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Le ministère de la défense afghan a dénoncé des frappes « barbares » et promis de riposter à cette « agression ». Depuis le retour au pouvoir des talibans à Kaboul en 2021, les relations frontalières entre les deux pays se sont envenimées.
Des chercheurs de l’Institut Pasteur retracent, dans une étude publiée mercredi, le parcours de la souche de choléra responsable des principales épidémies des dernières années.
Les États-Unis et la France ont annoncé mardi qu'ils veilleront à ce que l'accord de cessez-le-feu au Liban, qui entre en vigueur mercredi, soit "mis en œuvre dans son intégralité". Un accord qui "protégera Israël de la menace que représentent le Hezbollah et les autres organisations terroristes opérant depuis le Liban", et créera les "conditions nécessaires" au rétablissement durable du "calme" selon Emmanuel Macron et Joe Biden.
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah au Liban, négocié entre les parties par les États-Unis et la France, est entré en vigueur à 4 heures mercredi matin (heure libanaise). Selon Benyamin Nétanyahou, cette trêve de soixante jours, qui a vocation à devenir permanente, permettra à l’État hébreu de concentrer ses efforts sur le Hamas et l’Iran.
En visite à Beyrouth au lendemain d’une frappe israélienne qui a fait 29 morts au cœur de la capitale libanaise, le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la sécurité a plaidé pour un cessez-le-feu immédiat.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
Le statut de la délégation afghane à la COP29, qui s’ouvre lundi à Bakou, en Azerbaïdjan, n’était pas clair dans l’immédiat. L’Afghanistan est le sixième pays le plus vulnérable au changement climatique.
L’armée israélienne a visé dimanche plusieurs agences de l’institution financière Al-Qard al-Hassan, qu'elle accuse de financer le Hezbollah au Liban. Depuis quarante ans, cette société qui se présente comme une organisation caritative s’est spécialisée dans l’octroi de microcrédits. Une activité renforcée depuis la faillite des banques libanaises en 2019.
Tsahal a confirmé ce mardi 22 octobre au soir avoir tué le cousin de Hassan Nasrallah et successeur pressenti à la tête du groupe armé libanais, dans une frappe sur Beyrouth début octobre.
L’armée israélienne a prévenu qu’elle allait frapper dans la nuit de dimanche à lundi «toute l’architecture économique du Hezbollah, dans tout le Liban», pour éviter que la milice ne se reconstitue après la guerre.
Alors que les bombardements israéliens se poursuivent dans plusieurs régions du Liban, des centaines de milliers d’enfants ont dû fuir leurs foyers et n’ont aucun accès à l’éducation, a mis en garde un responsable onusien. De nombreuses écoles du pays ont fermé leurs portes ou été transformées en abris.
La Force intérimaire des Nations unies déployée dans le sud du Liban (Finul) a mis en garde samedi contre un conflit régional "catastrophique", alors que l'armée israélienne combat le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien, alliés de l'Iran.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a appelé dimanche le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à mettre les Casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) "à l'abri immédiatement".
La communauté internationale a largement critiqué vendredi les tirs israéliens sur des Casques bleus de la Force intermédiaire des Nations unies pour le Liban (Finul), blessant deux soldats de l'ONU vendredi.
Trois bases de la Force intérimaire des Nations unies au Liban ont été visées jeudi par des tirs israéliens. Deux membres de cette force onusienne ont été blessés. La France a dénoncé « une violation grave du droit international ».
Après onze mois de guerre d’usure, septembre 2024 a vu une nette intensification du conflit, qui semble désormais impliquer plus que jamais la plupart des alliés régionaux de l’Iran face à Israël.
L'armée israélienne a mené jeudi soir deux raids aériens meurtriers sur la capitale libanaise.
Le Premier ministre israélien a menacé mardi les Libanais de subir des "destructions" comme à Gaza s'ils ne "libéraient" pas leur pays du Hezbollah, au moment où Israël élargit son offensive terrestre contre le mouvement islamiste dans le sud du Liban.
