduite au silence, dénoncent plus de 40 rédactions et Reporters sans frontières.
À la Une de la presse ce lundi 1er septembre, cette opération de Reporters sans frontières (RSF) dans 150 médias internationaux pour protester contre la mort des journalistes à Gaza, le plan d'évacuation et de reconstruction de l'administration Trump pour l'après-guerre dans l'enclave et le fossé qui se creuse de plus en plus entre l'école publique et l'école privée en France, en ce jour de rentrée des classes.
Dans le monde entier, les rédactions s’inquiètent pour leurs collaborateurs palestiniens à Gaza. Environ 180 médias dans 50 pays devaient relayer, lundi 1ᵉʳ septembre, un appel de Reporters sans frontières et du mouvement Avaaz pour que cessent « les meurtres à Gaza ».
L’ONG, qui estime que 220 journalistes ont été tués par l’armée israélienne depuis l’attaque terroriste du 7 octobre 2023, lance un appel pour que cessent « les meurtres à Gaza ». Les sociétés de journalistes, dont la société des rédacteurs du « Monde », demandent l’ouverture de l’enclave palestinienne aux journalistes internationaux.
En interdisant à la presse d’accéder au territoire palestinien et en menant la guerre la plus meurtrière envers les journalistes dans l’histoire des conflits, l’Etat hébreu détruit la liberté d’informer, sans réelle réaction des Etats-Unis ou des pays de l’Union européenne.