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Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Les cas de tuberculose infantile ont augmenté de 10% en Europe, rapportent lundi l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) dans un rapport.
Un variant marocain de la rougeole a été détecté dans les eaux usées de Bruxelles, ressort-il d'une recherche menée par la KU Leuven. Il s'agit du génotype B3 du virus. [...] Le Maroc fait actuellement face à une épidémie de rougeole "historiquement importante". Plus de 25.000 cas ont été rapportés depuis la fin 2023 dans ce pays d'Afrique du Nord, avec environ 120 morts.
Déjà en recrudescence en 2023, les cas de rougeole ont doublé l'an dernier sur le continent européen, s'inquiète jeudi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Près de 130.000 cas ont été détectés, loin des 4.400 malades de 2016.
Les sociétés civiles et les riverains de sites pollués se sont mobilisés ces derniers jours à travers l’Europe en réaction aux révélations du « Monde » et de ses partenaires sur le coût de l’inaction face aux « polluants éternels ».
C’est chaud ! Une publication britannique parue dans Nature medicine lundi a révélé que la chaleur devrait tuer plus que le froid d’ici à 2099 en Europe. La diminution du nombre de décès provoqués par les basses températures ne compensera pas l’augmentation de ceux liés à un mercure élevé, selon leurs projections.
"PFAS : la dépollution éternelle" (1/4). Après avoir mis au jour l’ampleur de la contamination aux PFAS en Europe dans le cadre du Forever Pollution Project l’an passé, la deuxième saison de cette enquête collaborative européenne révèle aujourd’hui le coût faramineux de la dépollution infinie. Une facture annuelle à douze chiffres. A minima.
Nettoyer les eaux et sols européens des "polluants éternels" (PFAS) coûterait au moins 95 milliards d'euros sur 20 ans dans les conditions les plus favorables et la facture pourrait atteindre 2.000 milliards d'euros, selon une enquête de plusieurs médias coordonnée par Le Monde.
Pour éliminer les substances chimiques omniprésentes et toxiques pour la santé, les Européens pourraient devoir débourser jusqu’à 100 milliards d’euros par an, selon une enquête du «Monde» et de plusieurs médias publiées ce 14 janvier.
"PFAS : la dépollution éternelle" (1/4). Après avoir mis au jour l’ampleur de la contamination aux PFAS en Europe dans le cadre du Forever Pollution Project l’an passé, la deuxième saison de cette enquête collaborative européenne révèle aujourd’hui le coût faramineux de la dépollution infinie. Une facture annuelle à douze chiffres. A minima.
A partir du 20 janvier, le perturbateur endocrinien ne doit plus entrer en contact avec des aliments en Europe. L’UE a mis dix ans pour s’aligner sur la position de la France, qui avait banni la molécule en 2015.
Les scientifiques affirment que la pollution de l’air est une « catastrophe sanitaire mondiale ». Seuls sept pays dans le monde ont atteint des niveaux de pollution atmosphérique sûrs en 2023, selon un rapport de la société suisse de technologie de la qualité de l’air IQAir. Le Rapport mondial sur la qualité de l’air, publié plus tôt cette année, s’appuie sur les données de plus de 30 000 stations de surveillance dans 134 pays, territoires et régions.
Si la poliomyélite a disparu d’Europe il y a plus de vingt ans, le virus qui la provoque, lui, réapparaît. Depuis plusieurs mois, il est régulièrement identifié dans les eaux usées de quelques pays. Sans que l’on sache d’où il vient ni comment il se propage.
Dans le sillage d’autres ONG, le collectif Pesticide Action Network Europe a annoncé saisir la Cour de justice de l’Union européenne pour contester la décision de la Commission concernant cet herbicide classé « cancérigène probable » par l’Organisation mondiale de la santé.
Des ONG écologistes ont annoncé ce mercredi saisir la Cour de justice de l’Union européenne pour contester la décision de la Commission de prolonger de dix ans l’autorisation de l’herbicide classé «cancérogène probable» par l’OMS.
La pollution de l'air aux particules fines a tué 239.000 personnes dans l'Union européenne en 2022, une baisse de 5% sur un an, selon un rapport de l'Agence européenne de l'environnement (AEE) publié mardi.