Israël a à nouveau bombardé vendredi la capitale libanaise ainsi que la principale route menant en Syrie. La ville de Tulkarem, en Cisjordanie, a également été visée. L’Iran affirme que ses alliés du Hezbollah et du Hamas ne reculeront pas.
Tsahal continue de mener des frappes au Liban alors que débutent trois jours de deuil national après la mort d'Hassan Nasrallah. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, est à Beyrouth pour tenter de trouver une issue.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) a lancé une opération d’urgence pour fournir une aide alimentaire à un million de personnes affectées par la récente escalade du conflit au Liban, a annoncé dimanche cette agence de l’ONU.
Israël a annoncé samedi avoir tué le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah dans une frappe la veille sur la banlieue sud de Beyrouth, à l'heure où une source proche du mouvement libanais a affirmé que le contact avait été perdu avec son dirigeant.
Après une nuit de bombardements massifs dans le sud de Beyrouth, fief du Hezbollah, Tsahal, dans un communiqué publié ce samedi 28 septembre, affirme avoir “éliminé Hassan Nasrallah”, leader de l’organisation armée chiite libanaise.
Le Hezbollah libanais a confirmé samedi, dans un communiqué, que son chef, Hassan Nasrallah, a été tué et s'est engagé à poursuivre la bataille contre Israël "en soutien à Gaza et à la Palestine". Pour l'heure, l'État hébreu et des soutiens du mouvement chiite ont notamment commenté l'assassinat du leader chiite. Les réactions de l'Occident se font bien plus discrètes.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a demandé à son armée, le jeudi 26 septembre, de continuer à se battre “avec toute la force nécessaire” contre le Hezbollah.
Le dernier bilan des bombardements de lundi s’élève à 492 morts. La crainte d’une escalade dans la région va peser sur l’Assemblée générale de l’ONU cette semaine.
Israël a mené dans la nuit de nouvelles frappes contre des cibles du Hezbollah au Liban, après des bombardements de grande ampleur qui ont fait environ 500 morts lundi et font craindre un embrasement de la région près d'un an après le début de la guerre à Gaza.
Les nouvelles frappes israéliennes contre des cibles du Hezbollah au Liban, au lendemain de bombardements meurtriers qui ont fait plus de 550 morts et provoqué la fuite de dizaines de milliers de personnes, ont porté l'inquiétude à son comble dans la région comme dans le monde.
La tension est à son comble au Moyen-Orient.
Depuis le début de la guerre contre le Hamas à Gaza et le Hezbollah dans le Sud-Liban, l’armée israélienne a renforcé ses opérations de brouillage des télécommunications. Et notamment des signaux GPS qui permettent de guider les missiles et drones. Quitte à perturber profondément la vie quotidienne des Libanais et des Israéliens.
Le média américain, qui cite plusieurs sources, affirme que les services de l’Etat hébreu ont réussi à insérer de petits explosifs dans 3 000 bipeurs lors de leur fabrication, avant qu’un message ne déclenche la détonation mardi après-midi.
Sur le TikTok libanais, des vidéos de braconniers abattant des oiseaux migrateurs dans le nord du pays sont devenues monnaie courante. Mais derrière cette sordide tendance, ce sont près de 2,6 millions de volatiles qui meurent chaque année. Une situation extrême qui inquiète les associations locales de protection des oiseaux.
La formation alliée à l’Iran a dit avoir lancé « plus de 320 » roquettes sur des bases militaires en Israël, « première phase » de sa riposte à la mort de Fouad Chokr, haut chef militaire tué dans une frappe israélienne sur Beyrouth le 30 juillet. L’état d’urgence est décrété dans tout l’Etat hébreu pour quarante-huit heures.
Israël a affirmé avoir déjoué dimanche une attaque à grande échelle du Hezbollah en menant de multiples frappes au Liban, mais le mouvement libanais a dit avoir réussi à lancer des centaines de drones et de roquettes sur des positions israéliennes pour venger la mort d'un de ses chefs.
