Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
CIA

mai 2024

Les écosocialistes sont traversés par des divergences de fond à propos du capitalisme et de son nécessaire dépassement.
Voter pour la biodiversité, c’est possible! Découvrez comment dans ce numéro.
Sous l’égide de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), un sommet « de haut niveau » se tient à Paris ce 14 mai pour évaluer les voies de l’accélération de la modernisation des systèmes de cuisson rudimentaires.
Contre la destruction de l'océan, du climat et des pêcheurs artisans
Encore un rapport accablant sur l’élevage de saumons. Publié le 7 mai dernier par une nouvelle ONG française appelée Seastemik, il accumule les chiffres alarmants sur la filière, dénoncée comme « une bombe écologique et sociale ». Ainsi, Seastemik a calculé que « pour nourrir et élever un seul saumon d’élevage, il faut pêcher jusqu’à 440 poissons sauvages ». Elle rappelle que ces poissons sont prélevés, notamment, au large de l’Afrique de l’Ouest, concurrençant ainsi la pêche de subsistance et participant au « (...)
Here, we show that the Last Glacial Maximum (LGM) provides a stronger constraint on equilibrium climate sensitivity (ECS), the global warming from increasing greenhouse gases, after accounting for temperature patterns. Feedbacks governing ECS depend on spatial patterns of surface temperature (“pattern effects”); hence, using the LGM to constrain future warming requires quantifying how temperature patterns produce different feedbacks during LGM cooling versus modern-day warming. Combining data assimilation reconstructions with atmospheric models, we show that the climate is more sensitive to LGM forcing because ice sheets amplify extratropical cooling where feedbacks are destabilizing. Accounting for LGM pattern effects yields a median modern-day ECS of 2.4°C, 66% range 1.7° to 3.5°C (1.4° to 5.0°C, 5 to 95%), from LGM evidence alone. Combining the LGM with other lines of evidence, the best estimate becomes 2.9°C, 66% range 2.4° to 3.5°C (2.1° to 4.1°C, 5 to 95%), substantially narrowing uncertainty compared t
Unilever était une des entreprises les plus engagées vers la durabilité, portée par son charismatique PDG Paul Polman.
Face à cette mainmise marchande sur les graines, certains continuent de pratiquer la culture et l’échange de semences paysannes, cherchant à promouvoir un rapport plus respectueux au vivant.

