Veille 2.1

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Un appel à la participation et au dialogue "entre toutes les parties" a marqué le premier sommet international pour la paix en Ukraine, qui s'est tenu ce week-end à Genève en l'absence de la Russie. Forte du soutien de la très grande majorité des participants, la déclaration finale réaffirme également "les principes de souveraineté, d'indépendance et d'intégrité territoriale de tous les États, y compris l'Ukraine".
Alors que les pays occidentaux sont de plus en plus favorables à autoriser l'Ukraine à utiliser leurs armes pour frapper la Russie, Vladimir Poutine a menacé mercredi, lors d'une interview avec une quinzaine d'agences de presse, de livrer des armes à des pays tiers susceptibles de frapper ces mêmes intérêts occidentaux.
Alors que l’armée ukrainienne connaît des revers sur les fronts est et nord-est, de nombreux observateurs du conflit s’interrogent sur les choix de l’état-major ukrainien. Au centre du débat, les fortifications ukrainiennes qui seraient insuffisantes. Entre le manque de moyens et la corruption, des Ukrainiens évoquent plusieurs explications possibles. La rédaction des Observateurs fait le point sur cet aspect central de la guerre contre la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué vendredi "un pas en avant" après le feu vert donné par les États-Unis pour que Kiev utilise des armes fournies par les Américains pour frapper, sous conditions, des cibles sur le sol russe. L'aide militaire fournie par les pays de l'Otan à l'Ukraine doit au minimum atteindre les 40 milliards d'euros par an, a par ailleurs déclaré depuis Prague le secrétaire général de l'Alliance, Jens Stoltenberg.
Le président français Emmanuel Macron a affirmé mardi vouloir permettre aux Ukrainiens de "neutraliser" les bases en Russie d'où sont tirés des missiles sur l'Ukraine. En réponse, Vladimir Poutine a menacé de "graves conséquences" en cas d'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
L'armée russe a annoncé mardi avoir débuté près de l'Ukraine des exercices militaires sur l'utilisation d'armes nucléaires tactiques, ordonnés début mai par le président Vladimir Poutine, en assurant qu'il s'agissait d'une réponse aux "menaces" occidentales.
Kiev a annoncé, dans la nuit de mardi à mercredi, que son armée a dû se replier "dans certaines zones" du front nord-est dans la région de Kharkiv. Les Russes ont, de leur côté, avoir repris la localité symbolique de Robotyné, dans le sud ukrainien. Par ailleurs, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui était attendu le 17 mai à Madrid, a annulé sa venue.
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé lundi l'organisation d'exercices militaires à proximité de l'Ukraine. Il a par ailleurs menacé de frapper "toute installation ou équipement militaire britannique sur le territoire ukrainien et au-delà", si Kiev utilisait des "armes britanniques" contre des cibles en Russie.
Les États-Unis ont accusé, mercredi, la Russie d’utiliser la chloropicrine comme arme chimique contre les soldats ukrainiens. Interdit par la Convention internationale sur les armes chimiques, ce composé est un puissant irritant qui peut être mortel à forte dose.
Dans un entretien au journal russe indépendant Novaya Gazeta publié vendredi, le ministre français des Affaires étrangères a affirmé que 150 000 soldats russes avaient perdu la vie depuis le début de la guerre en Ukraine. "L'échec militaire de la Russie est déjà là", a martelé Stéphane Séjourné.
Le président français a de nouveau assumé la possibilité d'envoyer des troupes occidentales au sol en Ukraine, estimant dans un entretien publié jeudi par The Economist qu'il faudrait "se poser la question" si Moscou "allait percer les lignes de front" et que Kiev le demandait.
Le plan d'aide à l'Ukraine voté samedi par la Chambre des représentants des États-Unis montre que l'Ukraine ne sera pas "un deuxième Afghanistan", a assuré le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans l'émission "Meet the press" diffusée dimanche sur la chaîne NBC. Cette déclaration intervient après l'adoption la veille d'un plan d'aide américain à l'Ukraine de près de 61 milliards de dollars.
L'Ukraine a lancé des drones sur plusieurs régions russes dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-elle annoncé dans la matinée, touchant un dépôt de carburant. En parallèle, les deux pays s'accusent mutuellement d'attaques contre des civils.
La Russie a lancé plus de 40 missiles et 40 drones contre l'Ukraine dans la nuit de mercredi à jeudi, ciblant ses "infrastructures essentielles", a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky. La région de Kiev a été "massivement attaquée", a rapporté le chef de l'administration militaire locale.
L'un des dômes de la centrale de Zaporijjia a été touché par une frappe dimanche, selon les autorités prorusses qui contrôlent les lieux. Elles assurent également qu'un drone a explosé près de la cantine de la centrale, endommageant un camion garé à proximité.