La dernière centrale électrique fonctionnelle du Liban a été contrainte de fermer en raison d’un manque de pétrole. Cet arrêt des activités a entraîné une panne d’électricité sur l’ensemble du territoire libanais, a indiqué samedi la compagnie d’électricité du pays.
Entre le Hezbollah et Israël, dix mois de violences transfrontalières causent des centaines de morts
- Le Monde,Afp,Près de 400 combattants du Hezbollah ont été tués en marge de la guerre à Gaza, des pertes supérieures à celles du conflit de 2006.
Cette riposte, qui n’a pas fait de victimes, fait suite au bombardement par l’Etat hébreu de la localité libanaise de Chamaa, où quatre Syriens ont trouvé la mort.
Une roquette tirée depuis le Liban sur le plateau du Golan annexé par Israël a fait onze morts samedi, a indiqué l'armée israélienne, accusant le Hezbollah libanais d'en être à l'origine. Celui-ci a affirmé n'avoir "aucun lien" avec le tir de roquette meurtrier.
Plusieurs frappes israéliennes ont touché le Liban la nuit dernière, en riposte au tir de roquette attribué au Hezbollah qui a tué 12 enfants et adolescents, samedi 27 juillet, dans la petite ville druze de Majdal Shams. Jamais, depuis octobre dernier, le risque d’escalade n’avait paru aussi élevé, souligne la presse internationale.
Le Hezbollah libanais a déclaré avoir tiré "plus de 200 roquettes de différentes sortes" sur cinq positions israéliennes jeudi en représailles à la mort dans le sud du Liban d’un haut commandant du mouvement chiite libanais, tué dans une frappe israélienne.
Le Hezbollah libanais a annoncé dimanche avoir bombardé le Golan occupé, pour la deuxième fois en l’espace de quelques...
Le Hezbollah et son allié Amal ont annoncé mercredi soir huit morts dans leurs rangs, parmi lesquels des secouristes, dans des frappes israéliennes dans le sud du Liban portant à 16 le nombre de victimes d'une journée d'échanges de tirs transfrontaliers.
Un couple et leurs deux enfants, membres de la milice chiite, vivaient dans la maison rasée par le raid israélien, à Kherbet Selm au Liban. Au moins neuf blessés ont par ailleurs été décomptés.
- Afp
Quatre civils, dont une femme et deux enfants, ont été tués et neuf personnes blessées mercredi dans des raids israéliens sur le sud du Liban, a indiqué une source de sécurité libanaise à l'AFP.
Le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, a averti mercredi qu’une "confrontation totale" entre Israël et le Liban serait un "désastre complet", sur fond de craintes d’un embrasement dans la région. S’adressant au Forum économique mondial dans la station alpine suisse de Davos, Antonio Guterres a réitéré son appel à un "cessez-le-feu humanitaire immédiat" à Gaza. Les combats ont ravagé Gaza depuis les attaques sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre. Depuis lors, la frontière libano-israélienne est le théâtre d’échanges de tirs quasi quotidiens entre l’armée israélienne et le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié du Hamas. "Les retombées qui se produisent déjà, le risque d’une véritable confrontation au Liban, ce serait un désastre total. Nous devons l’éviter à tout prix", a déclaré António Guterres.
Saleh al-Arouri, un haut dirigeant du Hamas tué au Liban dans une attaque de drone attribuée à Israël, a joué un rôle clé dans le développement des capacités militaires du mouvement islamiste palestinien et de ses liens avec des alliés régionaux.
Les médias officiels libanais affirment qu’un drone israélien a provoqué une explosion en de la capitale, causant la mort de Saleh el-Arouri, l’un des leaders du mouvement islamiste palestinien, ainsi que de six autres personnes.
Plusieurs civils ont été tués samedi 14 et dimanche 15 octobre des deux côtés de la frontière entre le sud du Liban et le nord d’Israël. L’armée israélienne a notamment répondu par des bombardements à des infiltrations terrestres du Hezbollah.
