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Les activités d’extraction minière en Equateur ravagent les écosystèmes et la santé des habitants de la région amazonienne, la plus pauvre du pays.
Une nappe dense et huileuse recouvre en partie un estuaire de la réserve naturelle Yasuni, en Amazonie équatorienne, où le peuple indigène Waorani réclame à cor et à cri l'arrêt de l'extraction du pétrole. "Il est temps de dire ça suffit, ils ont assez abusé de nous", clame auprès de l'AFP Ene Nenquimo, la vice-présidente de l'organisation Nacionalidad Waorani (Nawe), des plumes multicolores sur la tête.
Des indigènes Waorani et des ONG ont exigé mardi la suspension de l'extraction pétrolière dans une région emblématique d'Amazonie équatorienne, en application du résultat d'un référendum d'août 2023 en ce sens que le gouvernement affirme vouloir respecter.Que le vote « soit respecté »"Tout l’Équateur a dit qu'il ne voulait plus de l'extractivisme dans le bloc 43", a déclaré Zenaida Yasacama, vice-présidente de la puissante Confédération des nationalités indigènes de l'Equateur (Conaie), à l'occasion d'une manifestation à Quito.
Les Equatoriens approuvent l'arrêt d'un gisement pétrolier emblématique dans une réserve amazonienne
- AfpC'est une "décision historique" se félicitent les défenseurs de l'Amazonie: une majorité d'Equatoriens a voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur.Lors d'un référendum organisé dimanche, parallèlement à des élections générales anticipées, les Equatoriens ont dit oui à 59% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les résultats publiés lundi.
- Novethic
En Équateur, les électeurs ont voté dimanche pour le premier tour des élections présidentielles et législatives ainsi que pour un référendum sur l’exploitation du pétrole dans le parc amazonien Yasuni. 58,9 % d’entre eux ont répondu oui à la question : faut-il laisser indéfiniment cette source brute d’énergie fossile dans le sous-sol ? Une victoire pour les écologistes et le climat dans ce pays lourdement marqué par la pollution pétrolière.
Une majorité d'Equatoriens ont voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur, a-t-on appris lundi de source officielle.Lors d'un référendum organisé dimanche parallèlement à des élections générales anticipées, les électeurs ont dit oui à 58,99% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les derniers résultats publiés lundi matin et portant sur 93% des bulletins valides.
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L'avertissement est clair, en langue waorani c'est un chant de guerre: "nous n'autoriserons pas les +kowori+ (étrangers) à pénétrer dans le bloc 43". Mais pour une fois, il ne s'adresse pas aux entreprises pétrolières, mais à des défenseurs de l'environnement.Dans la réserve naturelle de Yasuni, dans le nord-est amazonien de l'Equateur, un référendum le 20 août sur la suspension de l'exploitation pétrolière divise, y compris au sein des communautés indigènes.
- Afp
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Des pluies torrentielles, les plus fortes enregistrées depuis une vingtaine d’années, ont frappé le 31 janvier la capitale équatorienne pendant près de dix-sept heures.
Le pétrole a jailli dès que l'énorme roche a explosé le tuyau, racontent les ouvriers. Dans le nord-est de l'Equateur, le brut qui s'écoule depuis des jours d'un oléoduc endommagé par une chute de pierre empoisonne lentement la jungle amazonienne.
- Afp
Près de 6.300 barils de pétrole se sont déversés dans une réserve environnementale de l'Amazonie équatorienne après la rupture d'un oléoduc en fin de semaine dernière dans cette région du nord-est de l'Equateur, a annoncé mercredi la société privée OCP.
Nouvelle urgence écologique dans la jungle amazonienne: le pétrole qui se déverse d'un oléoduc endommagé depuis vendredi dans l'Amazonie équatorienne a touché une aire naturelle protégée et une rivière qui alimente en eau plusieurs villages de cette région du nord-est de l’Équateur. "La zone touchée est située dans le parc national de Cayambe-Coca et, selon le zonage, le déversement de pétrole a eu lieu dans la zone de protection", a annoncé dans un communiqué le ministère de l'Environnement.
Le pétrole qui se déverse d'un oléoduc endommagé depuis vendredi dans l'Amazonie équatorienne a touché une aire naturelle protégée et une rivière qui alimente en eau plusieurs villages de cette région de jungle du nord-est de l'Equateur, a annoncé lundi le ministère de l'Environnement.
Le président équatorien a signé un décret ajoutant 60 000 km2 de surface à ce paradis de la biodiversité de l’océan Pacifique.
Dans un entretien exclusif à l'AFP, dans le village de la jungle équatorienne d'Union Base (centre), à cinq heures de route de Quito, le chef de l'Organe de coordination des organisations autochtones du bassin de l'Amazone (Coica) appelle les pays développés présents à la COP26, la prochaine conférence sur le climat à Glasgow (Ecosse), à collaborer avec les peuples autochtones pour sauvegarder les 8,4 millions de km2 de l'Amazonie.
L’Amazonie équatorienne est (encore) menacée. L’exploitation frénétique des forêts primaires, pour abattre du bois destiné à fabriquer les pales de générateurs éoliens, affecte directement les écosystèmes dont dépendent de nombreuses communautés amazoniennes : habitats d’animaux protégés menacés, hausse de l’exploitation illégale, précarisation des travailleurs...
