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On les pensait inoffensifs, voire protecteurs. Et pourtant, les nuages qui survolent les océans semblent de moins en moins capables de renvoyer la lumière solaire vers l’espace. En clair : ils laissent passer plus de chaleur, contribuant à un réchauffement accru de la planète. Un phénomène récemment mis en lumière par des chercheurs britanniques, qui soulève un paradoxe troublant : et si l’air plus propre que nous respirons aujourd’hui… favorisait indirectement le changement climatique ?
Les conditions climatiques menacent de plus en plus les infrastructures ferroviaires, alors que le train est appelé à jouer un rôle majeur pour lutter contre le réchauffement. Et la France tarde à agir.
L’Union internationale pour la conservation de la nature a actualisé, ce jeudi 27 mars, sa liste rouge des espèces menacées, en y incluant les champignons, «héros méconnus de la vie sur Terre».
Les scientifiques d’un observatoire américain de référence estiment que sa taille maximale annuelle, atteinte le 22 mars, est la plus petite mesurée en plus de quatre décennies de surveillance satellitaire.
L’Agence internationale de l’énergie conforte un paradoxe bien connu dans son dernier rapport. Le déploiement de technologies bas carbone limite la hausse des émissions de gaz à effet de serre, mais les besoins des pays émergents contribuent à accroître la demande énergétique, relève Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Après une décennie de procédure, un agriculteur péruvien, Saul Luciano Lliuya, fait face, à partir de ce lundi 17 mars devant la justice allemande, au géant de l’énergie qu’il somme de réparer les effets du réchauffement. Les ONG qui l’épaulent voudraient en faire un cas emblématique de la lutte climatique.
Alors que l’administration Trump s’attaque chaque jour un peu plus à la science et qu’en France, l’écologie est marginalisée par les questions de défense et d’économie, l’Union européenne, soucieuse de renforcer sa souveraineté, doit absolument poursuivre ses objectifs environnementaux et ses investissements dans les énergies propres.
Jean-François Soussana, le président de l’instance consultative indépendante, estime, dans un entretien au « Monde », que le plan, présenté lundi 10 mars par le gouvernement, ne propose pas assez d’adaptations de grande ampleur et que les financements restent très insuffisants.
Le gouvernement présente lundi la version finale du plan national d’adaptation au changement climatique, qui vise à préparer les secteurs économique et social. Le littoral, la montagne, les secteurs agricole et forestier sont en première ligne.
L'étendue cumulée de la banquise autour des deux pôles a atteint un nouveau minimum historique en février 2025, un phénomène particulièrement marqué dans l'Arctique, alerte jeudi le réseau européen Copernicus. Ce recul est observé alors que la planète entame une troisième année d'affilée avec des records de températures.
Calottes râpées. Le courant océanique circumpolaire antarctique pourrait perdre en intensité à cause de la fonte des glaces de l’Antarctique, révèle une nouvelle étude. Au risque d’accentuer la variabilité du climat.
La capacité de la biosphère à absorber le CO2 diminue depuis son pic en 2008, reculant de 0,25 % par an, révèle une étude. Une tendance inquiétante qui pourrait aggraver le réchauffement climatique.
Avec le réchauffement climatique, l’augmentation de l’énergie dans l’atmosphère génère des vents plus forts et des tempêtes plus violentes, ce qui entraîne des vagues plus grosses et plus puissantes. Cela a des répercussions sur les écosystèmes marins, les côtes et même sur le climat global, car les vagues jouent un rôle clé dans le transport de la chaleur et du carbone à travers les océans.
Glaciers sans suite. La fonte mondiale des glaciers s’est accélérée dans la dernière décennie sous l’effet du réchauffement climatique, révèle une étude majeure publiée mardi. Avec d’importantes disparités selon les endroits du monde : les Alpes et les Pyrénées figurent parmi les massifs les plus touchés.