Depuis plusieurs années, de nouvelles espèces non indigènes colonisent les eaux de l’est de la Méditerranée. Cette invasion modifie profondément l’écosystème de la zone, au grand dam des pêcheurs libanais et syriens, explique le site “Daraj”.
TotalEnergies et le géant italien des hydrocarbures Eni ont signé un accord-cadre avec Israël sur le champ gazier partagé avec le Liban, a annoncé mardi le groupe français dans un communiqué. L'accord cadre vise à "mettre en œuvre l'accord sur la frontière maritime qui a été finalisé entre Israël et le Liban le 27 octobre 2022", précise le groupe français.
Il y a trois semaines, le pays du Cèdre, en pleine déliquescence, enregistrait son premier cas de choléra. La maladie était réapparue quelques semaines plus tôt en Syrie voisine. Depuis, elle se propage de manière inquiétante.
Le choléra avait disparu du Liban depuis 1993. Mais depuis un mois, elle refait surface. D’abord cantonnée aux camps de réfugiés du nord du pays, où se concentrent un peu plus d’un million de Syriens, la maladie s’est propagée à une vitesse phénoménale et touche désormais d’autres régions du pays. Dans le pays du Cèdre, en proie à une profonde crise économique, les ONG redoutent que le système de santé, déjà à genoux, ne puisse prendre en charge la vague épidémique.
Sur fond d'intenses tractations diplomatiques pour déterminer sa frontière maritime avec le Liban voisin, Israël se prépare à activer le gisement gazier offshore de Karish, étape clé devant doper ses exportations de gaz naturel vers l'Europe. Le Liban et Israël, pays voisins officiellement en état de guerre, négocient depuis deux ans par l'intermédiaire des États-Unis pour délimiter leur frontière maritime et lever les obstacles à la prospection d'hydrocarbures sur un gisement offshore controversé en Méditerranée orientale.
L’effondrement socio-économique en cours au Liban a mis sur la paille des pans entiers de la population et fragilisé encore plus les segments défavorisés du pays. En l’absence d’un système de protection sociale et d’accès au logement, certains se retrouvent à la rue, raconte le site “Raseef22”.
- Afp
Un procureur libanais a ordonné samedi la saisie d'un navire battant pavillon syrien qui a accosté dans un port du nord du pays avec une cargaison de céréales ukrainiennes "volées", selon l'ambassade de Kiev à Beyrouth.
Le Liban, qui connaît la pire crise financière de son histoire, a signé mardi un accord final pour importer du gaz naturel d'Egypte via la Syrie afin de réduire les coupures de courant quotidiennes, pouvant atteindre plus de 22 heures par jour.
Le Liban doit empêcher Israël d'extraire du gaz d'un champ offshore controversé, a déclaré jeudi soir le chef du mouvement chiite Hezbollah, mettant en garde une société d'exploration gazière mandatée par Israël contre le lancement d'une telle opération. "L'objectif immédiat devrait être d'empêcher l'ennemi d'extraire du pétrole et du gaz sur le champ gazier de Karish", a déclaré Hassan Nasrallah lors d'un discours télévisé.
L’Afghanistan comptait 5 000 entreprises avant la prise du pouvoir par les Taliban le 15 août dernier. Depuis, près de 2 000 d’entre elles ont fermé leurs portes, laissant des milliers de personnes au chômage. Reportage à Kaboul de Sonia Ghezali et Shahzaib Wahlah.
L’effondrement économique au Liban pousse la population à redécouvrir des vieux métiers délaissés voire oubliés à cause de la mondialisation. Les cordonniers, tapissiers, fermiers font leur retour et remplacent les boutiques de prêt-à-porter ou d’électroménager.
À cause d’une crise économique gravissime et de mauvaises récoltes dues à la sécheresse, les Afghans sont proches de la famine. Depuis l’arrivée des talibans au pouvoir, la population s’enfonce dans la pauvreté.
