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Système

2025

Cette crise, je le crains, sera systémique, inéluctable et impossible à diversifier, car elle reposera sur la concomitance explosive de deux facteurs : une dette publique des États-Unis devenue probablement insoutenable et la fragilité du dollar lui-même, pilier vacillant du système financier international. Ces deux facteurs pourraient être corrigés, mais la rhétorique de Donald Trump est fondée sur une fuite en avant cherchant la croissance économique dans de futures baisses d’impôt, et donc une augmentation de la dette publique des États-Unis. Une crise financière est donc inéluctable.
Dans le sud du Texas, le développement du centre spatial SpaceX d’Elon Musk fait des ravages. La faune locale souffre durement de ce voisinage industriel et les tribus autochtones se sont vues chassées de leurs terres.
Après avoir échangé deux fois en deux jours avec son homologue américain Donald Trump et avec le président français Emmanuel Macron, Volodymyr Zelensky a demandé dimanche à ses alliés de fournir davantage de systèmes de défense antiaériens à l'Ukraine, confrontée à une intensification des attaques de missiles et de drones russes.
Pour appréhender l’ampleur de la destruction du climat, le chercheur Gaspard Lemaire plaide pour l’utilisation du concept d’« atrocité climatique ». Un terme qui permettrait de mieux pointer les responsabilités des États.
Le doute planait depuis juin quant au degré d’acidité que l’océan pouvait encore supporter… sans compromettre les conditions favorables à la vie. Mais l’information a donc été confirmée le 24 septembre dernier par le rapport Planetary Health Check de l'Institut de Potsdam.
Entre les années 1930 et 1970, des milliers de tonnes de produits chimiques ont été déversées au large de Los Angeles. Pendant des décennies, ces barils mystérieux ont posé un grave problème environnemental. On croyait à l’origine qu’ils contenaient principalement du DDT, un pesticide cancérigène bien connu. Mais des recherches récentes révèlent que le véritable contenu de ces barils pourrait être encore plus surprenant et inquiétant.
Une étude publiée vendredi dans « The Lancet » établit que les systèmes alimentaires sont un facteur majeur de dégradation de l’environnement et de hausse des maladies chroniques et des inégalités. Elle suggère à la fois un régime moins carné et un meilleur partage de la valeur.
Cette substance est utilisée dans les crèmes solaires et les produits de maquillage. L’Anses demande aux industriels de restreindre son utilisation en raison «des risques inacceptables» qu’elle fait peser sur les écosystèmes marins et terrestres.
La fusion nucléaire, qui alimente notre Soleil, est l’un des plus grands espoirs pour produire une énergie propre, abondante et sûre. Elle consiste à fusionner des noyaux légers, par exemple de l’hydrogène, pour former des noyaux plus lourds, en libérant une énorme quantité d’énergie. Contrairement à la fission, elle ne génère pas de déchets radioactifs de longue durée ni de gaz à effet de serre. Mais recréer cette réaction sur Terre est un défi technologique et scientifique colossal. Les prototypes sont gigantesques et très coûteux, et le numérique prend une place importante pour faciliter les essais. Depuis le milieu des années 2010, et de manière accélérée depuis 2020, des systèmes d’intelligence artificielle sont utilisés pour contrôler le plasma et améliorer la conception de futurs réacteurs.
Le neuvième rapport sur l’état de l’océan publié mardi par l’Institut européen Copernicus et l’organisation scientifique Mercator Ocean International alerte sur les impacts du réchauffement sur les écosystèmes marins.
Malgré des progrès notables dans la réduction de la pollution de l’air et des émissions de gaz à effet de serre, l’état de l’environnement en Europe reste préoccupant. Sols dégradés, eau surexploitée, habitats menacés : le dernier rapport de l’Agence européenne de l’environnement tire la sonnette
Volodymyr Zelensky a annoncé ce samedi avoir reçu du matériel de l’Etat hébreu pour repousser les attaques de missiles russes.
À l’échelle mondiale, les systèmes agricoles, alimentaires et forestiers produisent plus du tiers des émissions de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique de façon significative. Pourtant, l’agriculture n’a été intégrée que tardivement aux négociations des COP sur le climat. Entre enjeux d’adaptation, d’atténuation et de sécurité alimentaire, les avancées restent timides. De récentes initiatives essaient toutefois de mieux intégrer les systèmes agricoles et alimentaires à l’agenda climatique mondial.
Sept des neuf limites planétaires sont désormais dépassées, la limite liée à l’acidification des océans ayant à son tour été franchie, constate une étude du Postdam Institute for climate impact research (PIK) sur l’état de la planète.
Les activités humaines ont entraîné le dépassement d’une nouvelle «limite planétaire», l’un des grands équilibres naturels de la Terre, selon un rapport publié ce mercredi. Après le dépassement des seuils de réchauffement climatique et de destruction de la biodiversité, c’est la limite de l’acidification des océans qui est dépassée, mettant en danger la vie marine.
La réduction du pH des mers, causée par les émissions de gaz à effet de serre humaines, réduit leur capacité à absorber du CO2 et affecte certains organismes marins.
C’est officiel, nous avons dépassé la 7e limite planétaire, celle de l’acidification des océans. L’étude de Findlay & al. (2025) annonçait déjà en juin 2025 que la limite planétaire de l’acidification des océans était dépassée. C’est cette fois une évaluation scientifique du Postdam Institute for Climate Impact Research (PIK) et l’équipe emmenée par Johan Rockström qui le confirme pour de bon. Le rapport est plus complet (144 pages) qu’un papier unique sur une limite planétaire. Il fait un état des lieux du système Terre et fait une présentation des 9 limites planétaires, en rappelant que nous avons déjà franchi sept des neufs limites : le changement climatique, l’intégrité de la biosphère, les changements d’usage des sols, le cycle de l’eau douce, les cycles biogéochimiques, les entités nouvelles et la dernière en date, l’acidification des océans. Seules l’appauvrissement de la couche d’ozone et la concentration atmosphérique en aérosols restent dans “la zone sûre”.
Après le changement climatique, l’intégrité de la biosphère, le changement du système terrestre, ou encore l’utilisation de l’eau douce, une septième limite planétaire vient d’être franchie : l’acidification des océans. Seules deux limites se situent encore dans une zone de sécurité.
Après le climat, la biodiversité, le cycle de l'eau ou encore la pollution chimique, l'acidification des océans est désormais en zone rouge. Et ce n'est pas une surprise : c'est ce qu'indiquait déjà une étude publiée au mois de juin cette année. Bien évidemment, c'est loin d'être une bonne nouvelle. 🌊 L'océan nous rend de nombreux services vitaux. Parmi eux, celui d'absorber 1/4 du CO2 que nous émettons dans l'atmosphère. Mais cela a un coût : plus l'océan absorbe de dioxyde de carbone, plus il devient acide.
Dans une tribune au « Monde », un ancien directeur des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies rappelle que, d’ici à 2030, la nouvelle politique sanitaire américaine pourrait provoquer la mort de plus de quatorze millions de personnes.




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