La planète a déjà connu, en 2024, une année au-dessus de 1,5 degré de réchauffement. Mais ce seuil fixé par l'accord de Paris va-t-il pour autant être franchi durablement? C'est probable car les températures récentes s'inscrivent dans une tendance de long terme, selon deux études publiées lundi.
Pour la première fois, une étude scientifique établit un lien entre la hausse des températures et l’explosion des populations de rats en milieu urbain.
Depuis 2023, les océans ont littéralement suffoqué en raison de températures extrêmes pendant plus d'une année. Mais que s'y passe-t-il ?
L'existence du réchauffement climatique causé par les gaz à effet de serre liés aux activités humaines fait l'objet d'un consensus depuis des dizaines d'années parmi les scientifiques. Il est néanmoins régulièrement remis en cause, notamment par le président américain Donald Trump dans une vidéo virale où il assure que les mots employés par les spécialistes ont varié au fil du temps, passant de "refroidissement global" à "réchauffement climatique" puis à "changement climatique". Sous-entendu: il n'y aurait en réalité aucun consensus. Mais ces propos sont trompeurs, déplorent plusieurs spécialistes du climat interrogés par l'AFP.
Un demi degré de réchauffement en plus (+2 °C) triplera la superficie de la Terre trop chaude et invivable pour l’homme.
Face à une accélération sans précédent du réchauffement des océans, symbole alarmant du changement climatique, les scientifiques tirent la sonnette d'alarme sur les conséquences pour notre planète.
Face à des prévisions alarmantes de réchauffement climatique atteignant potentiellement 3,7 °C d'ici 2100, l'urgence d'une action mondiale concertée pour limiter les émissions de gaz à effet de serre n'a jamais été aussi cruciale.
Des scientifiques ont observé une augmentation du nombre de rats dans plusieurs grandes villes à travers le monde, selon une étude.
Cyclones, hausse des températures, incendies... Face au réchauffement climatique, tous les indicateurs sont alarmants : rien ne va. Face à cela, le climatologue et ancien vice-président du GIEC Jean Jouzel est sans équivoque : "Nous regardons ailleurs".
La température moyenne de surface des océans ne cesse de battre des records, d’année en année. Mais cette évolution n’est pas progressive, elle est explosive, selon une nouvelle étude. Cependant, le rythme de réchauffement, déjà alarmant, que les océans ont connu ces dernières années, n'est pas représentatif du futur.
Une analyse rendue publique ce mardi 28 janvier par un réseau de scientifiques internationaux, World Weather Attribution (WWA), confirme que le changement climatique a notamment contribué à retarder la saison des pluies.
Selon les auteurs d’une étude relayée par “New Scientist”, la hausse de la température des océans est un signe que le changement climatique s’accélère.
Les agriculteurs jouent un rôle crucial dans la lutte contre le réchauffement climatique. En tant que principaux acteurs de l'agriculture, ils sont à la fois contributeurs aux émissions de gaz à effet de serre et victimes des impacts climatiques tels que la sécheresse, les incendies et la diminution des rendements…
Plus de 100 scientifiques ont élaboré six scénarios sur les régions riveraines de la Méditerranée en 2050. Si rien n'est fait, le réchauffement climatique pourrait les rendre inhabitables.
Un climatologue nous a contactés pour partager avec le public les changements climatiques qui se produisent en France. Il a constaté un réchauffement très rapide, particulièrement sur une période sensible pour la végétation. Vincent Cailliez, lauréat du prix André Prud’homme, décerné par la Société Météorologique de France (Météo et Climat), partage avec nous les conclusions de son travail.
Devenue une véritable source d'inspiration et une icône pour celles et ceux qui aujourd'hui font de l’urgence climatique et de l'écologie des priorités et des combats à mener, la pensée de l’anthropologue Philippe Descola est l’une des plus marquantes de notre temps.