Les pays qui ont pris des mesures de restriction des contacts sociaux sans attendre la saturation de leurs hôpitaux ont sauvé plus de vies et davantage préservé leur économie, montre une étude inédite de l’Institut Pasteur, publiée lundi.
C’est polymère à boire. Certaines eaux minérales européennes sont contaminées au TFA, un polluant persistant de la famille des PFAS. C’est ce que montre un rapport détaillé du réseau d’action contre les pesticides (PAN Europe) sorti mardi 3 novembre. Auparavant, plusieurs enquêtes médiatiques avaient révélé la pollution de l’eau du robinet. Alors, laquelle choisir pour préserver sa santé ? Vert fait le point.
L'étiquetage des aliments est censé aider les consommateurs à prendre des décisions éclairées lors de leurs achats....
Des produits chimiques dangereux ont été détectés dans 6 % des produits cosmétiques testés dans 13 pays européens, selon une nouvelle enquête. L’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a identifié 285 produits contenant des produits chimiques interdits par la réglementation européenne en raison de leurs risques pour la santé et l’environnement.
Sur 4 500 produits examinés, 285 contenaient des substances bannies pour leur nocivité, selon l’ECHA.
Le Médiateur de l'UE a estimé lundi que la Commission européenne faisait preuve de "mauvaise administration" dans sa préparation des décisions d'autorisation d'utiliser des substances chimiques dangereuses. L'exécutif européen dépasse allègrement les délais prévus avant de trancher, et ne veille pas suffisamment à la transparence du processus, indique l'institution.
Depuis la découverte de PFAS au sud de Lyon, Pierre-Bénite est devenu un symbole européen de la lutte contre la pollution chimique à long terme. Mais que comment définir précisément ces substances, et pourquoi suscitent-elles autant d'inquiétudes dans toute l'Europe ?
Avec seulement 37% de ses eaux de surface en bonne ou très bonne santé écologique, l'Europe doit mieux gérer ses ressources aquatiques pour garantir à ses citoyens de l'eau de bonne qualité, a prévenu mardi l'Agence européenne de l'Environnement (AEE).
Depuis fin août une nouvelle souche détecté du variant Omicron, nommé XEC, qui retient l’attention des experts. Des symptômes identiques aux précédentes souches, mais qui nécessite un rappel de vaccin selon les immunologistes.
Le gouvernement wallon a validé, jeudi matin, une note d’intention du ministre régional de la Santé et de l’Environnement, Yves Coppieters (Les Engagés), prévoyant notamment que la Wallonie adopte "immédiatement" - plutôt qu’en 2026 – la norme européenne de 0,1 μg/l pour les PFAS dans les eaux de distribution.
Plusieurs failles dans la réglementation française permettent aux géant de la chimie de continuer de produire et d’exporter des substances interdites dans le pays. Une pratique qu’a reconnu le ministère de la Transition écologique.
La Commission européenne a annoncé jeudi restreindre l'utilisation d'un "sous-groupe" de "polluants éternels" (PFAS), afin "de protéger la santé humaine et l'environnement" de ces substances chimiques persistantes, présentes dans de nombreux objets de la vie quotidienne.
L’agence européenne du médicament (EMA) a approuvé jeudi la vaccination des jeunes avec le vaccin contre le Mpox de l’entreprise pharmaceutique danoise Bavarian Nordic. Après une autorisation de la Commission européenne, le vaccin Imvanex pourra également être administré aux enfants entre 12 et 17 ans.
Les données collectées pendant et après la pandémie de Covid-19 continuent à être analysées pour en évaluer l’impact. Le bilan de surmortalité révèle une importante et hétérogène perte d’espérance de vie. Mais que sait-on, quatre ans après le début de la pandémie, de ses effets sur la longévité humaine ? Explications.
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Déjà en recrudescence en 2023, les cas de rougeole ont doublé l'an dernier sur le continent européen, s'inquiète jeudi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Près de 130.000 cas ont été détectés, loin des 4.400 malades de 2016.
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Pour éliminer les substances chimiques omniprésentes et toxiques pour la santé, les Européens pourraient devoir débourser jusqu’à 100 milliards d’euros par an, selon une enquête du «Monde» et de plusieurs médias publiées ce 14 janvier.
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