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nucléaire militaire
La Russie a mis en garde vendredi contre des "conséquences irréparables" en cas de nouvelles sanctions internationales contre l'Iran, après l'annonce par Paris, Londres et Berlin du lancement d'une procédure à l'ONU pour rétablir de telles sanctions contre Téhéran dans trente jours. "Nous les appelons avec insistance à retrouver la raison et à réviser leurs décisions erronées avant que celles-ci n'aboutissent à des conséquences irréparables et une nouvelle tragédie", a déclaré dans un communiqué le ministère russe des Affaires étrangères.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, signataires de l’accord de 2015 encadrant le programme nucléaire de l’Iran, ont notifié leur décision au Conseil de sécurité des Nations unies, en raison des violations de ses engagements par la République islamique.
Leur retour ne marque pas une reprise complète de la coopération en matière de nucléaire avec Téhéran, a affirmé le chef de la diplomatie iranienne.
Le positionnement de sous-marins nucléaires Ohio par Trump vise à rappeler aux Russes la capacité de ces lanceurs de missiles les plus furtifs au monde.
L’héritage toxique de la guerre froide continue de faire surface de manière inattendue. En Caroline du Sud, des ouvriers viennent de faire une découverte pour le moins troublante sur l’ancien site de production d’armes nucléaires de Savannah River : un nid de guêpes présentant un niveau de radioactivité dix fois supérieur aux seuils autorisés par la réglementation fédérale américaine. Cette trouvaille soulève des questions inquiétantes sur la persistance de la contamination radioactive dans des écosystèmes que l’on croyait sous contrôle, et illustre de manière saisissante comment la nature s’adapte aux environnements les plus hostiles créés par l’homme.
La Biélorussie a affirmé mercredi qu’il s’entraînerait au déploiement de missiles à capacité nucléaire Orechnik durant des exercices militaires avec la Russie, prévus près de sa frontière avec des pays européens membres de l’Otan.
L’amiral Bernard Rogel, ancien chef de l’état-major particulier du président de la République, analyse la déclaration commune de Londres et Paris du 10 juillet, premier pas vers une nouvelle architecture de défense européenne sans les Etats-Unis.
La Russie a annoncé lundi ne plus adhérer à un traité de désarmement nucléaire dont les Etats-Unis s'étaient déjà retirés il y a plusieurs années.
La gestion à long terme de la pollution nucléaire est un défi loin d'être résolu.
« Il a été arrêté parce que, oui, les dommages sont graves et sérieux. Mais il est évident que nous ne pouvons pas renoncer à l’enrichissement », a reconnu Abbas Araghtchi dans une interview à Fox News.
A l’occasion de la visite d’Etat d’Emmanuel Macron à Londres, les deux puissances atomiques d’Europe créent un groupe de pilotage conjoint, ouvrant clairement la voie à la planification d’opérations en commun. L’objectif affiché est de dissuader Moscou de toute escalade.
A l’occasion de la visite d’Etat à Londres d’Emmanuel Macron, le président français et le premier ministre britannique, Keir Starmer, entérineront, jeudi, cette évolution majeure de leur doctrine. Un « groupe de supervision nucléaire », coprésidé par les deux dirigeants, va être créé.
L’Iran a suspendu mercredi sa coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique et multiplie les accusations à son encontre, depuis les bombardements israéliens et américains de ses sites nucléaires.
Les services de renseignement du département de la Défense sont bien moins optimistes que le président Trump sur l’impact des bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan en juin.
Le programme nucléaire iranien a été retardé d'environ de deux ans par les frappes américaines décidées par Donald Trump, selon des évaluations du renseignement américain, a indiqué le Pentagone mercredi.
Le chef d’Etat de la république islamique a donné son feu vert à un texte mettant sur pause la collaboration avec l’agence onusienne qui vise à limiter le développement du nucléaire militaire.
L'Iran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", a indiqué le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi dans une interview à la chaîne américaine CBS.