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Le ministère de la défense afghan a dénoncé des frappes « barbares » et promis de riposter à cette « agression ». Depuis le retour au pouvoir des talibans à Kaboul en 2021, les relations frontalières entre les deux pays se sont envenimées.
Des chercheurs de l’Institut Pasteur retracent, dans une étude publiée mercredi, le parcours de la souche de choléra responsable des principales épidémies des dernières années.
Les États-Unis et la France ont annoncé mardi qu'ils veilleront à ce que l'accord de cessez-le-feu au Liban, qui entre en vigueur mercredi, soit "mis en œuvre dans son intégralité". Un accord qui "protégera Israël de la menace que représentent le Hezbollah et les autres organisations terroristes opérant depuis le Liban", et créera les "conditions nécessaires" au rétablissement durable du "calme" selon Emmanuel Macron et Joe Biden.
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah au Liban, négocié entre les parties par les États-Unis et la France, est entré en vigueur à 4 heures mercredi matin (heure libanaise). Selon Benyamin Nétanyahou, cette trêve de soixante jours, qui a vocation à devenir permanente, permettra à l’État hébreu de concentrer ses efforts sur le Hamas et l’Iran.
En visite à Beyrouth au lendemain d’une frappe israélienne qui a fait 29 morts au cœur de la capitale libanaise, le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la sécurité a plaidé pour un cessez-le-feu immédiat.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
Le statut de la délégation afghane à la COP29, qui s’ouvre lundi à Bakou, en Azerbaïdjan, n’était pas clair dans l’immédiat. L’Afghanistan est le sixième pays le plus vulnérable au changement climatique.
L’armée israélienne a visé dimanche plusieurs agences de l’institution financière Al-Qard al-Hassan, qu'elle accuse de financer le Hezbollah au Liban. Depuis quarante ans, cette société qui se présente comme une organisation caritative s’est spécialisée dans l’octroi de microcrédits. Une activité renforcée depuis la faillite des banques libanaises en 2019.
Tsahal a confirmé ce mardi 22 octobre au soir avoir tué le cousin de Hassan Nasrallah et successeur pressenti à la tête du groupe armé libanais, dans une frappe sur Beyrouth début octobre.
L’armée israélienne a prévenu qu’elle allait frapper dans la nuit de dimanche à lundi «toute l’architecture économique du Hezbollah, dans tout le Liban», pour éviter que la milice ne se reconstitue après la guerre.
Alors que les bombardements israéliens se poursuivent dans plusieurs régions du Liban, des centaines de milliers d’enfants ont dû fuir leurs foyers et n’ont aucun accès à l’éducation, a mis en garde un responsable onusien. De nombreuses écoles du pays ont fermé leurs portes ou été transformées en abris.
La Force intérimaire des Nations unies déployée dans le sud du Liban (Finul) a mis en garde samedi contre un conflit régional "catastrophique", alors que l'armée israélienne combat le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien, alliés de l'Iran.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a appelé dimanche le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à mettre les Casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) "à l'abri immédiatement".
La communauté internationale a largement critiqué vendredi les tirs israéliens sur des Casques bleus de la Force intermédiaire des Nations unies pour le Liban (Finul), blessant deux soldats de l'ONU vendredi.
Trois bases de la Force intérimaire des Nations unies au Liban ont été visées jeudi par des tirs israéliens. Deux membres de cette force onusienne ont été blessés. La France a dénoncé « une violation grave du droit international ».
Après onze mois de guerre d’usure, septembre 2024 a vu une nette intensification du conflit, qui semble désormais impliquer plus que jamais la plupart des alliés régionaux de l’Iran face à Israël.
L'armée israélienne a mené jeudi soir deux raids aériens meurtriers sur la capitale libanaise.
Le Premier ministre israélien a menacé mardi les Libanais de subir des "destructions" comme à Gaza s'ils ne "libéraient" pas leur pays du Hezbollah, au moment où Israël élargit son offensive terrestre contre le mouvement islamiste dans le sud du Liban.
