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météorologie
Au-dessus du pôle Sud, un phénomène météorologique exceptionnel est en train de se produire. Les données satellitaires de la NASA révèlent que le vortex polaire antarctique, cette gigantesque masse d’air glacé qui tourne au-dessus du continent blanc, montre des signes alarmants de déstabilisation. Ce qui inquiète particulièrement les météorologues, c’est que ce bouleversement intervient beaucoup plus tôt que prévu et avec une intensité inhabituelle. Les conséquences pourraient se faire sentir bien au-delà des terres australes, jusqu’à modifier les conditions météorologiques de régions entières à travers le globe.
Alors que l’été tire à sa fin, les climatologues scrutent attentivement les eaux du Pacifique tropical à la recherche de signaux précurseurs qui pourraient bouleverser les conditions météorologiques mondiales. Leur verdict tombe : La Niña, ce phénomène climatique capricieux qui influence le temps sur l’ensemble de la planète, menace de faire son retour cet automne. Bien que les experts prédisent un épisode probablement faible et éphémère, les conséquences sur votre quotidien hivernal pourraient néanmoins être significatives. Décryptage d’un phénomène naturel qui continue de défier les prévisions les plus sophistiquées.
Pour l’agence onusienne, les conditions sont réunies pour l’apparition du phénomène climatique de refroidissement du Pacifique.
La NASA et IBM dévoilent Surya, un nouveau modèle d’apprentissage automatique open source destiné à la prédiction des conditions météorologiques spatiales. Formé à l’aide de neuf années de données d’observations, il permettrait de prédire jusqu’à deux heures à l’avance les éruptions solaires susceptibles d’affecter la Terre et les satellites en orbite géostationnaire. L’outil représente une étape supplémentaire dans les efforts de la NASA pour déployer des technologies scientifiques fondées sur l’intelligence artificielle.
Avec les fortes chaleurs qui frappent la France depuis le 8 août, les vaches sont en stress et produisent moins de lait. Systèmes de ventilation, récupérateurs d’eau, gestion différente des troupeaux… Vert est parti en reportage dans le Doubs, dans deux fermes laitières qui tentent de s’adapter à la nouvelle donne climatique.
Des propos sans langue de bois, une pleine confiance en la recherche scientifique et un discours orienté solution. Serge Zaka, sous ses allures de cow-boy du Midwest, s’aventure sur les plateaux télé pour alerter sur les impacts du changement climatique, tout en proposant différentes manières d’opérer la transition écologique. Cet agro-climatologue, quand il ne chasse pas les orages, œuvre pour une agriculture durable et résiliente. Une manière de s’adapter aux contraintes que nous impose déjà la hausse moyenne des températures dans nos régions. À quoi ressemblera le paysage européen dans le futur ? Petit aperçu dans Tendances Première.
Après avoir annoncé la suspension du partage de données satellitaires indispensables au suivi des cyclones dans l’Atlantique Nord, les autorités américaines ont renoncé in extremis à cette décision qui inquiétait de nombreux scientifiques.
Lorsque nous évoquons l’Amazonie, nous pensons instinctivement à ses fleuves majestueux serpentant à travers la végétation luxuriante. Pourtant, au-dessus de nos têtes se déploie un réseau hydrologique encore plus impressionnant : des rivières invisibles qui transportent chaque jour plus d’eau que l’Amazone elle-même. Ces « rivières volantes » constituent l’un des mécanismes les plus fascinants et méconnus de notre planète, orchestrant la distribution des précipitations à travers tout le continent sud-américain.
Si les spécialistes nous annonçaient un été caniculaire, ces derniers jours ont surtout été frais et pluvieux. Mais comment expliquer que les prévisions météo ne soient pas toujours fiables ?
Ce lundi 28 juillet la température de la Méditerranée entre la Camargue et les Calanques a baissé de cinq degrés en quelques heures.
Des records de froid ont été relevés dans le désert d’Atacama, au Chili, où de la neige est tombée pour la première fois depuis une décennie, tout comme à Buenos Aires et Montevideo.
À la météo, quand il fait chaud, on entend parfois des mots compliqués, qui désignent des phénomènes a priori complexes à déchiffrer. Pourtant l’explication est souvent simple, imagée. Vert vous aide à y voir plus clair.
Les températures dans l’Hexagone devraient atteindre des niveaux historiques par endroits ce vendredi 30 mai. Plusieurs départements vont être placés en vigilance jaune par Météo France.
Dans les cinq prochaines années, les températures mondiales devraient rester à des niveaux records ou très élevés, avertit l’Organisation météorologique mondiale mercredi, estimant ainsi qu'il y a un fort risque que la température mondiale moyenne sur la période 2025-2029 dépasse +1,5 °C de réchauffement.
