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Kakhovka

juin 2023

Les inondations causées par l’explosion du barrage augmentent le risque de faire apparaître des maladies hydriques particulièrement dangereuses, dont le choléra ou la typhoïde.
Les Russes sont accusés par les Nations unies de bloquer les opérations de sauvetage internationales autour du barrage détruit de Kakhovka. Pour le Kremlin, il s’agit avant tout d’assurer la sécurité des représentants de l’ONU.
Dans un communiqué publié dimanche 18 juin, la coordinatrice des Nations unies pour l'Ukraine, Denise Brown, déplore de ne pouvoir accéder à certaines zones.
Le chef de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est arrivé à Zaporijjia pour évaluer les dégâts suite à l’effondrement du barrage de Kakhovka.
L'AIEA a réitéré dimanche, face à des données divergentes, sa demande d'accès au site où est mesuré le niveau de l'eau du réservoir utilisée pour refroidir les réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine.Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), présents de manière permanente sur place, "ont besoin d'y accéder pour clarifier la raison de l'écart significatif observé entre diverses mesures", selon un communiqué de cette instance onusienne.
En cours d'évacuation, Kherson subit toujours les tirs d’artillerie russes, ininterrompus depuis des mois. Dans la zone occupée, où les inondations sont les plus graves, les secours russes trient parmi les habitants en détresse.
La destruction du barrage de Kakhovka, dans le sud de l’Ukraine, a inondé 48 localités le long du Dniepr. D’après les autorités russes, la montée des eaux pourrait durer encore 10 jours.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé le monde à réagir, accusant la Russie d’un "écocide brutal" après la destruction du barrage de Kakhovka, près de Kherson, ce mardi 6 juin. Une nouvelle catastrophe qui laisse craindre de graves répercussions sur la faune et la flore locales.
La presse conservatrice britannique haussait déjà le ton avant la destruction du barrage de Nova Kakhovka, mardi 6 juin. L’événement a renforcé sa conviction : l’Ukraine doit gagner, quitte à franchir les lignes rouges de ses alliés.
La destruction du barrage de Kakhovka, mardi dans le sud de l'Ukraine, pourrait avoir des conséquences environnementales et humaines "sans précédent", estiment mercredi plusieurs experts et associations de défense de l'environnement.
Un premier convoi d’une dizaine de tonnes de produits demandés de santé, d’hygiène et d’assainissement d’eau doit partir dans les prochaines heures.
Net als na de sabotage van Nord Stream in de Oostzee aarzelen de media niet om vrij snel de waarschijnlijke dader aan te duiden, terwijl het nog ontbreekt aan enig element om er ook maar iets over te beweren. Het antwoord op de vraag 'Wie heeft hier baat bij? was bij Nord Stream vrij snel duidelijk, ditmaal is dat niet het geval.
La destruction mardi du barrage ukrainien de Kakhovka, attribuée à la Russie par Kiev et l’Union européenne (UE), pourrait entraîner “la pire catastrophe écologique en Ukraine depuis Tchernobyl”, selon les autorités. Le procureur général du pays a ouvert une enquête pour “écocide”.
Près de 5.900 personnes ont été évacuées des zones inondées à la suite de la destruction du barrage de Kakhovka dans le sud de l'Ukraine, ont affirmé mercredi les autorités ukrainiennes et celles d'occupation russe, qui contrôlent chacune une rive du Dniepr. La destruction de ce barrage hydroélectrique, dont Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité, a inondé des villes et villages situés sur les deux rives du fleuve, dont des quartiers de la capitale régionale, Kherson.
La Russie a provoqué "l'une des pires catastrophes environnementales de ces dernières décennies", a affirmé mercredi le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal après la destruction du barrage de Kakhovka, dans le Sud de l'Ukraine.