Israël a à nouveau bombardé vendredi la capitale libanaise ainsi que la principale route menant en Syrie. La ville de Tulkarem, en Cisjordanie, a également été visée. L’Iran affirme que ses alliés du Hezbollah et du Hamas ne reculeront pas.
Tsahal continue de mener des frappes au Liban alors que débutent trois jours de deuil national après la mort d'Hassan Nasrallah. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, est à Beyrouth pour tenter de trouver une issue.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) a lancé une opération d’urgence pour fournir une aide alimentaire à un million de personnes affectées par la récente escalade du conflit au Liban, a annoncé dimanche cette agence de l’ONU.
Israël a annoncé samedi avoir tué le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah dans une frappe la veille sur la banlieue sud de Beyrouth, à l'heure où une source proche du mouvement libanais a affirmé que le contact avait été perdu avec son dirigeant.
Après une nuit de bombardements massifs dans le sud de Beyrouth, fief du Hezbollah, Tsahal, dans un communiqué publié ce samedi 28 septembre, affirme avoir “éliminé Hassan Nasrallah”, leader de l’organisation armée chiite libanaise.
Le Hezbollah libanais a confirmé samedi, dans un communiqué, que son chef, Hassan Nasrallah, a été tué et s'est engagé à poursuivre la bataille contre Israël "en soutien à Gaza et à la Palestine". Pour l'heure, l'État hébreu et des soutiens du mouvement chiite ont notamment commenté l'assassinat du leader chiite. Les réactions de l'Occident se font bien plus discrètes.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a demandé à son armée, le jeudi 26 septembre, de continuer à se battre “avec toute la force nécessaire” contre le Hezbollah.
Le dernier bilan des bombardements de lundi s’élève à 492 morts. La crainte d’une escalade dans la région va peser sur l’Assemblée générale de l’ONU cette semaine.
Israël a mené dans la nuit de nouvelles frappes contre des cibles du Hezbollah au Liban, après des bombardements de grande ampleur qui ont fait environ 500 morts lundi et font craindre un embrasement de la région près d'un an après le début de la guerre à Gaza.
Les nouvelles frappes israéliennes contre des cibles du Hezbollah au Liban, au lendemain de bombardements meurtriers qui ont fait plus de 550 morts et provoqué la fuite de dizaines de milliers de personnes, ont porté l'inquiétude à son comble dans la région comme dans le monde.
La tension est à son comble au Moyen-Orient.
Depuis le début de la guerre contre le Hamas à Gaza et le Hezbollah dans le Sud-Liban, l’armée israélienne a renforcé ses opérations de brouillage des télécommunications. Et notamment des signaux GPS qui permettent de guider les missiles et drones. Quitte à perturber profondément la vie quotidienne des Libanais et des Israéliens.
Le média américain, qui cite plusieurs sources, affirme que les services de l’Etat hébreu ont réussi à insérer de petits explosifs dans 3 000 bipeurs lors de leur fabrication, avant qu’un message ne déclenche la détonation mardi après-midi.
Sur le TikTok libanais, des vidéos de braconniers abattant des oiseaux migrateurs dans le nord du pays sont devenues monnaie courante. Mais derrière cette sordide tendance, ce sont près de 2,6 millions de volatiles qui meurent chaque année. Une situation extrême qui inquiète les associations locales de protection des oiseaux.
La formation alliée à l’Iran a dit avoir lancé « plus de 320 » roquettes sur des bases militaires en Israël, « première phase » de sa riposte à la mort de Fouad Chokr, haut chef militaire tué dans une frappe israélienne sur Beyrouth le 30 juillet. L’état d’urgence est décrété dans tout l’Etat hébreu pour quarante-huit heures.
Israël a affirmé avoir déjoué dimanche une attaque à grande échelle du Hezbollah en menant de multiples frappes au Liban, mais le mouvement libanais a dit avoir réussi à lancer des centaines de drones et de roquettes sur des positions israéliennes pour venger la mort d'un de ses chefs.