Après deux étés plutôt maussades, juin, juillet et août devraient cette année être plus ensoleillés, selon les prévisions de Météo-France publiées ce mardi 27 mai. «Des conditions plus chaudes que la normale sont les plus probables, associées à la tendance du changement climatique sur l’Europe», anticipent les climatologues de l’institution, qui prennent toutefois beaucoup de pincettes dans leurs «prévisions probabilistes». Ainsi, cet été a 50 % de chance d’être plus chaud que les normales de saison, 30 % d’être conforme aux températures habituelles et 20 % de risque d’être plus froid. Reste que le scénario d’un trimestre ardent n’empêche pas la possibilité «d’épisodes ponctuels plus frais».
Plus précisément, les drones parviennent à faire fluctuer les champs magnétiques et ainsi, attirer les éclairs en altitude. Souvent, les engins sont eux-mêmes frappés par la foudre. Toutefois, les ingénieurs ont fabriqué des cages résistantes capables d’absorber 98% de la puissance électrique des éclairs. Le dispositif peut également supporter une intensité de 150 kA, c’est à dire cinq fois plus que la foudre elle-même.
Les scientifiques reçoivent moins de données sur le climat et la météo provenant des États-Unis. En cause : les coupes budgétaires et licenciements massifs décidés par Donald Trump.
Un fort réchauffement stratosphérique soudain a provoqué, depuis le 9 mars, une inversion du vortex polaire arctique. Ce phénomène rare a modifié le sens de rotation des vents stratosphériques, désormais orientés d’est en ouest, à rebours de leur direction habituelle. Par ailleurs, le centre de ce vortex s’est déplacé, se positionnant actuellement au-dessus de l’Europe du Nord. Selon les experts, cette configuration pourrait induire, dans les semaines à venir, des températures inférieures aux normales saisonnières sur certaines portions du continent.
Researchers say Aardvark Weather uses thousands of times less computing power and is much faster than current systemsA single researcher with a desktop computer will be able to deliver accurate weather forecasts using a new AI weather prediction approach that is tens of times faster and uses thousands of times less computing power than conventional systems.
Alors que les scientifiques américains manifestent ce 7 mars face aux attaques de l'administration Trump contre la science, focus sur l'impact mondial de ces coupes budgétaires sur la science météo et climatique.
Dans sa tentative de détricoter toute lutte contre le dérèglement climatique aux États-Unis, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique. Cet organisme gouvernemental joue un rôle primordial dans la recherche scientifique mondiale et dans la surveillance météorologique.
La présence de particules fines dans l’atmosphère, associée à des conditions météorologiques particulières, peut mener à des chutes de neige dans des secteurs très localisés. «Libé» décrypte ce phénomène courant mais peu connu.
Les rivières atmosphériques se déplacent de façon inattendue depuis plusieurs décennies, et ce n'est pas sans conséquences.
Récemment, les autorités météorologiques ont annoncé qu’un phénomène météorologique inhabituel de type La Niña, qui devait commencer l’été dernier, est désormais en cours. Bien que ce phénomène, lié aux variations climatiques naturelles dans l’océan Pacifique, ait mis plus de temps que prévu à se manifester, il devrait rester plus faible et plus court que d’habitude. Ce retard dans le développement de La Niña suscite l’intérêt des chercheurs et des climatologues qui tentent de comprendre les facteurs sous-jacents de ce phénomène climatique complexe.
GenCast, l'IA signée DeepMind qui surpasse les météorologues humains. Précision, rapidité et prédictions jusqu'à 15 jours au rendez-vous !
L'année 2025 devrait être l'une des trois plus chaudes enregistrées sur la planète, a indiqué jeudi l'agence britannique Met office, après une année 2024 record qui dépassera pour la première fois la barre symbolique de 1,5°C de réchauffement.
Le phénomène météorologique de La Niña avec ses températures plus basses pourrait se développer dans les trois prochains mois mais il sera "court et de faible intensité" et insuffisant pour compenser les effets du réchauffement climatique, a indiqué l'ONU mercredi.
Les températures relevées dans le sud de la France interpellent les climatologues.
Ces phénomènes, surnommés points chauds de canicule, inquiètent les chercheurs, qui tentent d’en comprendre les causes.
L'année 2024 sera la plus humide jamais enregistrée depuis le début des mesures en 1833 à Uccle, a annoncé mardi l'Institut royal météorologique (IRM) dans un communiqué. Le précédent record annuel de précipitations sera probablement dépassé mercredi.