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La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont exhorté mardi l'Iran "à mettre immédiatement fin à son escalade nucléaire", selon les porte-paroles des trois ministères des Affaires étrangères, qui condamnent les mesures prises par Téhéran pour augmenter fortement le rythme de production d'uranium hautement enrichi.
À l’occasion de la cérémonie de remise du prix Nobel de la paix, Terumi Tanaka, survivant du bombardement atomique à Nagasaki en 1945, a livré un discours pour l’abolition de la bombe atomique. Le combat des survivants, appelés “hibakusha”, va se heurter au défi de leur disparition progressive : leur moyenne d’âge atteint 85 ans.
L'Iran veut "fortement augmenter" son rythme de production d'uranium hautement enrichi, selon l'AIEA
- Afp,L'Iran a commencé à alimenter de nouvelles centrifugeuses qui vont lui permettre "d'augmenter fortement" son rythme de production d'uranium hautement enrichi, selon un rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique consulté par l'AFP vendredi.Ce changement au sein du site de Fordo aura comme effet "d'augmenter de manière significative le taux de production d'uranium enrichi jusqu'à 60%", selon le rapport de l'AIEA.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), chargée de surveiller le programme nucléaire iranien, a confirmé le projet de Téhéran destiné à enrichir de l’uranium à un faible niveau.
Récemment, la Chine et les États-Unis sont parvenus à un accord très important concernant l'arme nucléaire et l'intelligence artificielle.
Face au durcissement de la guerre en Ukraine, plusieurs pays recensent ou construisent leurs abris antinucléaires. Mais pas la France, qui compte sur la puissance de sa dissuasion.
Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian, avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier.La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux Etats-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
La Russie a toujours été prête à utiliser l'arme nucléaire. Depuis le premier jour de l'invasion de l'Ukraine jusqu'à aujourd'hui.
Polynésie : vers une nouvelle commission d'enquête à l'Assemblée nationale sur les essais nucléaires
- Afp,Le groupe communiste à l'Assemblée nationale a demandé mardi la relance d'une commission d'enquête sur les conséquences des essais nucléaires en Polynésie française, après qu'une précédente commission sur le même thème a vu ses travaux interrompus par la dissolution.
L'Iran a annoncé vendredi la mise en service de "nouvelles centrifugeuses avancées", en représailles à l'adoption d'une résolution critique à Vienne condamnant les activités nucléaires de Téhéran, pointé du doigt pour son manque de coopération.Un texte « politiquement motivé »Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé jeudi par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon des sources diplomatiques interrogées par l'AFP.
Alors que les tirs inédits de missiles balistiques par la Russie sur Dnipro représentent un seuil supplémentaire dans l’escalade, les pays occidentaux affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et poursuivront leur soutien à l'Ukraine.
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) examine jeudi une résolution admonestant l'Iran pour son manque de coopération sur le dossier nucléaire, avec le risque d'une riposte immédiate de Téhéran.Les Occidentaux persistent et signent: après déjà un rappel à l'ordre en juin, ils ont soumis un nouveau texte, mettant en avant l'absence d'avancées ces derniers mois.
Un programme nucléaire "troublant": les diplomates occidentaux ont dressé jeudi à Vienne un réquisitoire sévère contre l'Iran et fait adopter une nouvelle résolution critique, dénoncée par Téhéran comme "politiquement motivée".Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), ont indiqué à l'AFP des sources diplomatiques.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a salué mercredi un engagement "concret" de l'Iran, après la mise en place par Téhéran de mesures pour stopper l'expansion de son stock d'uranium hautement enrichi. «»"Je pense que c'est un pas concret dans la bonne direction", et ce "pour la première fois", a-t-il déclaré devant la presse, au premier jour du Conseil des gouverneurs de l'instance onusienne, à Vienne.
Le président russe Vladimir Poutine a signé un décret élargissant les possibilités de recours à l'arme nucléaire. Le document a été publié, rapporte mardi l'agence Tass.