La dernière centrale électrique fonctionnelle du Liban a été contrainte de fermer en raison d’un manque de pétrole. Cet arrêt des activités a entraîné une panne d’électricité sur l’ensemble du territoire libanais, a indiqué samedi la compagnie d’électricité du pays.
Entre le Hezbollah et Israël, dix mois de violences transfrontalières causent des centaines de morts
(15/08) - Le Monde,Afp,Près de 400 combattants du Hezbollah ont été tués en marge de la guerre à Gaza, des pertes supérieures à celles du conflit de 2006.
Cette riposte, qui n’a pas fait de victimes, fait suite au bombardement par l’Etat hébreu de la localité libanaise de Chamaa, où quatre Syriens ont trouvé la mort.
Une roquette tirée depuis le Liban sur le plateau du Golan annexé par Israël a fait onze morts samedi, a indiqué l'armée israélienne, accusant le Hezbollah libanais d'en être à l'origine. Celui-ci a affirmé n'avoir "aucun lien" avec le tir de roquette meurtrier.
Plusieurs frappes israéliennes ont touché le Liban la nuit dernière, en riposte au tir de roquette attribué au Hezbollah qui a tué 12 enfants et adolescents, samedi 27 juillet, dans la petite ville druze de Majdal Shams. Jamais, depuis octobre dernier, le risque d’escalade n’avait paru aussi élevé, souligne la presse internationale.
Le Hezbollah libanais a déclaré avoir tiré "plus de 200 roquettes de différentes sortes" sur cinq positions israéliennes jeudi en représailles à la mort dans le sud du Liban d’un haut commandant du mouvement chiite libanais, tué dans une frappe israélienne.
Le Hezbollah libanais a annoncé dimanche avoir bombardé le Golan occupé, pour la deuxième fois en l’espace de quelques...
Le Hezbollah et son allié Amal ont annoncé mercredi soir huit morts dans leurs rangs, parmi lesquels des secouristes, dans des frappes israéliennes dans le sud du Liban portant à 16 le nombre de victimes d'une journée d'échanges de tirs transfrontaliers.
Un couple et leurs deux enfants, membres de la milice chiite, vivaient dans la maison rasée par le raid israélien, à Kherbet Selm au Liban. Au moins neuf blessés ont par ailleurs été décomptés.
Quatre civils, dont une femme et deux enfants, ont été tués et neuf personnes blessées mercredi dans des raids israéliens sur le sud du Liban, a indiqué une source de sécurité libanaise à l'AFP.
Le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, a averti mercredi qu’une "confrontation totale" entre Israël et le Liban serait un "désastre complet", sur fond de craintes d’un embrasement dans la région. S’adressant au Forum économique mondial dans la station alpine suisse de Davos, Antonio Guterres a réitéré son appel à un "cessez-le-feu humanitaire immédiat" à Gaza. Les combats ont ravagé Gaza depuis les attaques sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre. Depuis lors, la frontière libano-israélienne est le théâtre d’échanges de tirs quasi quotidiens entre l’armée israélienne et le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié du Hamas. "Les retombées qui se produisent déjà, le risque d’une véritable confrontation au Liban, ce serait un désastre total. Nous devons l’éviter à tout prix", a déclaré António Guterres.
Saleh al-Arouri, un haut dirigeant du Hamas tué au Liban dans une attaque de drone attribuée à Israël, a joué un rôle clé dans le développement des capacités militaires du mouvement islamiste palestinien et de ses liens avec des alliés régionaux.
Les médias officiels libanais affirment qu’un drone israélien a provoqué une explosion en de la capitale, causant la mort de Saleh el-Arouri, l’un des leaders du mouvement islamiste palestinien, ainsi que de six autres personnes.
Plusieurs civils ont été tués samedi 14 et dimanche 15 octobre des deux côtés de la frontière entre le sud du Liban et le nord d’Israël. L’armée israélienne a notamment répondu par des bombardements à des infiltrations terrestres du Hezbollah.