Depuis 2008, grâce à la Constitution équatorienne de Montecristi, se développe une nouvelle étape pour le constitutionnalisme latino-américain. Partant de l’idée que l’humain doit être en harmonie avec la nature pour bien vivre, celui-ci fait de la nature un sujet de droit placé au même niveau que la vie humaine. Cette reconnaissance transforme en profondeur les conceptions juridiques dominantes et se diffuse à travers le monde.
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Les activités d’extraction minière en Equateur ravagent les écosystèmes et la santé des habitants de la région amazonienne, la plus pauvre du pays.
Une nappe dense et huileuse recouvre en partie un estuaire de la réserve naturelle Yasuni, en Amazonie équatorienne, où le peuple indigène Waorani réclame à cor et à cri l'arrêt de l'extraction du pétrole. "Il est temps de dire ça suffit, ils ont assez abusé de nous", clame auprès de l'AFP Ene Nenquimo, la vice-présidente de l'organisation Nacionalidad Waorani (Nawe), des plumes multicolores sur la tête.
Des indigènes Waorani et des ONG ont exigé mardi la suspension de l'extraction pétrolière dans une région emblématique d'Amazonie équatorienne, en application du résultat d'un référendum d'août 2023 en ce sens que le gouvernement affirme vouloir respecter.Que le vote « soit respecté »"Tout l’Équateur a dit qu'il ne voulait plus de l'extractivisme dans le bloc 43", a déclaré Zenaida Yasacama, vice-présidente de la puissante Confédération des nationalités indigènes de l'Equateur (Conaie), à l'occasion d'une manifestation à Quito.
Les Equatoriens approuvent l'arrêt d'un gisement pétrolier emblématique dans une réserve amazonienne
(22/08) - AfpC'est une "décision historique" se félicitent les défenseurs de l'Amazonie: une majorité d'Equatoriens a voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur.Lors d'un référendum organisé dimanche, parallèlement à des élections générales anticipées, les Equatoriens ont dit oui à 59% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les résultats publiés lundi.
En Équateur, les électeurs ont voté dimanche pour le premier tour des élections présidentielles et législatives ainsi que pour un référendum sur l’exploitation du pétrole dans le parc amazonien Yasuni. 58,9 % d’entre eux ont répondu oui à la question : faut-il laisser indéfiniment cette source brute d’énergie fossile dans le sous-sol ? Une victoire pour les écologistes et le climat dans ce pays lourdement marqué par la pollution pétrolière.
Une majorité d'Equatoriens ont voté pour l'arrêt de la production pétrolière dans un gisement emblématique de la réserve amazonienne de Yasuni, dans l'est de l'Equateur, a-t-on appris lundi de source officielle.Lors d'un référendum organisé dimanche parallèlement à des élections générales anticipées, les électeurs ont dit oui à 58,99% à l'arrêt de la production du "bloc 43", selon les derniers résultats publiés lundi matin et portant sur 93% des bulletins valides.
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L'avertissement est clair, en langue waorani c'est un chant de guerre: "nous n'autoriserons pas les +kowori+ (étrangers) à pénétrer dans le bloc 43". Mais pour une fois, il ne s'adresse pas aux entreprises pétrolières, mais à des défenseurs de l'environnement.Dans la réserve naturelle de Yasuni, dans le nord-est amazonien de l'Equateur, un référendum le 20 août sur la suspension de l'exploitation pétrolière divise, y compris au sein des communautés indigènes.
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Des pluies torrentielles, les plus fortes enregistrées depuis une vingtaine d’années, ont frappé le 31 janvier la capitale équatorienne pendant près de dix-sept heures.
Le pétrole a jailli dès que l'énorme roche a explosé le tuyau, racontent les ouvriers. Dans le nord-est de l'Equateur, le brut qui s'écoule depuis des jours d'un oléoduc endommagé par une chute de pierre empoisonne lentement la jungle amazonienne.
Près de 6.300 barils de pétrole se sont déversés dans une réserve environnementale de l'Amazonie équatorienne après la rupture d'un oléoduc en fin de semaine dernière dans cette région du nord-est de l'Equateur, a annoncé mercredi la société privée OCP.
Nouvelle urgence écologique dans la jungle amazonienne: le pétrole qui se déverse d'un oléoduc endommagé depuis vendredi dans l'Amazonie équatorienne a touché une aire naturelle protégée et une rivière qui alimente en eau plusieurs villages de cette région du nord-est de l’Équateur. "La zone touchée est située dans le parc national de Cayambe-Coca et, selon le zonage, le déversement de pétrole a eu lieu dans la zone de protection", a annoncé dans un communiqué le ministère de l'Environnement.
Le pétrole qui se déverse d'un oléoduc endommagé depuis vendredi dans l'Amazonie équatorienne a touché une aire naturelle protégée et une rivière qui alimente en eau plusieurs villages de cette région de jungle du nord-est de l'Equateur, a annoncé lundi le ministère de l'Environnement.
Le président équatorien a signé un décret ajoutant 60 000 km2 de surface à ce paradis de la biodiversité de l’océan Pacifique.