Le chef de la diplomatie russe a promis mardi une réponse "appropriée" aux tirs ukrainiens de missiles américains ATACMS contre la Russie, dénonçant l'implication des Etats-Unis dans ces frappes et y voyant une "nouvelle phase" dans le conflit.
Les frappes aériennes menées par Israël fin octobre contre l'Iran ont touché "un élément du programme nucléaire" de la République islamique, a déclaré lundi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. "Ce n'est pas un secret, ça été publié, un élément du programme nucléaire a été touché dans cette attaque mais le programme en soi et sa capacité à fonctionner n'ont pas encore été éliminés", a dit à la Knesset (Parlement) M. Netanyahu, dont le pays est considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, s'est rendu vendredi sur deux importants sites nucléaires en Iran, au moment où Téhéran affirme vouloir lever "doutes et ambiguïtés" sur son programme controversé.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a été reçu jeudi à Téhéran par le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, au moment où la montée en puissance du programme nucléaire de l'Iran cristallise les tensions avec les pays occidentaux. Abbas Araghchi était en 2015 le négociateur en chef côté iranien des pourparlers sur le nucléaire avec les grandes puissances.
La Russie a dit avoir procédé mardi à de nouveaux exercices militaires nucléaires, sous la supervision du président Vladimir Poutine, qui avait évoqué récemment encore la possibilité de recourir à ces armes dans le cadre du conflit en Ukraine et avec les Occidentaux.
Le Nobel de la paix a récompensé vendredi le groupe japonais Nihon Hidankyo, qui regroupe des survivants d'Hiroshima et Nagasaki aujourd'hui défenseurs d'un monde purgé de l'arme atomique, à un moment où des Etats comme la Russie menacent de briser ce tabou.Nihon Hidankyo est distingué "pour ses efforts en faveur d'un monde sans armes nucléaires et pour avoir démontré, par des témoignages, que les armes nucléaires ne doivent plus jamais être utilisées", a déclaré le président du comité Nobel norvégien, Jørgen Watne Frydnes.
L’Iran a ciblé pour la seconde fois en quelques mois, ce 1er octobre, le territoire israélien. Israël a promis de répliquer. "Cette attaque aura des conséquences. Nous avons des plans et nous agirons à l’endroit et au moment que nous aurons décidés", a averti le porte-parole de l’armée israélienne, le contre-amiral Daniel Hagari.
Entre le 19 et le 20 septembre, les flammes se sont emparées du site de lancement de missiles nucléaires russes de Plesetsk. L’incendie aurait été déclenché par un incident lors d’un tir expérimental de missile intercontinental. La rédaction des Observateurs a pu échanger avec des analystes qui mettent en lumière les dangers d’un tel incident.
L’incident, révélé par les Américains, est un camouflet pour Pékin. S’il illustre certaines faiblesses de l’Armée populaire de libération, il s’inscrit aussi dans le contexte de la concurrence féroce que se livrent Pékin et Washington dans ce domaine stratégique.
Le Wall Street Journal vient de dévoiler des informations qui mettent à mal la marine chinoise. La Chine a caché le naufrage d'un sous-marin à propulsion nucléaire, dit un responsable US.
Le Kremlin a déclaré jeudi que le changement de doctrine russe concernant le recours à l'arme nucléaire, annoncé la veille par Vladimir Poutine, devait être considéré comme un "signal" pour les Occidentaux, avec qui les tensions sont au plus haut depuis l'offensive en Ukraine en février 2022.
La mise en service de ce missile à propulsion nucléaire avait été annoncée en septembre 2023 par la Russie. Un récent test de ce RS-28 Sarmat aurait tourné au fiasco selon plusieurs sources.
Le Financial Times a mis la main sur des documents secrets et rapporte que la Russie a entraîné sa marine à frapper des missiles nucléaires sur des sites situés en Europe.
Jamie Kwong et ses collègues du programme climatique de la Carnegie Endowment for International Peace ont appliqué le questionnement de ce champ d’étude à la dissuasion nucléaire, avec un premier papier consacré aux vulnérabilités éventuelles des bases situées aux États-Unis , et un rapport plus récent sur les sites nucléaires de l’OTAN .