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avril 2025

On les pensait inoffensifs, voire protecteurs. Et pourtant, les nuages qui survolent les océans semblent de moins en moins capables de renvoyer la lumière solaire vers l’espace. En clair : ils laissent passer plus de chaleur, contribuant à un réchauffement accru de la planète. Un phénomène récemment mis en lumière par des chercheurs britanniques, qui soulève un paradoxe troublant : et si l’air plus propre que nous respirons aujourd’hui… favorisait indirectement le changement climatique ?

mars 2025

Les conditions climatiques menacent de plus en plus les infrastructures ferroviaires, alors que le train est appelé à jouer un rôle majeur pour lutter contre le réchauffement. Et la France tarde à agir.
L’Union internationale pour la conservation de la nature a actualisé, ce jeudi 27 mars, sa liste rouge des espèces menacées, en y incluant les champignons, «héros méconnus de la vie sur Terre».
Les scientifiques d’un observatoire américain de référence estiment que sa taille maximale annuelle, atteinte le 22 mars, est la plus petite mesurée en plus de quatre décennies de surveillance satellitaire.
L’Agence internationale de l’énergie conforte un paradoxe bien connu dans son dernier rapport. Le déploiement de technologies bas carbone limite la hausse des émissions de gaz à effet de serre, mais les besoins des pays émergents contribuent à accroître la demande énergétique, relève Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Après une décennie de procédure, un agriculteur péruvien, Saul Luciano Lliuya, fait face, à partir de ce lundi 17 mars devant la justice allemande, au géant de l’énergie qu’il somme de réparer les effets du réchauffement. Les ONG qui l’épaulent voudraient en faire un cas emblématique de la lutte climatique.
Alors que l’administration Trump s’attaque chaque jour un peu plus à la science et qu’en France, l’écologie est marginalisée par les questions de défense et d’économie, l’Union européenne, soucieuse de renforcer sa souveraineté, doit absolument poursuivre ses objectifs environnementaux et ses investissements dans les énergies propres.
Jean-François Soussana, le président de l’instance consultative indépendante, estime, dans un entretien au « Monde », que le plan, présenté lundi 10 mars par le gouvernement, ne propose pas assez d’adaptations de grande ampleur et que les financements restent très insuffisants.
Le gouvernement présente lundi la version finale du plan national d’adaptation au changement climatique, qui vise à préparer les secteurs économique et social. Le littoral, la montagne, les secteurs agricole et forestier sont en première ligne.
L'étendue cumulée de la banquise autour des deux pôles a atteint un nouveau minimum historique en février 2025, un phénomène particulièrement marqué dans l'Arctique, alerte jeudi le réseau européen Copernicus. Ce recul est observé alors que la planète entame une troisième année d'affilée avec des records de températures.
Calottes râpées. Le courant océanique circumpolaire antarctique pourrait perdre en intensité à cause de la fonte des glaces de l’Antarctique, révèle une nouvelle étude. Au risque d’accentuer la variabilité du climat.

février 2025

La capacité de la biosphère à absorber le CO2 diminue depuis son pic en 2008, reculant de 0,25 % par an, révèle une étude. Une tendance inquiétante qui pourrait aggraver le réchauffement climatique.
Avec le réchauffement climatique, l’augmentation de l’énergie dans l’atmosphère génère des vents plus forts et des tempêtes plus violentes, ce qui entraîne des vagues plus grosses et plus puissantes. Cela a des répercussions sur les écosystèmes marins, les côtes et même sur le climat global, car les vagues jouent un rôle clé dans le transport de la chaleur et du carbone à travers les océans.
Glaciers sans suite. La fonte mondiale des glaciers s’est accélérée dans la dernière décennie sous l’effet du réchauffement climatique, révèle une étude majeure publiée mardi. Avec d’importantes disparités selon les endroits du monde : les Alpes et les Pyrénées figurent parmi les massifs les plus touchés.
La planète a déjà connu, en 2024, une année au-dessus de 1,5 degré de réchauffement. Mais ce seuil fixé par l'accord de Paris va-t-il pour autant être franchi durablement? C'est probable car les températures récentes s'inscrivent dans une tendance de long terme, selon deux études publiées lundi.