L'Iran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", a indiqué le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi dans une interview à la chaîne américaine CBS. Près d'une semaine après les bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan, tous s'accordent, même Téhéran, à dire que ces centrales ont été considérablement endommagées, mais des questions demeurent sur l'efficacité réelle de ces frappes. Le président américain Donald Trump a par exemple suggéré que le programme nucléaire iranien avait été retardé de "plusieurs décennies".
Le Parlement iranien a voté mercredi en faveur d'une suspension de la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui reste pourtant "une obligation" selon son patron, après douze jours de guerre marquée par des frappes israéliennes et américaines sur des installations nucléaires.
Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Durant la Guerre Froide il y a près d’une demi-siècle, le gouvernement britannique distribuait aux civils un livret assez spécial. Celui-ci contenait des mesures à prendre afin de se prémunir en cas de guerre nucléaire. Au menu : nécessaire de survie, protection du logement et attitude à adopter durant l’attaque.
Selon les informations de plusieurs médias américains mardi 24 juin, l’offensive étasunienne n’aurait pas anéanti l’ensemble des installations visées. Ce que le président américain conteste.
Pourquoi la guerre nucléaire, et non la crise climatique, est la plus grande menace qui pèse sur l’humanité, selon Mark Lynas Mark Lynas a passé des décennies à faire pression pour que l’on agisse sur les émissions de gaz à effet de serre, mais il affirme aujourd’hui que la guerre nucléaire est une menace encore plus grande.
Donald Trump, visiblement énervé, a accusé mardi l’Iran et Israël d’avoir violé le cessez-le-feu qu’il a annoncé la veille et s’en est particulièrement pris à son allié israélien, se disant "vraiment pas content" d’Israël.
Les premières analyses des frappes américaines menées en Iran montrent qu'elles ne semblent pas avoir eu l'impact annoncé par l'administration Trump.
Israël a mené lundi une nouvelle attaque contre le site nucléaire iranien de Fordo, enfoui sous une montagne au sud de Téhéran, a rapporté un média local. "L'agresseur a de nouveau attaqué le site nucléaire de Fordo", a rapporté l'agence de presse Tasnim, citant un porte-parole de l'autorité de gestion des crises de la province de Qom, où est situé le site.
Le détroit d'Ormuz est un point de passage clé pour le commerce mondial de pétrole, que l'Iran a souvent menacé de bloquer dans les situations de crise. Des députés iraniens ont à nouveau brandi cette menace après les frappes américaines sur des installations nucléaires en Iran, mais la décision reste aux mains du Conseil national de sécurité, la plus haute instance de sécurité du pays.
Les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes qui auront des "conséquences éternelles", a prévenu Téhéran, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël. L'agence de presse iranienne Irna a ensuite fait état du tir de 40 missiles sur Israël où 16 blessés ont été recensés par les secours israéliens et de nombreux dégâts observés par des journalistes de l'AFP. Après avoir laissé planer le doute sur une intervention contre l'Iran, réclamée par son allié israélien, le président américain, Donald Trump, a annoncé que les installations d'enrichissement nucléaire du pays, soupçonné par les Occidentaux de vouloir se doter de l'arme atomique, avaient été "totalement détruites" par les frappes américaines.
Le programme nucléaire de l'Iran, dont Donald Trump affirme que la totalité des capacités d'enrichissement a été "détruite" par des frappes américaines, comporte plusieurs sites qui ont permis son développement rapide. "Les installations essentielles d'enrichissement nucléaire de l'Iran ont été intégralement et totalement détruites" lors d'attaques aériennes dimanche sur les sites de Natanz, Ispahan et Fordo, lequel a été visé par une "charge complète de bombes", a déclaré le président américain.
Des avions ont bombardé Ispahan, Natanz et surtout l’installation souterraine de Fordo, qu’Israël ne pouvait atteindre. Le président américain, Donald Trump, a menacé Téhéran de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement atteinte ».