avril 2024

Lors de son audition devant les sénateures ce lundi 29 avril, le PDG de la multinationale française a dû se justifier sur ses investissements dans l’hydrocarbure et sur ses projets pétroliers, plutôt que renouvelables.
Aujourd’hui l’écologie sépare, voire oppose, celles et ceux qu’elle devrait réunir, tant elle reste dispersée entre des intérêts souvent antagoniques. Comment sortir de cette impasse ?
La 4ᵉ session de négociations internationales (INC 4) pour parvenir à un traité contre la pollution plastique se déroule actuellement au Canada. Les 175 pays réunis à Ottawa ont jusqu’au 29 avril pour avancer sur une version du traité. Le document provisoire de travail (zero draft), tel qu’il a été élaboré lors de la 3ᵉ session à Nairobi, ressemble pour l’heure surtout à un catalogue de toutes les options possibles sur lesquelles il va falloir trancher. 196 lobbyistes inscrits aux débats Deux blocs s’opposent (...)
Des microplastiques dans notre eau de bouteille. Et donc dans notre corps. C’est l’une des dernières alertes qui a retenti dans les médias. Le plastique est nocif pour notre planète et pour notre santé. On le sait, et pourtant sa production continue à augmenter. 174 pays négocient en ce moment à Ottawa (Canada) pour mettre le holà, via un traité international contraignant visant à réduire la pollution plastique. En principe, du moins.
Les grandes entreprises ciblées par ce texte seront en outre tenues de prévenir, d’identifier et de remédier aux violations de droits humains et sociaux et aux dommages environnementaux dans leurs chaînes de valeur partout dans le monde.
Les négociations mondiales pour discuter de mesures concrètes pour lutter contre la pollution plastique, qui inonde la...
Les négociations mondiales pour discuter de mesures concrètes pour lutter contre les déchets plastiques, qui inondent la nature du fond des océans au sommet des montagnes, ont repris mardi à Ottawa au Canada. "Le message est clair. Le monde compte sur nous pour mettre en place un nouveau traité qui guidera les actions et la coopération internationale nécessaires pour un avenir sans pollution plastique" a déclaré Luis Valdivieso, le président du Comité international de négociations (INC) de l'ONU-Environnement.
Parvenir au premier traité mondial contre la pollution plastique : c'est le but des négociations internationales qui reprennent mardi à Ottawa, au Canada, mais de nombreux points de désaccord restent encore à trancher. L'objectif fixé en 2022 est de finaliser ce texte d'ici la fin de l'année pour lutter par des mesures concrètes contre la prolifération de déchets qui inondent la nature, du fond des océans au sommet des montagnes.
Un rapport publié par l’institut Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale dévoile qu’au plus fort de la canicule, le 23 juillet 2023, 13 % du continent a connu une situation délétère pour les organismes.
Les scientifiques ont constaté “un véritable saut en termes d’anomalies de température mondiale entre 2022 et 2023”. Au-delà des concentrations de gaz à effet de serre records dans l’atmosphère et divers facteurs liés à la variabilité du climat, une petite partie de cet excès de chaleur n’est toujours pas expliquée. À quoi s’attendre alors pour 2024 ?
L’élu européen Nouvelle Donne préconise, dans une tribune au « Monde », un électrochoc pour sauver le climat et la cohésion sociale.
"Les solutions souvent prônées face au changement climatique - qu’il s’agisse des solutions technologiques, des changements de comportement, des imaginaires - sont souvent assez ignorantes des savoirs qu'on a sur le social. (...) Ne pas prendre la mesure de ces dimensions sociales, c’est prendre le risque fort de l'inaction
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec David Chavalarias, chercheur, mathématicien et écrivain. Il est directeur de recherche au CNRS et au Centre d'analyse et de mathématique sociales (CAMS) de l’EHESS. Il est également directeur de l'Institut des Systèmes Complexes de Paris Île-de-France.
Dans un livre dense mais innovant, les chercheurs Cédric Durand et Razmig Keucheyan tentent de dessiner un modèle de planification écologique compatible avec les limites planétaires.
Les projets agrivoltaïques se développent en Wallonie. Le principe est d’utiliser des terres agricoles pour y placer des centaines, voir des milliers de panneaux photovoltaïques. Certains agriculteurs décident d’eux-mêmes de faire cohabiter leur élevage avec des panneaux solaires. Mais depuis quelque temps, de nouveaux projets, plus importants, voient le jour et prévoient de ne pas cohabiter mais bien d’installer uniquement ces panneaux sur des champs.
A l’occasion d’un débat lancé par le think thank Shift Project, à Angers, les principales têtes de liste – à l’exception de Jordan Bardella – pour le scrutin du 9 juin ont confronté leurs points de vue sur l’élaboration de la transition.
Dans un rapport, Halte à l’obsolescence programmée pointe plusieurs écueils dans la façon dont sont conçues et fabriquées les voitures électriques.
De leefomstandigheden voor de Europese egel worden almaar slechter, daarom trekken de dieren steeds vaker naar steden. Maar zelfs daar hebben ze het lastig.
40 mesures pour déployer l’Éducation relative à l’Environnement (ErE)
Au moment où le Royaume-Uni fait preuve d’une détermination exemplaire pour mettre en œuvre les recommandations scientifiques et les engagements internationaux en matière de protection de l’océan et où le gouvernement britannique commence à interdire le chalutage de fond dans quelques zones restreintes de ses aires marines protégées, un axe anti-écologique formé par la droite et l’extrême droite françaises refait surface pour tenter de faire plier Londres et la Commission européenne et empêcher une réelle protection des eaux britanniques. Comble de l’ironie, le pays qui a quitté l’UE est le seul à appliquer sérieusement les règles européennes en matière de protection des océans, des écosystèmes et du climat.
Les futures routes se présentent volontiers comme des projets « bons pour le climat ». Sauf que les porteurs de ces projets sous-estiment systématiquement les émissions de gaz à effet de serre liées à leur infrastructure.
L’objectif « zéro artificialisation nette », fixé à 2050, va limiter les hectares disponibles à la construction. En Bretagne, des communes lancent des projets d’habitat d’un nouveau genre : les hameaux légers.