Le 7 avril 2014, dans l’est de l’Ukraine, un coup de force de militants pro-russes dans la ville de Donetsk enclenche la guerre du Donbass. Au cœur de ce bassin industriel, peuplé alors par 6 millions d’habitants majoritairement russophones, l’affrontement militaire entre l’expansionnisme russe et les aspirations de l’Ukraine à l’indépendance commence. Zone de guerre, le Donbass est devenu en dix ans un champ de ruines où la russification est imposée avec brutalité.
En Ukraine, dans les tranchées du sud du pays, des lignes de défense sont fortifiées à la hâte dans la région de Zaporijjia. Le gouvernement ukrainien a annoncé un budget de plus de 500 millions d'euros pour creuser et construire au plus vite des lignes de défense sur plus de 2 000 kilomètres de long.
La Russie a lancé dimanche des attaques aériennes contre Kiev et la région de Lviv, d'après des responsables ukrainiens. La Pologne a dénoncé le survol de son territoire lors de cette attaque contre l'ouest de l'Ukraine, affirmant que des missiles russes avaient violé l'espace aérien polonais.
La Russie est "en état de guerre" en Ukraine, a reconnu le porte-parole du Kremlin dans une interview parue vendredi, changeant de terminologie deux ans après le début de l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, présentée jusqu'ici par Moscou comme une "opération spéciale".
Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, a utilisé pour la première fois le terme de "guerre" pour désigner la situation en Ukraine. Moscou n’abandonne pas pour autant la notion d'"opération spéciale", mais y ajoute une nouvelle réalité alternative permettant de préparer le pays à une mobilisation massive.
Une nouvelle attaque de drone a visé mercredi un site énergétique en Russie tandis que des volontaires russes combattant pour l'Ukraine annonçaient des frappes sur deux grandes villes russes situées près de la frontière ukrainienne. Une multiplication d'attaques destinée à saper la présidentielle russe, a accusé Vladimir Poutine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a donné lundi une interview à la chaîne BFMTV et au quotidien Le Monde dans laquelle il a estimé que "l'avancée de la Russie a été stoppée" et que la situation était "bien meilleure" sur le front.
La Gagaouzie pourrait-elle devenir une seconde Transnistrie ? C'est ce que l'on pourrait penser après que la gouverneure de cette petite région de Moldavie a reçu l’assurance de Moscou de la soutenir contre “les actions illégales” du gouvernement moldave. France 24 fait le point sur cette nouvelle porte d'entrée pour les opérations de déstabilisation russes.
À l'occasion d'une rencontre à Istanbul avec Volodymyr Zelensky, vendredi, Recep Tayyip Erdogan s'est dit prêt à accueillir un sommet Russie-Ukraine. Le président turc se présente depuis le début du conflit comme un intermédiaire entre les belligérants. Il a toutefois réitéré son soutien à l'intégrité territoriale de l'Ukraine, son "allié stratégique".
Nouvelle opération de sabotage en Russie. Le renseignement militaire ukrainien (GUR) a affirmé lundi 4 mars avoir endommagé un pont ferroviaire dans la région russe de Samara (Volga), à plus de 750 km de la frontière ukrainienne, assurant que cette action ralentissait le transport de matériel militaire.
Il y a 10 ans, presque sans un coup de feu, la Fédération de Russie arrachait en à peine trois semaines la péninsule de Crimée à l’Ukraine. Avec ce coup de force magistral, Vladimir Poutine défiait les Occidentaux, partagés alors entre désintérêt et impuissance. Retour sur l’acte 1 du projet russe de mise au pas de cette ancienne république soviétique.
À une heure de Madrid, le Toledo Training Command est l’un des plus grands centres d’entraînement militaire d'Europe. Des centaines de civils ukrainiens qui ont choisi de partir pour le front sont formés dans cette base dans le cadre de la Mission d’assistance militaire de l’UE en soutien à l’Ukraine (Eumam), créée en octobre 2022. L’Espagne est l’un des meilleurs élèves en matière de formation : elle offre le plus grand nombre de modules militaires – dix cours différents – et a déjà entraîné 4 000 soldats ukrainiens. Un reportage de Rémi Cadoret, Armelle Exposito et Bertrand Aguirre.
Terminal gazier d’Oust-Louga, raffineries de Touapsé et de Volgograd... Depuis début janvier, les attaques de drones ukrainiens visant des infrastructures énergétiques russes se multiplient. Selon le recensement effectué par notre rédaction, au moins huit d’entre elles ont pris feu en raison de ces attaques. Un moyen, pour Kiev, de démontrer sa puissance militaire et de tenter d’affaiblir l’économie russe, analyse Benjamin Schmitt, expert en énergie. 
Deux ans après le déclenchement de l'invasion russe le 24 février 2022, le manque d'hommes et de munitions ainsi que la profondeur des lignes de fortifications érigées par Moscou contraignent l'Ukraine à adopter une stratégie défensive en attendant des jours meilleurs.
L'incident se serait déroulé il y a un mois, en mer Noire. Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a dénoncé jeudi 22 février des menaces russes contre des patrouilles françaises.