Depuis plusieurs années, de nouvelles espèces non indigènes colonisent les eaux de l’est de la Méditerranée. Cette invasion modifie profondément l’écosystème de la zone, au grand dam des pêcheurs libanais et syriens, explique le site “Daraj”.
TotalEnergies et le géant italien des hydrocarbures Eni ont signé un accord-cadre avec Israël sur le champ gazier partagé avec le Liban, a annoncé mardi le groupe français dans un communiqué. L'accord cadre vise à "mettre en œuvre l'accord sur la frontière maritime qui a été finalisé entre Israël et le Liban le 27 octobre 2022", précise le groupe français.
Il y a trois semaines, le pays du Cèdre, en pleine déliquescence, enregistrait son premier cas de choléra. La maladie était réapparue quelques semaines plus tôt en Syrie voisine. Depuis, elle se propage de manière inquiétante.
Le choléra avait disparu du Liban depuis 1993. Mais depuis un mois, elle refait surface. D’abord cantonnée aux camps de réfugiés du nord du pays, où se concentrent un peu plus d’un million de Syriens, la maladie s’est propagée à une vitesse phénoménale et touche désormais d’autres régions du pays. Dans le pays du Cèdre, en proie à une profonde crise économique, les ONG redoutent que le système de santé, déjà à genoux, ne puisse prendre en charge la vague épidémique.
Sur fond d'intenses tractations diplomatiques pour déterminer sa frontière maritime avec le Liban voisin, Israël se prépare à activer le gisement gazier offshore de Karish, étape clé devant doper ses exportations de gaz naturel vers l'Europe. Le Liban et Israël, pays voisins officiellement en état de guerre, négocient depuis deux ans par l'intermédiaire des États-Unis pour délimiter leur frontière maritime et lever les obstacles à la prospection d'hydrocarbures sur un gisement offshore controversé en Méditerranée orientale.
L’effondrement socio-économique en cours au Liban a mis sur la paille des pans entiers de la population et fragilisé encore plus les segments défavorisés du pays. En l’absence d’un système de protection sociale et d’accès au logement, certains se retrouvent à la rue, raconte le site “Raseef22”.
Un procureur libanais a ordonné samedi la saisie d'un navire battant pavillon syrien qui a accosté dans un port du nord du pays avec une cargaison de céréales ukrainiennes "volées", selon l'ambassade de Kiev à Beyrouth.
Le Liban, qui connaît la pire crise financière de son histoire, a signé mardi un accord final pour importer du gaz naturel d'Egypte via la Syrie afin de réduire les coupures de courant quotidiennes, pouvant atteindre plus de 22 heures par jour.
Le Liban doit empêcher Israël d'extraire du gaz d'un champ offshore controversé, a déclaré jeudi soir le chef du mouvement chiite Hezbollah, mettant en garde une société d'exploration gazière mandatée par Israël contre le lancement d'une telle opération. "L'objectif immédiat devrait être d'empêcher l'ennemi d'extraire du pétrole et du gaz sur le champ gazier de Karish", a déclaré Hassan Nasrallah lors d'un discours télévisé.
L’Afghanistan comptait 5 000 entreprises avant la prise du pouvoir par les Taliban le 15 août dernier. Depuis, près de 2 000 d’entre elles ont fermé leurs portes, laissant des milliers de personnes au chômage. Reportage à Kaboul de Sonia Ghezali et Shahzaib Wahlah.
L’effondrement économique au Liban pousse la population à redécouvrir des vieux métiers délaissés voire oubliés à cause de la mondialisation. Les cordonniers, tapissiers, fermiers font leur retour et remplacent les boutiques de prêt-à-porter ou d’électroménager.
À cause d’une crise économique gravissime et de mauvaises récoltes dues à la sécheresse, les Afghans sont proches de la famine. Depuis l’arrivée des talibans au pouvoir, la population s’enfonce dans la pauvreté.