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îlots
Pendant les vagues de chaleur, les îlots de chaleur urbains (ICU) affectent les villes. Les personnes âgées, les enfants ou les ménages pauvres sont particulièrement vulnérables. Nous présentons la première mesure de l’exposition aux ICU en France en fonction du revenu. Le lien entre l’exposition et le revenu varie selon que les ménages aisés vivent dans les centres-villes, comme à Paris, ou dans les banlieues riches, comme à Lyon.
Au sein même des villes, ce phénomène d’îlot de chaleur affecte différemment les quartiers selon la densité et la qualité des bâtiments, selon la végétation et selon les niveaux d’activité humaine. À Paris, Bordeaux, Lille et Nantes, ce sont à la fois les ménages les plus aisés et les plus modestes qui sont les plus exposés, car ils habitent dans les centres-villes. À Lyon, Marseille, Montpellier, Nice et Strasbourg, les ménages modestes sont les plus exposés au phénomène d’îlot de chaleur urbain et les ménages aisés sont les moins exposés, car ils habitent dans des quartiers périphériques moins denses, plus verts et aux constructions récentes.
Une augmentation et une intensification probables des vagues de chaleur
Au coeur de l'urgence d'adaptation des villes au réchauffement climatique : l'îlot de chaleur urbain. Il surchauffe les villes de deux degrés de plus en journée, dix la nuit, par rapport aux zones rurales.
Les environnements urbains ont du mal à se refroidir la nuit, entraînant des décalages avec la campagne alentour. Quelles sont les solutions pour rafraîchir les villes ?
En 2050, le climat de Lyon ressemblera à celui de Madrid, prédisent les experts. Pour éviter les grosses chaleurs dans les rues en période de canicule, la métropole lyonnaise met en place des solutions pour lutter contre les îlots de chaleur urbains.
Cet été, Paris se transforme en laboratoire pour comprendre et limiter un phénomène redouté des citadins : l'îlot de chaleur. Découvrez dans ce film publié avec LeMonde.fr ces recherches menées dans le cadre du grand projet Paname 2022 sur la qualité de l’air et le climat urbain.
Face à la vague de chaleur annoncée, la première ministre, Elisabeth Borne, va réunir, mardi 14 juin, les préfets de région et les directeurs des agences régionales de santé. Le gouvernement prévoit de créer un fonds de 500 millions d’euros pour la « renaturation » des villes, a annoncé la porte-parole Olivia Grégoire. Le gouvernement entend favoriser « le développement d’îlots de fraîcheur en ville en s’engageant très fortement à accompagner les collectivités locales dans l’adaptation aux conséquences du dérèglement climatique », a déclaré Mme Grégoire à l’issue du conseil des ministres. Aussi, ce fonds servira à « cofinancer, aux côtés des collectivités locales qui en expriment le besoin, ces opérations de renaturation. »
Responsables d’une surchauffe pouvant atteindre les dix degrés, les îlots de chaleur urbains se font particulièrement ressentir durant l’été. Valéry Masson étudie depuis une vingtaine d’années ces phénomènes localisés, qui échappent souvent aux outils météorologiques classiques.