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France guerre ukraine

juin 2024

Un appel à la participation et au dialogue "entre toutes les parties" a marqué le premier sommet international pour la paix en Ukraine, qui s'est tenu ce week-end à Genève en l'absence de la Russie. Forte du soutien de la très grande majorité des participants, la déclaration finale réaffirme également "les principes de souveraineté, d'indépendance et d'intégrité territoriale de tous les États, y compris l'Ukraine".
Alors que les pays occidentaux sont de plus en plus favorables à autoriser l'Ukraine à utiliser leurs armes pour frapper la Russie, Vladimir Poutine a menacé mercredi, lors d'une interview avec une quinzaine d'agences de presse, de livrer des armes à des pays tiers susceptibles de frapper ces mêmes intérêts occidentaux.
Alors que l’armée ukrainienne connaît des revers sur les fronts est et nord-est, de nombreux observateurs du conflit s’interrogent sur les choix de l’état-major ukrainien. Au centre du débat, les fortifications ukrainiennes qui seraient insuffisantes. Entre le manque de moyens et la corruption, des Ukrainiens évoquent plusieurs explications possibles. La rédaction des Observateurs fait le point sur cet aspect central de la guerre contre la Russie.

mai 2024

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué vendredi "un pas en avant" après le feu vert donné par les États-Unis pour que Kiev utilise des armes fournies par les Américains pour frapper, sous conditions, des cibles sur le sol russe. L'aide militaire fournie par les pays de l'Otan à l'Ukraine doit au minimum atteindre les 40 milliards d'euros par an, a par ailleurs déclaré depuis Prague le secrétaire général de l'Alliance, Jens Stoltenberg.
Le président français Emmanuel Macron a affirmé mardi vouloir permettre aux Ukrainiens de "neutraliser" les bases en Russie d'où sont tirés des missiles sur l'Ukraine. En réponse, Vladimir Poutine a menacé de "graves conséquences" en cas d'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
L'armée russe a annoncé mardi avoir débuté près de l'Ukraine des exercices militaires sur l'utilisation d'armes nucléaires tactiques, ordonnés début mai par le président Vladimir Poutine, en assurant qu'il s'agissait d'une réponse aux "menaces" occidentales.
Kiev a annoncé, dans la nuit de mardi à mercredi, que son armée a dû se replier "dans certaines zones" du front nord-est dans la région de Kharkiv. Les Russes ont, de leur côté, avoir repris la localité symbolique de Robotyné, dans le sud ukrainien. Par ailleurs, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui était attendu le 17 mai à Madrid, a annulé sa venue.
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé lundi l'organisation d'exercices militaires à proximité de l'Ukraine. Il a par ailleurs menacé de frapper "toute installation ou équipement militaire britannique sur le territoire ukrainien et au-delà", si Kiev utilisait des "armes britanniques" contre des cibles en Russie.
Dans un entretien au journal russe indépendant Novaya Gazeta publié vendredi, le ministre français des Affaires étrangères a affirmé que 150 000 soldats russes avaient perdu la vie depuis le début de la guerre en Ukraine. "L'échec militaire de la Russie est déjà là", a martelé Stéphane Séjourné.
Le président français a de nouveau assumé la possibilité d'envoyer des troupes occidentales au sol en Ukraine, estimant dans un entretien publié jeudi par The Economist qu'il faudrait "se poser la question" si Moscou "allait percer les lignes de front" et que Kiev le demandait.
Les États-Unis ont accusé, mercredi, la Russie d’utiliser la chloropicrine comme arme chimique contre les soldats ukrainiens. Interdit par la Convention internationale sur les armes chimiques, ce composé est un puissant irritant qui peut être mortel à forte dose.

avril 2024

Le plan d'aide à l'Ukraine voté samedi par la Chambre des représentants des États-Unis montre que l'Ukraine ne sera pas "un deuxième Afghanistan", a assuré le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans l'émission "Meet the press" diffusée dimanche sur la chaîne NBC. Cette déclaration intervient après l'adoption la veille d'un plan d'aide américain à l'Ukraine de près de 61 milliards de dollars.
L'Ukraine a lancé des drones sur plusieurs régions russes dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-elle annoncé dans la matinée, touchant un dépôt de carburant. En parallèle, les deux pays s'accusent mutuellement d'attaques contre des civils.
La Russie a lancé plus de 40 missiles et 40 drones contre l'Ukraine dans la nuit de mercredi à jeudi, ciblant ses "infrastructures essentielles", a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky. La région de Kiev a été "massivement attaquée", a rapporté le chef de l'administration militaire locale.
L'un des dômes de la centrale de Zaporijjia a été touché par une frappe dimanche, selon les autorités prorusses qui contrôlent les lieux. Elles assurent également qu'un drone a explosé près de la cantine de la centrale, endommageant un camion garé à proximité.